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Hockey sur Glace : Le TBHC est relégué en D2

Les Bélougas auront tout donné pour cet ultime match de la saison régulière du Championnat de France de Hockey sur Glace de Première Division. Ils auront tout donné face aux Aigles de Nice, certes techniquement supérieur; ils auront fait jeu égal, 1 à 1 à la fin du premiers tiers, 2 à 2 après la deuxième période, avant de capituler dans les dernières minutes de la rencontre.

Le public aura tout donné également, tout au long d’une saison riche en émotions, où le TBHC aura battu ses records de remplissage avec plus de 1000 spectateurs à chaque rencontre, et une patinoire encore pleine à craquer pour ce dernier match. Une fois encore, les supporters étaient au rendez-vous, scandant chaque instant du jeu, jusqu’aux larmes partagées des derniers instants.

Le TBHC est sportivement relégué en D2, mais reste riche des ses joueurs, supporters et bénévoles qui permettront tous ensemble, sur des bases solides, de construire l’avenir.

 

Communiqué de presse

Logement : Pierre Cohen salue les 20 mesures de François Hollande

François Hollande a dévoilé jeudi vingt mesures pour tenter de relancer la construction de logements en France. Des mesures saluées par le mouvement HLM, les entreprises mes également par le maire de Toulouse Pierre Cohen.

 

« Ce plan démontre la volonté du gouvernement de s’emparer des sujets les plus urgents pour nos concitoyens que sont le logement et l’emploi. Il est une réponse pertinente à la pénurie de logements neufs, à la hauteur des attentes des acteurs économiques, mais aussi et surtout des personnes, de plus en plus nombreuses, qui peinent à trouver un logement décent. La baisse de la TVA à 5% permettra aux constructeurs d’atteindre l’objectif ambitieux de 150 000 logements sociaux par an et de maintenir des emplois dans un secteur menacé. Enfin, les mesures en faveur de la rénovation thermique des logements feront baisser les factures de consommation d’énergie et contribueront à l’effort de protection de l’environnement. Dans ce contexte de crise, ces nouvelles mesures vont donner un nouveau souffle au secteur du bâtiment et aux ménages. A Toulouse, elles nous permettront de poursuivre plus sereinement nos efforts en faveur de l’emploi et du logement. »

 

Communiqué de presse

Cette semaine, Toulouse passe à l’heure polonaise

La Semaine Polonaise, organisée depuis plus de 20 ans par la Section de Polonais de l’Université de Toulouse II-le Mirail, a pour vocation de présenter au public les différents aspects de la culture polonaise.

Ainsi, l’édition 2013 propose de revenir sur les différentes expressions artistiques du réalisme socialiste, au travers d’expositions, de concerts, de films et de conférences organisés notamment à la Fabrique Culturelle, au musée des Augustins, à la Cinémathèque…

>>Télécharger le programme

 

Communiqué de presse

La ministre de l’Artisanat Sylvia Pinel en visite ce mardi à Toulouse

Sylvia Pinel, ministre de l’Artisanat, du Commerce et du Tourisme, inaugurera à Toulouse le salon Rendez-vous en France 2013 en présence de François Huwart, président du conseil d’administration d’Atout France, de Christian Mantei, directeur général d’Atout France de Martin Malvy, président du Conseil régional de Midi-Pyrénées et de Pierre Cohen, maire de Toulouse.

Véritable vitrine de l’offre nationale et rendez-vous d’affaires incontournable du tourisme réceptif français, le salon « Rendez-vous en France » permettra aux 680 acteurs du tourisme français participants de présenter leur offre et leurs nouveautés aux 900 voyagistes internationaux invités par Atout France les 26 et 27 mars à Toulouse.

Plus de 21 000 rendez-vous d’affaires sont d’ores et déjà organisés dans le cadre de cette manifestation ; ils permettront aux professionnels français exposants de bénéficier d’une place privilégiée dans la programmation future des voyagistes.

Avec 44 voyages organisés sur l’ensemble du territoire pour 425 tour-opérateurs internationaux, c’est également la diversité de nos destinations et le savoir-faire des professionnels français qui seront valorisés.

Programme :

10 H 30 : Inauguration du salon « Rendez-vous en France » au Parc des expositions, Rond-point Michel Benech

10 H 35 : Visite du salon

11 H 15 : Moment d’échange avec la presse

 

Communiqué de presse

Bolzan soutient Moudenc : L’UDI « très déçu du ralliement individuel et isolé »

Ce jeudi, le Secrétaire départemental du Parti Radical et membre fondateur de l’UDI a annoncé chez nos confrères de France 3 sa décision de soutenir l’ancien maire UMP Jean-Luc Moudenc, garant de « l’unité »de la droite et du centre. Une prise de position que regrette l’UDI qui nous a fait parvenir ce communiqué de presse.

 

« Nous avons appris jeudi par voie de presse la décision de Jean-Jacques Bolzan de rejoindre l’équipe UMP pour les municipales à Toulouse conduite par son président départemental, Jean-Luc Moudenc, et de ce fait de quitter l’équipe UDI qui travaille à la constitution d’une équipe et d’un projet autour de notre candidate Christine de Veyrac.

Chacun est bien entendu libre de ses choix. Nous prenons acte de cette décision même si nous la regrettons tant sur le fond que sur la forme :

– Sur le fond, car Jean-Jacques Bolzan fait un choix individuel, qui n’engage que lui, et en rupture totale avec la stratégie collective mise en place par les équipes UDI locales depuis plusieurs mois, avec le soutien des instances régionales et nationales.

– Sur la méthode, car il a préféré annoncer publiquement sa décision avant même d’en informer les amis de sa famille politique avec lesquels il travaille depuis de nombreuses années.

Nous sommes très déçus de ce ralliement individuel et isolé. Et ce d’autant que nous avons toujours prôné le rassemblement des forces du centre et de la droite. Les discussions avec nos partenaires de l’UMP auront lieu en temps voulu, sans doute à l’automne, dans un cadre national, comme l’a rappelé Jean-Louis Borloo récemment.

D’ici là, l’UDI a à cœur de continuer à travailler activement à l’élaboration d’un projet ambitieux pour Toulouse, avec et autour des toulousains, derrière Christine de Veyrac.»

 

Communiqué de presse

Toulouse : La préfecture ordonne une « expulsion illégale » d’un bâtiment réquisitionné

Vendredi 15 mars au soir, les membres du Créa ont réquisitionné un bâtiment laissé libre depuis deux ans par le Conseil Général. Quatre jours plus tard, une vingtaine de CRS les ont expulsés dans l’« illégalité ». Voici les explications du Créa.

« Les récents rendus de justice déclarant quatre de nos maisons expulsables et les personnes continuant à venir nous rencontrer pour s’organiser avec nous face à leurs problèmes de logement nous ont amenés à ouvrir un nouveau bâtiment. Le 10 rue Blanchard était vide depuis au moins deux ans et appartient au Conseil Général de la Haute-Garonne. Nous avons investi ce lieu le vendredi 15 mars au soir et en avons officialisé l’ouverture tous ensemble le lundi suivant.

Allaient pouvoir y vivre une vingtaine de personnes laissées à la rue, des espaces auraient été libérés pour des activités collectives, gratuites et émancipatrices. Mais tandis que nous nous attelions à la répartition des espaces et à organiser la vie future du lieu, les keufs, eux, préparaient notre expulsion.

Le mardi 19, en milieu d’après-midi, notre bâtiment était donc encerclé par une vingtaine de CRS nous expulsant et nous contrôlant de manière arbitraire. C’est encore la même équipe de CRS et de RG que nous retrouvons à chaque expulsion, et qui n’ont pas pris la peine de regarder les preuves de la légalité de notre occupation alors qu’un huissier l’avait constaté la veille (rendant ainsi l’expulsion de ce bâtiment illégale). Que l’on réquisitionne des bâtiments privés ou publics, les proprios, les tribunaux et les flics sont toujours prompts à nous remettre dehors.

Nous continuerons à nous organiser et à libérer des lieux permettant à tous et toutes de vivre comme on l’entend, à l’écart de leur système marchand ou de gestion sociale de la misère. »

 

Communiqué de presse du Créa

Printemps des pères : « les féministes ne sont qu’une minorité d’extrémistes »

Le collectif des parents qui ont organisé jeudi dernier dans toute la France des opérations afin de sensibiliser l’opinion à la problématique des droits de garde inéquitablement rendus par la justice, tenait à dénoncer la tentative de certaines organisations féministes à faire glisser cette problématique vers une guerre des sexes, et donc vers la division. Voici le droit de réponse demandé par Stéphane Iltis, un Papa privé de ses enfants depuis 4 ans, au communiqué d’Osez le féminisme publié vendredi sur notre site.

 

« Le masculinisme est un concept inventé de toutes pièces par la mouvance féministe afin de s’ériger un pseudo-opposant et de légitimer ses revendications sexistes.

Il n’y a dans le mouvement des parents pour la coparentalité, en plus des femmes concernées, que des hommes, qui assument simplement leur condition masculine avec assurance, sans complexe ni outrance, avec tout ce que cela implique de force et de faiblesse, d’amour pour leurs enfants – et surtout pour les femmes sans lesquelles ils ne seraient rien et surtout pas des pères.

Pas besoin pour ces hommes d’affirmer leur virilité sous-couvert d’une pseudo mouvance masculiniste – n’en déplaise aux féministes volontiers enclines à sombrer dans la paranoïa et à se sentir menacées dès qu’un homme éternue.

Ce mouvement n’a d’autre but que de sensibiliser l’opinion à l’immense souffrance que recouvre cette politique de la Justice aux Affaires Familiales, qui consiste à répartir très inéquitablement les droits de garde des enfants – alors même que la loi de février 2002 érige la coparentalité comme principe, et que la Convention Internationale des Droits de l’Enfant stipule que l’enfant doit pouvoir bénéficier également de ses deux parents.

Et n’en déplaise aux féministes, force est de constater que ce déséquilibre profite très majoritairement aux femmes, qui obtiennent dans plus de 85% des cas la résidence de l’enfant à leur domicile. Alors qu’elles sont si enclines à prôner la légitime égalité des femmes dans la société, les féministes qui nous accusent ici devraient s’émouvoir d’une telle inégalité et d’une telle injustice !

Dieu merci, chacun sait que les féministes ne sont qu’une minorité d’extrémistes, et que l’immense majorité de l’opinion considère que les hommes sont très nettement défavorisés par la Justice aux Affaires Familiales.

Et surtout, ils sont fermement soutenus par la plupart des femmes, qui considèrent avec l’intelligence de leurs cœurs de Mamans que leurs enfants ont besoin de l’amour de leur papa, autant que du leur, pour pouvoir se construire et s’épanouir.

Les actions menées étaient avant tout un message d’amour – celui de malheureux papas, qui pour la plupart d’entre eux n’ont plus pour exister en tant que pères que ce moyen de monter sur des grues ou des édifices.

Dommage qu’une minorité vienne salir ce message d’amour par un appel à l’opposition et donc à la haine. Mais cette minorité pense-t-elle seulement à l’enfant ?

C’est à en douter. »

 

Communiqué de Stéphane Iltis, Un Papa privé de ses enfants depuis 4 ans

Le FENIX obtient un point face à Tremblay

Le FENIX Toulouse Handball recevait Tremblay-en-France ce vendredi soir, pour le compte de la 19e journée du Championnat de D1. Deux équipes proches au classement qui se quittent sur un score de parité.

 

L’entame du match est compliquée pour les Toulousains, qui sont déjà menés de 5 buts à la 6e minute (1-6), en raison notamment de nombreuses pertes de balle. Joël Da Silva opère alors un changement tactique, et Michelin Célestin délivre 4 passes décisives qui remettent le FENIX dans le sens de l’attaque : les joueurs du FENIX égalisent à la 23e minute (11-11). Trois minutes plus tard, ils virent en tête pour la première fois de la rencontre (13-12), et rentrent au vestiaire avec un but d’avance (mi-temps : 14-13).

Pendant une bonne partie de la seconde période, ils font la course en tête et comptent même jusqu’à trois longueurs d’avance (24-21 à la 46e). Après être revenus au score, et après avoir pris l’avantage, le plus dur semblait être acquis, mais la fin de match du FENIX s’avère difficile. La sortie sur blessure de Valentin Porte (cheville*) met l’équipe en difficulté, puis deux minutes sont sifflées à l’encontre de Jérôme Fernandez. Tremblay en profite, égalise puis parvient à mener au score à la 58e (26-27). Au courage, et poussés par le public du Palais des Sports, les Toulousains réussissent à arracher le match nul (score final 27-27).

Dans des conditions difficiles, les joueurs ont montré un état d’esprit combatif et obtiennent donc un point supplémentaire pour la course au maintien. Leur position reste inchangée au classement : le FENIX occupe la 10e place, avec 15 points.

*Le staff médical est en attente d’examens complémentaires pour évaluer la durée d’indisponibilité de Valentin Porte.

 

Communiqué du Club

Cpile et face, l’institut de beauté cosy sur Toulouse

Niché au sein du passage Mercure, quartier St Georges, l’institut de beauté et de minceur Cpile et face vous accueille dans un cadre chaleureux et dynamique. Au quotidien, David Giovannini, le maître des lieux, met en œuvre une équation harmonieuse entre professionnalisme et soins à la carte. Une formule qui séduit de plus en plus une clientèle mixte.

 

« Ici tout est conçu à taille humaine, les clientes et les clients se sentent comme dans un cocon de bien être. J’ai voulu créer un salon de beauté où l’on privilégie l’écoute afin que nos clients soient conseillés et coachés en fonction de leurs besoins ». Loin des salons impersonnels, David Giovannini se distingue par sa disponibilité. Célia Guermoudj, miss Midi-Pyrénées 2012 est tombée sous le charme de l’équipe de Cpile et face. « J’ai été très bien accueillie par David et par Charlyne, sa collaboratrice. Contrairement aux grands salons, ils sont toujours présents et très professionnels » souligne la jeune reine de beauté. Partisan du travail bien fait, David Giovannini a investi dans du matériel et des produits haut de gamme. « Pour toutes nos prestations, nous travaillons avec un fabriquant Français : « Derméo ». Nous sommes équipés de matériels testés en milieu médical, à la Pitié-Salpêtrière à Paris, avec les normes médicale CE. Pour la photo dépilation à la lumière pulsée, notre équipement permet le traitement des peaux bronzées, foncées et métissées ce qui est très rare ».

 

Coaching et conseil

Que ce soit pour les services liés à la beauté, à l’amincissement ou à l’activité sportive, David Giovannini veille au bon déroulement des opérations. « Au salon, nous disposons d’une Power Plate professionnelle qui est très demandée. Et pour que les clientes optimisent le travail des muscles, la tonification et le raffermissement de leur silhouette, nous proposons un coaching personnalisé C explique le gérant. Des résultats probants au quotidien que l’on retrouve également pour la presso thérapie, une méthode qui élimine les toxines du corps. Beaucoup de commerçants du quartier ont recours à cette technique, cela marche très bien notamment pour les jambes lourdes. « J’avais pas mal d’expérience dans des salons mais là c’est la première fois que je vois ça » explique Charlyne. Pour retrouver un teint éclatant, Cpile et face propose également des séances de photo rajeunissement. Quand aux séances de cavitation, elles vous permettent de vous débarrasser de vos kilos en trop, jusqu’à 2 cm perdu par séances. Un panel de prestations à prix doux, accompagné d’une formule vip économique…. « il ne vous reste plus qu’à venir découvrir notre équipe. Votre nouveau partenaire beauté minceur pour être au top cet été !!! »

 

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Alain Refalo : « le tribunal a statué sur la légalité et non pas sur la légitimité »

La décision de justice concernant Alain Refalo est tombée lundi dernier. Enseignant à Colomiers, il a lancé en 2009 un mouvement de résistance pédagogique contre la réforme Darcos. Souhaitant faire annuler les sanctions infligées à son encontre par l’inspection académique de la Haute-Garonne, il avait saisi le tribunal en juillet 2009. Entretien.

 

ToulouseInfos : Quels étaient réellement les faits qui vous ont été reprochés ?

Alain Refalo : Avec l’arrivée de la réforme Darcos à la rentrée 2008, un système d’aide personnalisée a été mis en place. Nous devions séparer en petit groupes les élèves présentant des difficultés scolaires pour qu’ils puissent se remettre à niveau. Ce dispositif est inapproprié, je n’ai pas pu le cautionner. À la place, j’ai créé un atelier théâtre qui, à mon goût, est plus motivant pour les élèves. J’ai subi plusieurs contrôles académiques qui ont finalement abouti à un rapport dans lequel je me suis vu retiré 27 jours de salaire entre janvier et juin 2009 et une promotion pour « service incomplètement fait ». Je regrette que le tribunal ait statué sur la légalité et non pas sur la légitimité.

TI : Comptez-vous faire appel de la décision de justice ?

AR : La première décision a mis quatre ans pour être prise, cela n’a pas beaucoup de sens. Quoi qu’il en soit, il y a peu de chance pour que cela aboutisse. De toute façon, là n’était pas l’essentiel, j’ai juste souhaité pointer du doigt l’illégitimité de la sanction. Cette décision confirme que la jurisprudence a toujours donnée raison à l’administration.

TI : Que va devenir le mouvement des « enseignants-désobéisseurs » ?

AR : Il est maintenu. Pour ne pas lâcher prise, nous avons mis en place une caisse de solidarité nationale à destinations non seulement des parents mais aussi de tous les citoyens. Elle permet de compenser un petit peu les pertes de salaires. Pour ma part, je continue à donner des cours et l’atelier théâtre est toujours en place.

TI : Votre récente entrée en politique est en lien avec cette envie de continuer le combat ?

AR : Je suis militant depuis un bon moment déjà, en faisant la promotion de la non-violence. J’ai effectivement décidé de m’impliquer sur le plan politique auprès d’Europe Ecologie les Verts, mais il n’y a pas de relation directe avec le mouvement d’ « enseignants-désobéisseurs », c’est plutôt une coïncidence. Je ne veux pas seulement être dans un esprit de contestation, mais surtout dans une idée de projet avec une dimension locale forte à Colomiers.

 

Propos recueillis par Rémi Beaufils

Toulouse Infos