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Comme un bon vieux coup de Revolver

Image d’Illustration. Photo / CTDRDepuis quelques mois déjà, leur nom et leur musique se propagent aussi vite qu’une balle de 9 mm. Attention à ces trois gars-là, ils n’ont pas encore fini de faire parler la poudre. Rencontre avec Christophe, chanteur et guitariste de la formation.

 

Comment est né le trio Revolver ?

Au départ, nous chantions ensemble avec Ambroise. Lui avait fait pendant deux ans la Maîtrise de Notre-Dame de Paris (école de chant) et il y avait rencontré Jérémie. À un moment, on a trouvé qu’il nous manquait de la texture et une voix. Ambroise a donc naturellement pensé à Jérémie qui est aussi un excellent joueur de violoncelle.

Vous avez eu une formation classique, comment en arrive-ton à faire de la pop ?

Pour tout avouer, Jérémie jusqu’à très peu, n’avait jamais écouté autre chose que du classique. Quant à Ambroise et moi, nous sommes tombés en 2003 sur des disques d’Elliot Smith. Et même si cela ne se ressent pas forcément dans notre musique, c’est vraiment l’une de nos plus grandes influences. Bien sûr, on peut aussi citer les Kinks ou les Beatles (Revolver est le nom d’un de leur cd). Mais c’est Elliot Smith qui nous a le plus inspiré, étant notre contemporain.

Vous avez donc laissé tomber vos bases classiques ?

Non, bien au contraire. Nous adorons Purcell par exemple, et c’est d’ailleurs pour cela que nous avons décidé de donner le nom d’une de ses compositions à notre album (Music for a while, EMI, 2009). Certains pensent que les oeuvres classiques sont difficiles d’approche. Ce n’est pas le cas de sa musique.

À la suite de votre EP, vous aviez déclaré vouloir enregistrer l’album seuls…

(Rires)… Un doux rêve ! On voulait effectivement aller en Normandie pour nous débrouiller seuls. Finalement, c’était ingérable. Alors notre directeur artistique nous a conseillé de nous entourer et l’enregistrement s’est bien déroulé.

On vous retrouve le 24 octobre à Toulouse, quelques mots sur votre live ?

Nous nous définissons comme « pop de chambre », donc il a fallu s’adapter à jouer dans des salles de concertEt pour donner un peu de piment à notre live, nous avons un batteur qui se joint à nous sur la tournée. Pour le moment, le public nous accueille plutôt bien alors espérons que cela continue.

Justement, au vu de votre ascension fulgurante, que peut-on vous souhaiter de plus ?

Maintenant, on espère voir les salles combles. J’ai toujours été admiratif des groupes comme Cocoon qui forgent une bonne partie de leur réputation sur leurs prestations live. À nous de suivre cette voie. /

Fabien Pomiès

Dusautoir récompensé, Nyanga blessé

Thierry Dusautoir vient d’être nommé capitaine du XV de France. Photo / Crédit dominiqueviet Le troisième ligne du Stade Toulousain vient d’être nommé capitaine du XV de France en lieu et place de Lionel Nallet, l’ancien Castrais. Son coéquipier Yannick Nyanga se fait lui opérer aujourd’hui.

 

Finalement, la transition se sera fait en douceur. Après avoir pris le brassard en intérim durant la dernière tournée en Nouvelle-Zélande et en Australie, Thierry Dusautoir voit enfin son travail récompensé. Une bonne nouvelle pour Midi-Pyrénées. Car, après Lionel Nallet, ancien Castrais, c’est désormais un Toulousain qui prend le capitanat. De quoi enchanter Martin Malvy, le président de la Région : « Je suis convaincu que Thierry Dusautoir a toutes les qualités pour inscrire ses pas dans ceux des grands capitaines toulousains du XV de France tels que Jean Pierre Rives ou plus récemment Fabien Pelous. Je lui souhaite évidemment de mener la sélection nationale aussi loin que ces illustres prédécesseurs. Encore toutes mes félicitations à celui que les anglo-saxons nous envient et surnomment désormais le “Black Destroyer” ».

Plaqueur efficace et élément indispensable du Stade Toulousain, le troisième ligne jouera d’ailleurs son prochain match avec les Bleus… à Toulouse. Ce sera le 13 novembre face aux champions du monde Sud-Africains. Une rencontre à laquelle Yannick Nyanga ne pourra pas participer à cause d’un nouveau pépin physique. Souffrant d’une rupture du tendon rotulien du genou droit, il se fait opérer aujourd’hui et sera absent cinq mois. Le Stade réfléchit déjà à utiliser un joker médical.

Fabien Pomiès

Marathoniens, Marathoniennes …

C’est l’évènement ! Pour sa troisième édition, le Marathon du Grand Toulouse débutera ce dimanche…

 

L’occasion pour beaucoup de découvrir le nouveau parcours dessiné par de marathoniens. Les sportifs passeront notamment  par le centre historique, la place du Capitole et les berges de la Garonne pour une « balade » de 42,195 km.

C’est aujourd’hui que l’évènement est lancé avec des animations prévues tout le week end.

Ce n’est pas uniquement un tour de Toulouse que nous propose cette édition, mais un véritable tour du monde. Le parcours sera découpé en six continents ou de nombreuses animations sont organisées. L’Océanie, l’Europe, l’Amérique du nord, l’Asie, l’Afrique ou encore l’Amérique Latine…un véritable voyage pour les participants.

Et cette année l’évènement est bien entouré puisqu’il compte sur le parrainage de Martial Mbandjock, figure de l’athlétisme français, demi finaliste sur 100 mètre aux Jeux Olympiques de Pékin en 2008, qui était cet été encore à Berlin pour participer aux championnats du monde.

Mais 2008 n’est pas une année importante que pour Martial Mbandjock, puisque c’est cette année là que le marathon du Grand Toulouse reçoit le label national de la Fédération Française d’athlétisme, lui permettant ainsi de se classer parmi les plus grand marathons français.

Et ce n’est pas Pierre Laurent Viguier qui dira le contraire. En 2007 il arrivait 3eme, et frôlait la grande victoire l’an passé avec une place de second par équipe.

Le Toulousain compte bien participer à cette troisième édition, dont il nous parlera directement dans le journal de soir soir.

Alexandra Krstic

Toulouse, une ville “low cost” ?

2008 : une année morose pour le secteur de l’immobilier. Photo / CTISi aujourd’hui les derniers résultats sont meilleurs à Toulouse, on ne peut pas dire que 2008 ait été une année très rose pour le secteur de l’immobilier.

 

Touchées de plein fouet par la crise, certaines agences ont néanmoins su tirer leur épingle du jeu en suivant le modèle économique de plus en plus répandu: le “low cost”, un terme désormais entré dans le langage courant.

Bien entendu, Toulouse ne déroge pas à la règle. Comme l’agence “Zaf Immobilier”, ou encore de “Immo Low Cost 31”, de plus en plus d’agences immobilières dites “discount” se créent dans la ville rose, et dans le pays.

Leur but? Proposer des biens à prix plus avantageux que des agences immobilières courantes.

Pour ce faire, les agents ont leurs méthode. Il s’agit de réduire visiblement le pourcentage de leurs commissions, en les compensant par des méthodes de travail simples, efficaces, mais bien moins coûteuses. De 6 à 8 % pour les agences traditionnelles, les commissions ne sont que de 2 à 4 % seulement pour ces nouvelles entreprises.

Bien évidemment, une telle méthode mérite d’être compensée. Encore une fois, la technique est simple, mais elle nécessite un outil essentiel : Internet.

Car c’est là toute la particularité des ces agences immobilières : créer leur vitrine sur la toile leur permet notamment d’économiser des coûts de loyer, et d’aller à l’essentiel. Pas de visites inutiles, mais des méthodes directes, et le plus souvent, des visites groupées.

Le “low cost” touche aujourd’hui  tous les secteurs de l’immobilier, de la vente à la location, des particuliers aux professionnels.

Une ville rose “low cost”, et si c’était ça le nouveau secret de l’immobilier?

Alexandra Krstic

Le bio se refait une beauté

Les cosmétiques naturels rattrapent leur retard en France. Photo / CTILes cosmétiques naturels rattrapent leur retard en France. Pour preuve, un tour d’horizon local avec deux sociétés, 3 fées et 1001 vies.

 

Au sujet du bio, Elodie Wurtz, agricultrice bio du département et membre de l’ERABLE 31 concluaitdans notre article de la semaine dernière « A force d’attendre, je commence à avoir peur que ca ne vienne pas ». La situation n’est pas si statique dans le maquillage naturel. En effet , apparaisse, ça et là, des entreprises qui s’engouffrent dans la brèche actuelle. Proche de chez nous, deux sociétés répondent à l’appel :

Pour le maquillage minéral, les 3 fées, rue des pharaons à Toulouse propose au travers de son site web du maquillage minéral. Comme son nom l’indique celui-ci ne contient que des composants d’origine minérale, pas de conservateurs ou de corps gras. Une situation en retard en France de plusieurs années mais qui progresse.

Plus éloigné de Toulouse mais toujours dans le naturel, 1001 vies dans le Tarn reste dans le secteur des cosmétiques bio avec des produits bio pour bébé. Le label bio est obtenu si 10% des produits sont certifiés bio, un pourcentage que la société monte à 50 % avec des produits locaux.

Au regard de ces exemples, le secteur se dynamise. Mais éspérons que le bio prenne une part de marché supérieur dans les cosmétiques en comparaison à l’agriculture car « seulement 2% des surfaces agricoles sont consacrées  à ce mode d’agriculture, contre 2.2% en 2007. Si la région est l’une des meilleures, proportionnellement aux surfaces agricoles, les résultats ne sont pas très élevés », selon Elodie Wurtz.

Régis Bachelu

3 tendances pour un groupe

Page web du Groupe des Elus Non Inscrits. Photo / CTIIls sont 5 et ne partagent pas toujours les mêmes opinions politiques. Pourtant, ils ont créé ensemble le Groupe des Elus Non Inscrits..

 

Le Modem, les Verts  ou encore le Parti Socialiste, un mélange peu commun pour un groupe formé à la mairie.

Malika Aradj, Jean Luc Forget et Jean Luc Lagleize, du Modem, Yvette Banayoun-Nakache ancienne membre du Parti Socialiste et la Verte Marie-Françoise Mendez,  se sont rassemblés depuis le mois de mars dernier, pour former un seul et même groupe : celui des élus non inscrits.

Mais trois partis réunis en un même groupe,  est ce simple à gérer ?

« Nous avons une totale liberté de vote sur tout, on peut donc avoir des opinions différentes » explique Marie Françoise Mendez.

On peut en toute légitimité se demander si cette diversité ne pose pas de problème pour présenter une idée commune au conseil municipal, « Pour le moment non. Mais nous ne cherchons pas à tout prix à avoir une position homogène. De plus, jusqu’ici nos avis ont facilement convergé  ».

Mais permettre le dialogue, reste aujourd’hui un point essentiel. C’est dans ce but que le groupe vient de créer un nouveau blog, ouvert aux commentaires et offrant plusieurs actualités politiques de la ville, tels que des comptes rendus municipaux, ou des réactions à des faits de société actuels, du décès de Brice Taton, aux dix ans du Pacs.

Par ce blog, le groupe souhaite se rendre plus visible, et se donne l’opportunité de créer une interactivité avec la population « Nous voulons être accessibles et pouvoir communiquer avec les Toulousains qui le souhaitent.», une méthode de communication pertinente et essentielle, pour un groupe justement créé pour avoir le droit à la parole.

Alexandra Krstic

Toulouse: un nouvel espoir contre le cancer du sein

Affiche contre le cancer du sein. Photo / CTDRAprès dix à quinze ans de travail, les recherches de l’INSERM- Toulouse ont révélé d’importantes évolutions pour la lutte contre le cancer du sein.

 

Tout réside dans le mécanisme d’une molécule proche du Tamoxifène, (le premier traitement contre le cancer du sein) appelé le PBPE.

De nombreuses études avaient déjà prouvé que la phase d’allaitement protégeait du cancer du sein, c’est là le principe. Comme le Tamoxifène, il stimule le processus de lactation, et de manière naturelle, provoquerait la destruction des cellules cancéreuses. Mais son étude permet de comprendre les phénomènes de résistance au traitement.

A terme, Marc Poirot, directeur de recherche à l’INSERM-Toulouse, espère que cette découverte permettra de « développer de nouvelles molécules, pour arriver à des médicaments de seconde génération qui auront des propriétés améliorées par rapport au Tamoxifène[…] mais le chemin est encore long, entre les différents tests et les essais clinique, il faut compter cinq à dix ans pour pouvoir mettre un médicament sur le marché »

Mais les résultats de ces recherches ne s’arrêtent pas là. Les découvertes vont permettre aux chercheurs de mieux comprendre certains effets du traitement : « On met en évidence le fait que la vitamine E, qui est un puissant antioxydant, peut contrarier le traitement en inhibant les effets de ses molécules. Cette découverte est très important notamment aux Etats-Unis où son utilisation est très répandue ».

Le cancer du sein est le cancer le plus répandu chez les femmes, d’où l’importance de ces  découvertes, qui, à terme pourraient bien permettre d’améliorer la qualité des traitements.

Alexandra Krstic

0% Foot spécial Marathon de Toulouse

Au sommaire : Serge Robert, second du marathon du Grand Toulouse dans la catégorie handisport et Paul Lepert (www.journaldurugby.fr), pour la chronique rugby.


0% Foot spécial Marathon de Toulouse par ToulouseInfos

Marathon de Toulouse pierre laurent Viguier

Interview de Pierre Laurent Viguier 4ème du marathon du Grand Toulouse 2009. Quelques minutes après son arrivé, le coureur du CA Balma trouve le temps de répondre à nos questions.


Marathon de Toulouse pierre laurent Viguier par ToulouseInfos

Salon des gourmets des lettres

Interview de Jean Jacques Rouch, auteur du « maitre du Safran » et lauréat du prix littéraire de la ville de Toulouse au 4ème salon des gourmets des lettres.


Salon des gourmets des lettres Lauréat Jean… par ToulouseInfos

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