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L’espace EDF Bazacle présente l’exposition « Bort-les-Orgues, les mots sous le lac »

Du 25 septembre au 15 octobre 2012, La Galerie de l’Œil de l’Espace EDF Bazacle accueillera l’exposition « Bort-Les-Orgues, les mots sous le lac » de la photographe Adélaïde Maisonabe. Trois générations après la construction du barrage hydroélectrique, les Editions Privat, avec le soutien d’EDF et des Archives Départementales de la Corrèze et du Cantal, ont publié un livre visant à rendre hommage aux familles habitant la vallée et qui ont été déplacées. A cette occasion, l’Espace EDF Bazacle exposera les travaux photographiques illustrant l’ouvrage et les textes d’Armelle Faure.

Véritable prouesse technique, la construction du barrage hydraulique de Bort-Les-Orgues représente un facteur d’abnégation pour près de 140 familles bortoises. Longuement oubliées, l’expropriation et la démolition de leurs maisons ainsi que de leurs terres sont des sacrifices dont la nostalgie persiste. C’est pourquoi, souhaitant rendre hommage à ces populations déplacées et reconnaître leur histoire, EDF et la Communauté de Communes du plateau bortois ont confié à Armelle Faure, anthropologue de renommée internationale et  spécialiste des déplacements de population lors de la construction des grands barrages, un travail de constitution d’archives orales. Entre novembre 2011 et mars 2012, accompagnée des Archives Départementales de la Corrèze et du Cantal, elle a rencontré 31 témoins ayant connu la vie dans cette vallée aujourd’hui disparue. Plus de 50 heures d’enregistrements ont ainsi été rassemblées permettant, la conservation de ces témoignages et leur transmission aux générations futures. « Ma mère avait été très heureuse dans cette vallée. Elle ne voulait pas quitter PortDieu, bien qu’elle n’y soit arrivée que tardivement, qu’elle n’y soit pas née. Papa était déjà nommé ailleurs, mais elle ne voulait pas partir. Elle était restée à Trappes, elle a déménagé dans la maison de Raymonde Grégoire-Manganne », témoigne Marcelle Bourdouleix, Maire de Monestier-Port-Dieu.

Sauvegarde de la mémoire des habitants de la commune, ces déclarations émouvantes sont compilées dans l’ouvrage inédit publié aux Editions Privat. Ambitieux projet porté par EDF, écrit par Armelle Faure et illustré par la photographe Adélaïde Maisonabe, l’ouvrage honore les « voix de la vallée ».

Désireux d’aller plus loin dans  cette démarche, EDF exposera à l’Espace EDF Bazacle à Toulouse, les photographies d’Adélaïde Maisonabe. L’occasion, au lendemain des 60 ans du barrage, de revenir sur la vie rurale de Bort-Les-Orgues avant d’être engloutie, de ses fermes, de ses fêtes ou encore de ses commerces. On découvre, à travers cette exposition touchante, l’attachement d’une population à sa région ainsi que le témoignage d’une aventure humaine et d’une reconnaissance symbolique accueillie comme un grand apaisement.

Plus de 40 000 grands barrages ont été construits dans le monde, et 5 à 10 000 sont en cours de construction. Ils réclament de vastes superficies et provoquent des déplacements de populations. Il est ainsi primordial de prendre en  compte l’aspect individuel et communautaire de la réinstallation des populations  déplacées par ces grandes infrastructures de modernisation. Des normes sociales et environnementales ont, de fait, été mises en place par l’OCDE et La Banque Mondiale. EDF s’engage et montre notamment l’exemple avec le barrage Nam Theun II au Laos. Aux côtés d’experts environnementaux et sociaux, EDF a mis en place un plan de modernisation des zones d’accueil (écoles, eau potable, électrification) ainsi qu’un accompagnement des familles déplacées vers de nouvelles activités économiques.

Déplacement périlleux pour le FENIX Toulouse Handball

Le FENIX Toulouse Handball joue ce soir son premier match de la saison à l’extérieur, sur le parquet de Tremblay-en-France (20h45). A noter que pour cette rencontre, l’entraîneur Joël Da Silva a choisi de faire le déplacement avec un effectif de 13 joueurs, les contrats de Miha Zvizej et Xavier Moreau n’étant pas encore homologués.

La semaine prochaine, deux rencontres sont prévues au Palais des Sports :

– Mercredi 3 octobre à 19h30, le FENIX recevra le Champion de France en titre, Montpellier, pour le compte de la 4e journée du Championnat de D1. Ce match sera retransmis en direct sur Sport +.

– Dimanche 7 octobre à 16h30, c’est l’équipe de Cesson-Rennes qui viendra affronter le FENIX, à l’occasion du premier tour de la Coupe de la Ligue. Pour rappel, le FENIX Toulouse Handball organisera les phases finales de la compétition, les 8 et 9 décembre prochains au Palais des Sports.

A noter qu’en lever de rideau de cette rencontre de Coupe de la Ligue, l’équipe de Nationale 2 du FENIX affrontera Boulogne-Billancourt (dimanche 7 octobre à 14h au Palais des Sports).

Conseil municipal : les verts tirent la sonnette d’alarme sur les conditions de distribution des Pastilles d’iode

En cas d’accident nucléaire, la prise de pastilles d’iode stable est le seul traitement préventif pour empêcher la fixation de l’iode radioactif et protéger ainsi de futurs cancers de la thyroïde. Mais pour être efficace, l’iode stable doit être ingéré le plus rapidement possible après l’accident, et avant l’arrivée du nuage radioactif.

Adjointe au maire en charge de l’environnement et de la santé, Elisabeth Belaubre constate pourtant : « suite à une consigne ministérielle de juillet 2011, le protocole de distribution des pastilles d’iode a été réorganisé de telle manière que leur délivrance dans des délais compatibles avec la préservation de la santé publique n’est plus du tout assurée ».

Le nouveau plan de distribution centralise en effet les stocks de comprimés au niveau d’une plateforme départementale et introduit un nouvel intermédiaire, les grossistes répartiteurs. Autant de facteurs d’inertie susceptibles de ralentir la distribution. Qui plus est, la pré-alerte, qui déclenche la mise en astreinte des grossistes-répartiteurs, ne peut intervenir qu’aux heures ouvrables de la plateforme…

Elisabeth Belaubre en conclut que « compte tenu de ces contraintes, la distribution ne peut s’envisager que si un délai de plus de 48 heures existe entre l’incident et le passage de l’air contaminé. Or en cas d’accident à Golfech, le délai d’arrivée d’éléments radioactifs sur l’agglomération toulousaine est estimé à 6 heures par vent moyen… C’est ainsi une question primordiale de santé environnementale qui est négligée ! L’ancien protocole, mis en place depuis 2001, avait pourtant intégré la contrainte du délai comme un préalable indispensable ».

A l’occasion du conseil municipal de ce 28 septembre, le groupe des élu(e)s écologistes soumettra donc un vœu pour demander au gouvernement la remise à plat du dispositif.

Martin Malvy ne veut pas que les régions supportent une partie de la dette de RFF

Interrogé suite aux récentes propositions du président de la SNCF, Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées, a répondu : «  j’ai du mal à croire que le président de la SNCF ait pu imaginer faire supporter par les Régions une partie de la dette de Réseau Ferré de France. Cette dette d’un montant de 30 milliards d’euros vient de loin. Réseau Ferré de France a été créé en 1997 pour la gérer.

Les Régions paient des sommes considérables à RFF, véritables péages qui impactent fortement leur budget. Pour Midi-Pyrénées, cela représente en 2012 plus de 20 milllions d’euros, plus du double de ce qui nous incombait il y a 10 ans.

Guillaume Pépy le sait, comme il sait que nous ne parvenons pas à dégager les moyens pour acquérir de nouveaux autorails, pourtant nécessaires pour faire face à l’augmentation du trafic. Il connaît par ailleurs nos discussions avec lui et ses services pour limiter les majorations de notre participation au fonctionnement des trains que nous ne pouvons plus supporter.

Le président de la SNCF est trop habile pour parler pour ne rien dire. A t-il voulu lancer un ballon d’essai ? Nous proposer, en contrepartie d’un rachat partiel de sa dette, la gratuité des péages ? Ce n’est pas impossible. Mais nous sommes nous aussi sous le regard des agences de notation… ».

 

Toulouse. Rixe, prison et obésité à la une du journal des faits divers de la semaine

Notre deuxième volet « faits divers » est aujourd’hui en ligne. Chaque vendredi, retrouvez l’actualité de la semaine passée. Toulouse et ses turbulences n’ont désormais plus de secret pour vous.

 

L’évènement de la semaine: Les heurts entre des habitants de la Reynerie et la police, après plusieurs saisies de drogues dans le quartier, entre mercredi et jeudi dernier. Déjà le 19 septembre, cinq cent grammes de résine de cannabis avaient été saisies par les policiers. Le lendemain, dans l’après-midi, ce sont six kilos du même produit qui avaient été découverts dans une cave. Dans la soirée, trois policiers de la brigade anti-criminalité en patrouille ont interpellé un adolescent de 17 ans, surpris en train de se débarrasser de trente grammes de cannabis. Un serrage qui visiblement n’a pas plu à une quinzaine de jeunes, venus prêter main-forte au jeune homme incriminé. Acculés, les policiers ont répliqué par des tirs de flash-ball et de gaz lacrymogènes. Cibles de caillassage, les forces de l’ordre ont enregistré la dégradation d’un de leur véhicule. Quatre mandatés ont été légèrement blessés, victimes de jets en tout genre.

 

Le verdict de la semaine: Quatre ans de prison dont deux avec sursis. C’est la peine prononcée jeudi dernier à l’encontre de Régine Labeur par le tribunal correctionnel de Toulouse, pour usurpation de titres et usage de faux documents. Pendant cinq ans, cette quinquagénaire s’était faite passer pour une experte psychologue à la faveur de diplômes falsifiés. A partir de tampons académiques de Toulouse préalablement scannés, elle avait transformé de simples photocopies en véritables attestations de compétence. Un procédé grossier qui a quand même réussi à berner les autorités judiciaires de Bordeaux, mandataires de ses expertises. Celles-ci servaient d’éléments d’appréciation auprès des tribunaux de la région, dans des affaires de garde d’enfants, de moeurs ou de délits sexuels. C’est sans doute cet élément qui explique la lourdeur de la peine. A la barre, la faussaire a dit avoir agi par besoin de reconnaissance et non « par appât du gain ». L’argument, semble t-il, n’a pas vraiment convaincu.

 

L’insolite de la semaine: Mardi dernier, une vingtaine de pompiers accompagnés d’un maçon ont du défoncer les murs d’un immeuble pour extraire…. un homme de 320 kilos. L’individu âgé de 48 ans vivait reclus avec son fils dans son appartement de Cazères, à une soixantaine de kilomètres de Toulouse. Atteint d’ « obésité morbide », sa grosseur était telle qu’il n’avait plus la capacité de se déplacer. Cela faisait deux années qu’il végétait sans jamais quitter son lit. Mais les fortes chaleurs du dernier été auraient vraisemblablement accentué ses problèmes de santé, notamment respiratoires. Incommodé et inquiet, l’homme a sollicité une hospitalisation dans les plus brefs délais. Seulement, son impressionnante corpulence rendait impossible son évacuation via les escaliers de l’immeuble ou par sa fenêtre. Seule solution pour les pompiers: casser un pan de la façade du bâtiment et l’extraire au moyen d’une nacelle. Une fois la mission accomplie, il a été transporté à l’hôpital Larrey, à Toulouse.

 

Faits et méfaits:

Vendredi: Un certain Fathi.B, cambrioleur multi-récidiviste et fugitif, a été arrêté dans le quartier d’Empalot au matin, par les gendarmes de Toulouse. Détenu à la maison d’arrêt de Seysses depuis début juillet, l’homme avait été transféré à l’hôpital Marchant avant de s’évader.

Samedi: Une vaste opération anti-alcoolémie a été mise en place dans la nuit, en plusieurs endroits, à la périphérie de la ville. Près de trois cent gendarmes ont été mobilisés. Au décompte, 407 conducteurs se sont révélés positifs. Plus de la moitié ont atteint 0,8 grammes par litre de sang, la limite délictuelle.

Dimanche: De mystérieux tirs de plomb ont atteint la voiture de Georges Tapia, sur la route de Saint-Simon. Vers 21 heures, ce retraité rentrait chez lui à Tournefeuille quand les balles ont commencé à siffler. Les vitres de son véhicule ont été brisées par les impacts.

Lundi: En début de soirée, une course-poursuite s’est engagée entre la police et un automobiliste dans la quartier du Mirail, après que ce dernier ait commis plusieurs infractions au code de la route. Finalement arrêté, l’amateur de rodéo n’était âgé que de seize ans.

Mardi: Deux hommes ont été arrêtées à la Reynerie. Ils arboraient depuis quelques heures une kalachnikov au vu des habitants qui ont prévenus la police. L’un deux a tenté de fuir à bord d’une BMW mais a été repris plus loin.

Mercredi: Deux cambrioleurs cagoulés se sont introduit à l’intérieur d’un pavillon chemin de Gramont, en passant par la fenêtre du toit. Mais tomber nez à nez avec deux rottweilers et leur propriétaire a quelque peu dissuadé leurs manoeuvres. Bien qu’armés, ils ont préféré fuir les lieux.

 

Par Christophe Guerra

Sanofi Toulouse : Un Mélenchon « bouillant de rage », se joint à la résistance

Hier, le combat des Sanofistes a probablement réalisé son plus grand bond médiatique. Convié par le personnel, Jean-Luc Mélenchon est venu en personne se joindre à la résistance. Et planter, symboliquement, « l’arbre de l’enracinement de Sanofi à Toulouse ». C’est le premier homme politique de premier plan à se rendre sur le site depuis l’annonce de la restructuration. Indéniablement, la lutte des salariés toulousains vient de passer le cran au dessus.

 

S’il y avait un « jeudi de la colère » à ne pas manquer, c’était sans aucun doute bien celui-ci. Hier midi, il y avait l’engouement, l’enthousiasme, le surnombre parce qu’il y avait pour une fois un soutien de poids. Chaudement accueilli par des blouses blanches en ébullition, Jean-Luc Mélenchon s’est voulu chaleureux mais sobre. « Je ne m’impose pas. Si on ne m’avait pas invité, je ne serai pas là. Je ne viens pas récupérer, je me fais récupérer » a t-il d’emblée clarifié. Ce n’est que très récemment que l’élu a pris connaissance des détails du dossier. Devant le plan social qui menace toujours les six cent employés du site toulousain, il s’est dit « bouillant de rage ». D’un bagout assuré, l’homme a fait profiter de ses bons mots. « J’ai discuté avec l’inventeur du Plavix, qui n’a rien perçu pour sa découverte, ce qui d’ailleurs ne lui pose pas problème. Son métier le passionne avant toute chose. Cela prouve que la cupidité n’est pas le seul moteur des activités humaines. La cupidité est une névrose chez certains qui adoptent des comportements de criquets ». Ciblés, les actionnaires de Sanofi n’ont pas échappé aux prunes métaphoriques du maître « quenelleur ». « Ces gens-là ne font que dépecer, ils seraient parfaits pour la boucherie » a t-il persiflé, remportant une foule hilare. Des enjeux éthiques ont également émergé du discours. « La question est de savoir quelles sont les valeurs que nous mettons au cœur de la société. Aujourd’hui, l’argent est l’unique critère, l’absurde critère. Le coût du capital, c’est le moindre intérêt humain ».

 

Et maintenant?

Mardi dernier, le comité central d’entreprise du groupe a annoncé la suppression de 900 postes en France. Bien moins que la fourchette de mille à deux mille emplois supposée. Le cas du laboratoire toulousain a été lui considéré comme spécifique. Des réunions exclusivement consacrées à celui-ci devraient être programmées. Outre l’effet Mélenchon, c’est aussi cet aspect contextuel qu’il fallait relever. Mais pour Mohamed Boukhris, technicien du bord au site, la donne n’a que peu changé. « Il n’y a pas vraiment un regain d’espoir puisque ces 900 postes ne concernent pas les effectifs toulousains. Si Sanofi se désengage du site, les suppressions seront portées à 1500 » explique l’homme, qui voit néanmoins la visite du député européen d’un bon œil. « C’est encourageant, on voit bien que la venue d’un politique déclenche beaucoup plus de choses. Cela peut permettre une meilleure médiatisation du cas Sanofi et que les gens prennent conscience de la situation ». Cette dernière est pour Jean-Luc Mélenchon d’importance nationale. « C’est une bataille pour l’intérêt d’une société. La France a investi énormément sur son industrie pharmaceutique. Elle ne doit pas la laisser se faire détruire par des gens venus des Etats-Unis qui n’y connaissent rien ». Le frondeur de gauche a esquissé des possibilités de contre. D’une part, via la mise en place d’une loi interdisant les licenciements boursiers, récemment déposée par un sénateur. De l’autre, par la reconnaissance de droits nouveaux pour les travailleurs, dont celui de véto pour les comités syndicaux d’entreprise. « Nous faisons face aujourd’hui à un cancer financier. Et la molécule contre ce cancer, c’est la lutte! » a t-il fanfaronné. L’amoureux des petites formules venait une nouvelle fois de frapper.

 

Christophe Guerra

Le Pic du Midi porte au plus haut la lutte contre le cancer

Hier, Jean Tkaczuk et Michel Boussaton, conseillers régionaux représentant le président de Région, Martin Malvy, ont participé à la conférence de presse de présentation de l’opération « Le Pic en rose ».

A leurs côtés, François Fortassin, sénateur et président du Syndicat Mixte pour la Valorisation du Pic du Midi – représentant Michel Pélieu, président du Conseil général des Hautes-Pyrénées -, Yann Kersalé, artiste, Bernard Couderc, président départemental de la ligue contre le cancer des Hautes-Pyrénées, ainsi que Christine Ungerer, directrice de cabinet du directeur général de l’Agence Régionale de Santé, ont présenté cette opération inédite.

Organisée dans le cadre d’« Octobre rose », l’installation « Le Pic en rose » fera du Pic du Midi, recouvert d’un manteau lumineux rose, le symbole national de la lutte contre le cancer du sein. Cette initiative, originale et inédite, pensée par l’artiste Yann Kersalé, permettra de récolter des fonds en faveur de la ligue contre le Cancer. Ces soirées du « Pic en rose » auront lieu les 5, 6 et 7 octobre prochain.

Jusqu’au 14 octobre, la Fête Saint-Michel prend ses quartiers au Zénith de Toulouse

Du samedi 22 septembre au dimanche 14 octobre, la fête Saint-Michel s’installe sur le parking du Zénith avec 130 attractions foraines : grandes attractions à sensation, baraques jeux (salles de jeux, grues, cascades, trampolines, tirs…), manèges enfantins (labyrinthe, manèges de chevaux, parcours enfantins, pêches aux canards…), manèges classiques (train fantôme, autoskooters, château hanté, toboggan, boîtes à rires…), baraques alimentaires (churros, barbe à papa, pomme d‘amour, crêpes, gaufres…).

Elle sera ouverte de 15h à minuit les lundis, mardis et jeudis, de 14h à minuit les mercredis et les dimanches, de 15h à 1h les vendredis et de de 14h à 1h les samedis.

>> Pour s’y rendre, le plus simple est d’utiliser le tramway avec la ligne T1 au départ des Arènes, arrêt Zénith et Cartoucherie

THAI prend livraison de son premier A380

Thai Airways International (THAI) a pris livraison de son premier A380, devenant ainsi la neuvième compagnie à exploiter l’appareil de plus grande capacité et le plus éco-efficient au monde. Cet appareil a été remis, au cours d’une cérémonie spéciale organisée aujourd’hui, au commandant Montree Jumrieng, Executive Vice President Technical de THAI, par Kiran Rao, Executive Vice President Sales and Marketing, Airbus.

THAI a commandé six A380, équipés de moteurs Trent 900 de Rolls-Royce. Pour sa flotte, la compagnie a selectionné une configuration tri-classe premium, pouvant accueillir 507 passagers au total. Toutes les classes proposent une nouvelle conception de cabine : 12 suites privées en première classe, 60 sièges transformables en couchettes en Royal Silk Class et 435 sièges en classe économique. Tous les sièges sont équipés des systèmes les plus récents de divertissement en vol, de prises réseau et de branchements électriques individuels.

« Avec l’A380, THAI élève son Royal Orchid Service à de nouveaux standards,” a déclaré Montree Jumrieng, Executive Vice President Technical de THAI. “Dans chaque classe, nous offrons une nouvelle dimension très prisée des passagers, qu’il s’agisse d’une nouvelle conception des sièges ou des systèmes de divertissement les plus récents. Ces caractéristiques, alliées à une cabine spacieuse et silencieuse, ont pour effet de rendre les voyages à bord de l’A380 de THAI aussi fluides et paisibles qu’imaginable ».

« Nous sommes extrêmement fiers d’accueillir THAI en tant que nouvel utilisateur de l’A380″, a déclaré John Leahy, Chief Operating Officer, Customers d’Airbus. « Aujourd’hui, THAI rejoint un groupe de compagnies aériennes d’envergure internationale qui redéfinissent le confort à bord, tout en assurant une exploitation plus efficiente. Avec l’A380, THAI sera bien placé pour répondre à la forte croissance du transport aérien dans la région Asie-Pacifique, de la manière la plus rentable possible. »

Début octobre, THAI exploitera l’A380 sur ses lignes Bangkok – Hong Kong et Bangkok – Singapour. Après la livraison d’autres appareils, la compagnie desservira Francfort à la fin de l’année, puis suivront Tokyo et Paris début 2013.

Depuis sa mise en service en 2007, l’A380 a dépassé toutes les attentes, en transportant davantage de passagers sur de plus longues distances, à un coût inférieur, tout en réduisant l’impact sur l’environnement. Sa cabine spacieuse, silencieuse et confortable, en font aussi un avion très prisé des passagers, avec des coefficients de remplissage plus élevés et une rentabilité accrue sur toutes les lignes où l’appareil est en service.

Doté d’une autonomie de 15 700 km/8 500 nm, l’A380 permet de relier, sans escale et avec une pleine charge passagers, Bangkok et l’Europe, ou, avec une escale, toute destination vers les Etats-Unis.

 

Quand l’art contemporain s’invite dans les vitrines toulousaines

Du 29 septembre au 19 octobre, le festival d’art contemporain Déviation prend ses quartiers dans les vitrines d’enseignes haut de gamme du centre-ville de Toulouse. Une manifestation inédite dans la ville rose.

 

De l’art contemporain dans les vitrines de boutiques du centre-ville de Toulouse, c’est le concept du festival Déviation qui débute le 29 septembre. Organisé par le collectif Brigade A4 et en association avec l’agence Perfeclovers, ce projet a pour but de faire découvrir des artistes en dehors du cadre institutionnel. Sept enseignes haut de gamme ont accepté de participer à cette aventure, Antoine et Lili, Cotélac, Upper, Emling, St Hilaire, Eden Park et Marithé + François Girbaud. Les artistes investissent l’espace des vitrines avec leurs créations sans aucune exigence de la part des organisateurs. « On les laisse avec toute l’imagination qu’on leur connait, d’ailleurs ce n’est pas nécessaire que les productions aient une résonance avec la marque, la seule contrainte est l’espace mis à la disposition de chaque artiste. Ils utilisent les matériaux qu’ils souhaitent pour aboutir à un point de vu décalé sur des réalités que l’on connaît » explique Marie Messina de Perfectlovers.

 

Un circuit artistique

L’association a anticipé toute demande pour mettre le visiteur dans les meilleures conditions au cours de la visite. « Un programme et un plan sont prévus et chaque vitrine est reliée à l’autre avec un rappel » explique Marie Messina. Des parcours sont étudiés notamment pour les étudiants et les entreprises. Personne n’est mis à l’écart, le 5 octobre, la manifestation est ouverte aux personnes malvoyantes, les œuvres sont contées et les vitrines dotées de l’audiodescriptions. Pour rendre compte du travail des artistes, les œuvres sont « thermoformé », grâce au touché, ces personnes pourront s’apercevoir de la forme de l’œuvre.

Pour plus d’informations, rendez-vous sur le site du festival

 

Emma Faury

Toulouse Infos