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La nuit des chercheurs, c’est vendredi soir sur le site de Météo-France de Toulouse

Lors de cette soirée (de 20h à 1h du matin), le public rencontre les chercheurs hors de leur « labo », dans une ambiance originale, conviviale et ludique. Cet événement, créé par la Commission européenne en 2005, se déroule simultanément dans plusieurs pays européens et une vingtaine de villes françaises.

Des expériences et des animations dynamiques et inédites permettent au public de découvrir les étonnants métiers des chercheurs.

Cette année la Nuit des Chercheurs à Toulouse investit la Météopole en collaboration avec la Cité de l’espace, les laboratoires scientifiques et partenaires de la région Midi-Pyrénées. De 20h à 1h sur le site de Météo-France à Toulouse participez à un programme d’animations ludiques, pédagogiques et étonnantes pour tous les publics ! Des espaces thématiques proposent des expositions, des films, des expériences et des conférences accessibles à tous. France Bleu Toulouse animera une émission spéciale en direct, avec des chercheurs de toutes disciplines.

A l’automne 2012, la Météopole fête ses 30 ans d’installation à Toulouse. La Nuit des Chercheurs, événement européen, est le point d’orgue de cet anniversaire.

Au programme :

Théâtre  « Imaginez le futur » sous le chapiteau du LAB-ORATOIRE : mélangez un groupe de chercheurs et un groupe d’artistes, introduisez la thématique du futur, laissez décanter pendant 4 mois et venez observer le résultat. Des chercheurs et des artistes vous livrent leur vision du futur au cours de 5 expériences théâtrales originales…

Le Village des chercheurs : des pôles thématiques répartis sur 600 m2, les défis et enjeux de la prévision numérique, les instruments de la recherche en météorologie, des avions pour la recherche en météorologie, la météo des villes, à la découverte de l’océanographie, campagnes de mesures lointaines, les projets Concordiasi et HyMex, etc. ; des expériences insolites : un simulateur de tornade, les échanges thermiques dans les océans, la supraconductivité ; lâcher de ballons sondes (à 21h et 22h).

La météo à la radio : Rendez-vous au studio radio de France Bleu Toulouse à Météo-France pour enregistrer un bulletin météo avec Joël Collado.

« Speed-cherching » : Un rendez-vous imaginé avec la Cité de l’espace et l’association Plume, deux sessions de 10 minutes de « speed cherching » ou l’occasion de poser directement vos questions à des chercheurs sur les sujets qui vous passionnent.

Mais aussi des conférences, des espaces Jeunesse et Métiers … tout le programme : http://www.nuitdeschercheurs-france.eu/blog/2012/07/29/toulouse/

Première : Vacances Air Transat organise son séminaire annuel en Midi-Pyrénées

Du 22 au 26 septembre, le Comité Régional du Tourisme, en partenariat avec l’aéroport et l’Office de Tourisme de Toulouse et le Comité Départemental du Tourisme du Tarn accueilleront une quinzaine de responsables marketing européens en séminaire au Novotel Wilson de Toulouse.

Cette décision du Groupe Canadien de tenir dans notre région son séminaire international de commercialisation et marketing fait suite à une réunion stratégique qui s’est tenue à Montréal en début d’année avec Denis Codère, Vice-Président ventes, commercialisation et développement des liaisons avec l’Europe de Air Transat.

Les arguments mis en avant par les acteurs touristiques de la région ont en effet séduit la compagnie aérienne canadienne, convaincue du fort intérêt de Toulouse et de sa région pour la clientèle de vacanciers canadiens mais aussi pour la clientèle d’affaires. Pour la première fois, c’est donc dans une région française qu’Air Transat délocalise son séminaire habituellement organisé sur Paris.

Une découverte de Toulouse, Cordes-sur-Ciel et Albi, classés Grands Sites de Midi-Pyrénées, sera organisée pour ces professionnels du tourismecomposés essentiellement de directeurs marketing et production ; au programme également, la chaîne de montagne de l’A380 et une initiation aux vins du Sud-Ouest proposée par l’Interprofession des Vins du Sud-Ouest très présente sur le marché québécois.

Le CRT et Transat travaillent sur un plan de coopération à 3 ans (exemples : promotion à bord des avions, animation du réseau des agence devoyage…) : un circuit Sud-Ouest au départ de Toulouse figure d’ailleurs dans la brochure France du tour opérateur.

Le CRT vient de participer à des rencontres presse à Montréal et Toronto qui ont confirmé l’intérêt de la presse pour l’offre de Midi-Pyrénées et plus particulièrement son offre culturelle (Toulouse-Lautrec, futur musée Soulages, Jazz in Marciac …) sa gastronomie et ses vins, ses hébergements de charme et caractère mais également les circuits vélos, les randonnées à thème et séjours famille.

Philippe Guérin déclare : «  La Région Midi-Pyrénées entretient depuis plusieurs années des liens étroits avec le Canada. Le partenariat entre le Comité Régional du Tourisme, l’Office du Tourisme et l’Aéroport de Toulouse a clairement démontré l’efficacité d’une « force de frappe » structurée. Le développement d’actions en partenariat avec Transat constitue l’une des clés de l’essor de ce marché touristique et économique Québécois pour la région».

Dany Boon en avant-première à Toulouse le 9 octobre

Dany Boon sera à Toulouse à l’UGC, le mardi 9 octobre prochain à 19h45 pour l’avant-première de son nouveau film « Un plan parfait ». Réalisé par Pascal chaumeil, ce film doit sortir dans les salles le 31 octobre prochain.

Synopsis :

Pour contourner la malédiction qui anéantit tous les premiers mariages de sa famille, Isabelle a une stratégie pour épouser l’homme qu’elle aime : trouver un pigeon, le séduire, l’épouser et divorcer. Un plan parfait si la cible n’était l’infernal Jean-Yves Berthier, rédacteur pour un guide touristique, qu’elle va suivre du Kilimandjaro à Moscou. Un périple nuptial pour le meilleur et surtout pour le pire.

Le gouvernement change, pas les conditions de rétention des étrangers

Depuis l’arrivée du nouveau gouvernement et les espoirs qu’il laissait présager, la Cimade attendait du changement dans les conditions de rétention des personnes étrangères. Elle déplore toujours aujourd’hui la persistance de pratiques préfectorales déloyales et inhumaines, qui vont à l’encontre de la volonté annoncée de rompre avec la politique du chiffre.

 

Le changement de gouvernement n’a pas fait évoluer la situation des migrants en France et particulièrement en Haute-Garonne. C’est pourquoi, la Cimade, seule association autorisé à entrer dans les centres de rétentions administratifs, a lancé sa première alerte. « Ces dernières semaines, des situations particulièrement inhumaines qui caractérisent des atteintes à la vie familiale, à la dignité ont eu lieu. Il y a un décalage avec les discours affichés des politiques » s’explique Pierre Grenier, délégué départemental de la Cimade. Pour Lionel Claus le permanent de l’association au centre de rétention de Cornebarrieu, la situation stagne. « Il y a toujours autant de d’affaires dramatiques comme on voyait avant, rien n’a changé dans le traitement individuel des personnes. Des interpellations avec des arrestations au domicile de migrants qui vivent durablement en France depuis de nombreuses années ont toujours lieu » regrette-t-il. « Il y a un dialogue avec l’Etat, mais on veut plus, on attend des actes », souligne Pierre Grenier. Du côté de la préfecture, aucune tête n’a changé alors pour eux il n’y a aucune raison que ça suive…

 

Disparition de la politique du chiffre

Les membres de la Cimade notent cependant un point positif. En effet, « il n’y a plus de politique du chiffre et dans la pratique les interpellations sont moins nombreuses ». A l’heure actuelle il y a moins de personne dans le centre de rétention comme partout en France. « Depuis le 1er janvier, 1100 personnes sont passés par le centre de rétention, à la même époque l’an passé, le chiffre était de 1300. Ils ont peut-être mis moins de pression sur les préfets », s’interroge Lionel Claus. Outre ce léger mieux, la Cimade s’alerte toujours des cas par des cas des personnes qui n’est « pas satisfaisant ». « Les hommes qui sont sur le point de se marier, d’être père de famille ou malades sont renvoyés dans leur pays où les craintes sont là » déplore Lionel Claus. Un algérien vivant depuis 2000 en France s’apprête à être reconduit dans son pays du jour au lendemain sans lui laisser de temps, « rien n’a évolué depuis quatre mois » déplore l’association. Pour les migrants aussi il y a une grande déception, ils espèrent que la situation va changer rapidement.

 

Emma Faury

Les salariées de Sanofi Toulouse ne se rendront pas à Paris

Ce mardi se tient le comité central d’entreprise du groupe pharmaceutique Sanofi. Ces réunions, qui doivent décider des projets d’orientation du groupe pour l’horizon 2015 ne seront pas suivies par les salariés toulousains.

En boycottant les réunions du comité central d’entreprise de Sanofi, les salariés du site de Toulouse, menacé de restructuration, protestent contre la non communication de la part de leur direction de documents détaillant le plan prévu par celle-ci. Estimant ne pas pouvoir se préparer à cette réunion, les syndicats ont donc décliné l’invitation tout en soulignant le manque de dialogue social au sein du groupe.

De son coté, la direction répond qu’elle avait l’intention de remettre ces documents ce mardi pour entamer des négociations dans les semaines à venir. Un dialogue de sourd qui devrait mener à la fermeture du site toulousain dans les semaines ou les mois à venir.

Malgré les « jeudis de la colère » organisés depuis le début de l’été par les salariés ainsi que les prises de positions des politiques locaux, le site toulousain vie probablement ses dernières heures.

Fleur Pellerin honore le pôle Aerospace Valley de Toulouse

Hier après-midi, la ministre déléguée en charge des PME, de l’innovation et de l’économie numérique était l’invitée du pôle toulousain à l’occasion de son assemblée générale. Elle a remis le prestigieux trophée Object’s World à la structure aérospatiale. Dans le cadre d’une nouvelle classification demandée par le gouvernement, l’Aerospace Valley vient en effet d’être classé « pôle très performant ». Autrement dit, celui-ci intègre le haut du paquet.

 

A l’heure où la compétitivité et l’économie locale sont mises en branle, le secteur aéronautique est décidément bien celui qui sauve les meubles. L’Aerospace Valley, stimulé par un investissement massif de 750 millions d’euros, fait désormais partie des plus grands. Ce regroupement d’entreprises, d’organismes de recherche et d’établissements d’enseignement supérieur est d’ailleurs numéro un mondial sur l’aéronautique civile. « Il est l’un des sites industriels qui illustrent au mieux le redressement productif dont la France a besoin et que nous voulons impulser » loue Fleur Pellerin, qui souligne son « succès » et son « dynamisme ». En présence de Pierre Cohen, de Martin Malvy et d’Henri-Michel Comet, la ministre déléguée chargée des Petites et Moyennes Entreprises, de l’Innovation et de l’Economie numérique, a couvert sa directrice Agnès Paillard de ses mots les plus fleuris. Le complexe de la Cité de l’Espace a même été décrit comme le « fleuron des pôles de compétitivité ».

 

Les bonnes volontés de la ministre

La collaboratrice d’Arnaud Montebourg veut inscrire le « redressement productif » dans une efficience concrète. Priorité est donnée à l’innovation, qui selon elle est « source de chiffre d’affaire et d’emploi ». « Le Crédit Impôt Recherche est toujours d’actualité, « c’est quelque chose que nous voulons étendre notamment aux dépenses de préindustrialisation. Il doit remédier aux défaillances notables du crédit bancaire » a-t-elle annoncé. La Banque Publique d’Investissement (BPI), projet gouvernemental phare, est selon la ministre déléguée un autre moyen de soutenir la capacité novatrice des entreprises. Egalement, de répondre au problème de la multiplicité des interlocuteurs en matière d’aide financière. « La BPI sera en quelque sorte un guichet unique » ajoute-t-elle. En revanche, sur le soutien aux pôles de compétitivité les plus mal en point, Fleur Pellerin a moins convaincu. « Cela fera l’objet de discussions avec les collectivités locales » a-t-elle expliqué. Quoi qu’il en soit, l’Aerospace Valley semble conserver le soutien et la confiance du gouvernement. Ce qui n’est pas visiblement pas le cas de tous les centres de recherche toulousains…

 

Christophe Guerra

Procès AZF : Un verdict « politique » qui déçoit certaines associations

Hier en début d’après-midi, le verdict attendu par toute une ville est enfin tombé. L’origine de l’explosion a été validée par la Cour d’Appel. Le directeur de l’usine Serge Biechlin a écopé d’une peine de trois ans de prison, dont deux avec sursis. Total et son ex-PDG Thierry Desmarest ressortent blanchis. Au terme d’une procédure interminable, Toulouse a enfin désigné les coupables.

 

« C’est la victoire de la vérité » a déclaré Pierre Cohen, le maire de Toulouse. Si l’ensemble des personnalités politiques locales a regretté la relaxe de Total, les sourires étaient bien là. « Ce verdict établit enfin les causes de cette catastrophe et désigne des responsables. Les victimes, leurs familles et les toulousains vont pouvoir commencer leur deuil » s’est félicité l’élu socialiste. Jean-Luc Moudenc, son prédécesseur, s’est « réjoui que des responsabilités pénales aient été reconnues ». Le groupe Europe-Ecologie Les Verts, considère que la « justice faite ». Sans surprise, le président du Conseil Régional Martin Malvy a rejoint la ligne. « Il fallait que la justice passe, que les familles des victimes puissent s’appuyer sur un jugement clair. C’est désormais chose faite ». Clair, vraiment ? En première instance, la Cour avait relaxé la direction de l’usine faute de preuves. Cette fois-ci, c’est avec une certitude déconcertante qu’elle a conclu à des négligences dans la sécurité. Une thèse qui n’a pas bougé d’un iota depuis onze ans. Officiellement, un accident chimique a provoqué l’explosion de l’usine AZF. Point. C’est un dossier épais comme le bras qui se referme d’un coup de marteau. Comme si, au fond, les souffrances avaient bien trop duré.

 

Des victimes toujours aussi divisées

« Nous sommes très satisfaits car nous avons enfin été compris » a clamé Stella Bisseuil, avocate de l’association des Familles Endeuillées. « Le moment a été intense. Notre combat et notre conviction ont été suivis par la Cour d’Appel. C’est un grand soulagement pour les victimes et une belle victoire pour toute la ville de Toulouse ». Mais chez les autres, on s’arrache plutôt les cheveux. Pour le président de Mémoire et Solidarité Jacques Mignard, ce délibéré laisse un goût terriblement amer. « Nous sommes très déçus. D’une part parce que l’enquête ne sera pas réouverte. D’autre part parce que des sanctions ont été prononcées à l’encontre de la société, sur la base d’une thèse officielle qui reste de la pure fiction ». La condamnation de Serge Biechlin frise selon lui le scandale juridique. « Une seule minute de prison aurait été excessive, puisque l’accusation ne repose que sur une présomption de culpabilité ». Pour Jacques Mignard, qui s’est évertué une décennie durant à requérir des compléments d’information, ce délibéré est finalement logique. « Il est lié à des positions d’élus. On a clairement fait comprendre à la justice qu’il fallait en finir. Beaucoup voulaient voir des têtes tomber, ce jugement a exaucé leurs vœux. Nous ne nous faisons plus trop d’illusions, mais nous continuerons à chercher la vérité et à faire entendre notre désapprobation ».

 

Christophe Guerra

Palmarès du 1er Fifigrot « 1er Festival International du Film Grolandais de Toulouse »

Pour cette première édition toulousaine, qui s’est tenue du 17 au 23 septembre, 9 films étaient en compétition pour tenter de remporter la célèbre Amphore d’Or. Elle a été remise par le président du jury, Bertrand Blier, aujourd’hui à 18h30 à l’Utopia Toulouse.

Le GroJury du 1er FIFIGROT a décerné L’Amphore d’or au film Le Grand Tour de Jérôme Le Maire. Avec Vincent Solheid, Jean-Marc Chenut / 2011 Belgique 1h38 Inédit

Un week-end du mois d’août, une fanfare amateur emmenée par son président s’est donnée rendez-vous sur la place d’un petit village ardennais. Ils sont 10 hommes de la quarantaine, 10 amis. Ils ont décidé de se rendre au « carnaval du monde » de Stavelot qui n’a lieu qu’une fois tous les dix ans. Une marche de 4 jours à travers les bois, à la boussole et à sac à dos. Le projet de randonnée qui ne comportait qu’une seule étape, va finalement se prolonger, l’ivresse aidant. Ils vont parcourir des centaines de kilomètres, traverser toutes les fêtes, des joyeuses aux plus glauques. Au fil des semaines le groupe se disloque dans cette interminable marche, les excès font place à l’eau et au pain sec. Au début du printemps, ils ne sont plus que trois sur les routes… Un voyage initiatique à l’aube de la crise de la quarantaine !

Deux autres prix ont été décernés lors de la cérémonie de clôture :

Amphore des étudiants de l’ESAV :

Heavy Girls d’Axel Ranisch

Avec Ruth Bickelhaupt, Heiko Pinkowski, Peter Trabner / 2011 Allemagne 1h16 Inédit

Amphore du Peuple, qui comptabilisait les votes des spectateurs :

Le Roi du curling de Ole Endresen

Avec Atle Antonsen / 2011 Norvège 1h15 Sortie le 24 octobre 2012

Un premier palmarès international et une première édition qui a rassemblé plus d’une centaine de longs, moyens et courts métrages avec plus d’une vingtaine de rencontres entre le public et les réalisateurs. Un premier succès public qui sera (sans doute) reconduit l’an prochain.

Procès AZF : Pour Pierre Cohen, « C’est la victoire de la vérité »

Suite à la condamnation par la cour d’appel de Toulouse de l’exploitant de l’usine AZF Grande Paroisse (groupe Total) et de son ex-directeur Serge Biechlin pour homicides involontaires dans l’affaire de l’explosion de l’usine AZF, Pierre Cohen exprime son soulagement et sa satisfaction de voir aboutir onze ans de procédure suite à une catastrophe qui a meurtri la ville de Toulouse et ses habitants. 

«C’est la victoire de la vérité ! Le jugement nous donne raison d’avoir fait appel. Il établit enfin les causes de cette catastrophe et désigne des responsables. La culpabilité de Grande paroisse va permettre aux victimes, à leur famille et à l’ensemble des Toulousains, de mettre un terme à onze années de souffrance et de pouvoir enfin entreprendre un vrai travail de deuil ».

 

Hockey sur glace : le TBHC dans un jour sans

Samedi 22 septembre, le TBHC recevait Courbevoie pour l’ouverture de la saison à domicile. Résumé du match et réaction du coach Benoît Pourtanel après la désillusion de cette première défaite de la saison.

 

Et pourtant tout avait bien commencé pour le TBHC ce samedi devant un peu plus de 1000 personnes à la patinoire de Blagnac. Il n’aura fallu que 7 mn aux Toulousains pour ouvrir le score par Alexis Codevelle. Mais le bonheur aura été de courte durée. Les coqs emplis de fierté ont égalisé 30 secondes plus tard. Et de la fierté, c’est peut-être ce qui a manqué à notre jeune équipe qui n’a pas su trouver la manière pour  la guider vers le chemin des buts de Courbevoie. La suite, on la connait, trois autres buts des visiteurs et une défaite qui laisse un goût amer tant cette équipe était à la portée des Bélougas.

Mais toutes les équipes, dans tous les sports font des faux pas. Relativisons cet échec car les Bélougas nous ont prouvé dans le passé être capables du meilleur.

Les regards sont désormais portés en direction du derby de la Garonne du 6 octobre prochain contre Bordeaux en coupe de France où soyons en sûrs les Blagnaco-Toulousains seront au rendez-vous.

Pour voir la vidéo : cliquez ICI

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