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Tournoi So Toulouse : Bilan encourageant pour le Fenix qui termine par une victoire

Vendredi et samedi dernier se tenait le Tournoi International So Toulouse de Handball au Palais des Sports. L’occasion pour les coéquipiers de Jérôme Fernandez de se mesurer à ce qui se fait de mieux en Espagne. Résultats, les Fenix se sont logiquement inclinés face à Barcelone mais on remportés leur second match face au troisième du dernier championnat espagnol.

 

Ce vendredi avait lieu au Palais des Sports la première journée du Tournoi International So Toulouse. 3000 spectateurs toulousains ont assisté à une très belle fête du handball lors des deux confrontations France-Espagne qui leur étaient proposées.

Dans le premier match, les joueurs d’Aix se sont inclinés de deux buts face à La Rioja, troisième du dernier championnat espagnol (31-33, MT 12-17).
Dans le deuxième match, le FENIX accueillait l’équipe du FC Barcelone, finaliste de la dernière Ligue des Champions. Les Toulousains ont lutté avec leurs armes mais n’ont finalement rien pu faire face à la qualité de jeu proposée par le Barça. Ils s’inclinent donc dans leur deuxième match de préparation, sur le score de 30 à 48 (MT 14-23).

Samedi, le FENIX recevait La Rioja pour le dernier match de ce 1er tournoi So Toulouse et à l’issue d’un match plutôt bien maîtrisé, le FENIX l’a emporté sur le score de 31 à 28 (MT 19-14).
Malgré un passage à vide entre la 35e et la 42e minute, les joueurs de Joël Da Silva ont livré une prestation encourageante pour la suite de leur préparation estivale, avec notamment une défense bien en place et la bonne forme des pivots (à noter que Loïc Van Cauwenberghe réalise un joli 9/9 lors de ce Tournoi et Miha Zvizej 9/13).

Prochaine étape pour le FENIX, le challenge Marrane, qui se déroulera les 31 août et 1er septembre, aux côtés des équipes d’Ivry, Kristianstad et St Petersbourg.

 

Communiqué de presse du Club

Vincent Peillon fait sa rentrée ce lundi à Toulouse

Vincent Peillon, ministre de l’éducation nationale, est en visite ce lundi dans la ville rose. Lors de ce déplacement, le ministre rencontrera les étudiants qui sont admissibles aux concours enseignants du 2nd degré de l’académie de Toulouse.

 

C’est la rentrée pour le gouvernement et plus particulièrement pour le ministre de l’éducation qui sera à Toulouse ce lundi pour rencontrer les étudiants admissibles aux concours enseignants du 2nd degré de l’académie. Ces étudiants seront les premiers à être formés dans les nouvelles Ecoles supérieures du professorat et de l’éducation, dès la rentrée 2013.  A l’issue de cette rencontre, Vincent Peillon ira saluer les personnels des services académiques du rectorat.

 

Déroulé du déplacement

14h30 : Intervention de Vincent Peillon lors de la réunion d’accueil des étudiants admissibles aux concours enseignants du 2nd degré de l’académie de Toulouse.

16h : Rencontre avec les personnels des services académiques

Communiqué de presse

Sovinty 3S Mobile : Un logiciel qui « fluidifie l’information et solidifie la relation patient-médecin »

La jeune PME Sovinty vient de remporter le Grand Prix Pierre Fabre aux Trophées de la e-santé pour son logiciel Sovinty 3S Mobile. Ce projet est une plate-forme mobile dont l’objectif consiste à fluidifier l’information entre les différents acteurs de l’univers médical lors de la prise en charge du patient et les aider dans la sécurisation de leurs actes. Entretien avec François Prigent, président-fondateur de Sovinty.

 

Toulouse Infos : Pouvez-vous nous présenter votre société ?

François Prigent : Basée à Cornebarrieu, Sovinty est une jeune PME toulousaine créée avant tout pour apporter de l’innovation, la fluidité et la simplicité numérique au service du patient et de l’univers médical. L’entreprise conçoit et fournit des logiciels informatiques pour accompagner les différentes acteurs du monde thérapeutique et les aider dans la sécurisation de leurs actes. Concrètement, en tant qu’entrepreneur, l’idée est de mettre en osmose chercheurs, ingénieurs et professionnels de santé pour créer des solutions et des applications dans le domaine des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) pour la Santé.

T.I : Vous avez tout récemment été primé lors des trophées de la e-santé… Parlez-nous du projet récompensé.

FP : Le projet de Sovinty 3S Mobile a reçu le Grand Prix Pierre Fabre lors de l’université d’été de la e-santé à Castres. Nous sommes très fiers et honorés de cette distinction. Nous rendons, à cette occasion, hommage à Pierre Fabre, grand acteur de l’innovation médicale.  Cette manifestation a pour vocation d’encourager l’innovation et de favoriser l’intégration des TIC dans le monde de la santé. Notre projet correspond parfaitement aux attentes en termes d’innovation et de praticité. Concrètement, les infirmiers recevront, sur leur smartphone, les instructions à suivre et les dossiers de chaque patient et, instantanément, les praticiens seront tenus informés des opérations effectuées. Ce système post-opératoire permet de connecter tous les membres de la chaîne médicale pour assurer une meilleure qualité de soins et un suivi plus performant après opération. Le système fonctionne par abonnement pour quelques euros.

T.I : Comment ce Grand Prix a impacté Sovinty ? Qu’est ce qui a changé ?

FP : Ce Prix, c’est d’abord une visibilité accrue. Mais c’est également une satisfaction pour toute l’équipe (ingénieurs, commerciaux, PDG etc.), une récompense financière (3 000€ entièrement reversés aux ingénieurs) et le plaisir de l’objectif atteint. Cette victoire vient couronner trois ans de travail acharné, c’est une reconnaissance des professionnels de la santé. Mais c’est avant tout, une victoire pour le patient, pour l’humain. Il n’a jamais été aussi facile d’interagir entre patient et acteurs médicaux. C’est une avancée majeure pour fluidifier l’information et solidifier la relation patient-médecin. Et bien au-delà, le logiciel Sovinty 3S Mobile est la porte ouverte à toute une flopée de développement vers d’autres domaines, pas seulement le médical. Le système peut être utilisé tout aussi bien dans le suivi agroalimentaire que dans le suivi technique des pièces industrielles.

T.I : Le système Sovinty 3S Mobile est-il déjà commercialisé ?

FP : C’est le présent, nous entrons dans cette phase. Le but est d’établir des relations commerciales et de confiance avec différents partenaires : cliniques privées, groupes hospitaliers, acteurs étrangers… Cette technologie est innovante et comble une véritable demande. En France, il y a chaque année entre 10 000 et 18 000 morts dus à des événements indésirables graves (EIG) évitables, les outils que Sovinty développe permettent d’assurer une meilleure traçabilité et de garantir la bonne réalisation des soins de la phase A à la phase Z.

T.I : Les perspectives de croissance sont-elles bonnes ?

FP : Oui, très ! Sovinty a fait breveter ses innovations afin de s’assurer de l’exclusivité de l’utilisation de ses technologies numériques médicales. Les besoins et la demande sont forts, le projet a donc du sens. Les professionnels de la santé sont enthousiastes et attirés par la simplicité et l’efficacité du programme.

T.I : Comment voyez-vous le futur des technologies numériques et médicales ? Avez-vous d’autres projets ?

FP : Les systèmes intuitifs et centralisant toutes les informations disponibles sur un patient dans un même fichier sont le futur des technologies numériques et médicales. On a besoin de plus de sûreté et plus de simplicité et c’est ce que nous proposons avec Sovinty 3S Mobile. Patient, infirmiers et docteurs auront un outil de plus à leur corde pour les succès médicaux futurs. Nous avons bon nombre de projets avec des groupes hospitaliers, et même une expansion au-delà du domaine médical mais ce n’est pas encore d’actualité… Pour l’instant, l’objectif est d’apporter un plus au patient et à la chaîne médicale grâce à nos outils.

 

Propos recueillis par Alexandre Blenzar

Les Augustins, musée des Beaux-arts de Toulouse

Le musée des Augustins, créé en 1793, est l’un des plus vieux musée des Beaux-arts de France. Il abrite des collections de sculpture et de peinture allant du Moyen-âge jusqu’au début du XXème siècle.

 

L’ancien couvent d’ermites de Saint Augustin s’est transformé en musée pendant la période révolutionnaire, et abrite désormais plus de 4000 œuvres, composées essentiellement de peintures et de sculptures. La muséographie se déploie dans l’église et les salles capitulaires, ainsi que dans l’aile « Darcy ». Cette dernière, construite par un élève de l’architecte en vogue à l’époque Viollet-le-Duc, date de la fin du XIXème siècle et mis près de trente ans à voir le jour. Toutes les salles s’articulent autour du cloître, nœud gordien de ce bâtiment de style « gothique méridional ». Les sculptures illustrant l’art roman et gothique forment un riche ensemble d’œuvres provenant d’édifices religieux toulousains, et donnent les plus belles pièces au musée. La collection de peintures couvre elle aussi une période prolixe, allant du XVIème siècle au XIXème, et déroule l’histoire de l’art français et européen.

 

L’empreinte Viollet-le-Duc

Si la sculpture romane et gothique, alliées à la religiosité du lieu donnent toute son identité au musée des Augustins, il ne faut pas oublier de voir l’aile Darcy et son escalier vouté imposant à l’exubérance stylistique affirmée. Cerné par des sculptures monumentales du XIXème siècle, il mène aux salons de peintures tout aussi surprenants. Ces immenses salles à l’éclairage zénithal proposent un accrochage recréant l’ambiance des salons de l’époque, laissant apprécier des œuvres aux dimensions notables. Un salut peut également se faire en repartant à Dame Tholose, sculpture en bronze exécutée en 1544 par l’artiste toulousain Jean Rancy, et qui ornait jadis le haut de la colonne de la place Dupuy.

Le musée des Augustins et ses collections prestigieuses raconte le passé de Toulouse à travers des trésors de l’histoire de l’Art, et reste un lieu unique à découvrir en plein centre-ville.

Didier Marinesque

Empreinte Vocale : « le rap peut être pédagogique et transmettre des valeurs aux enfants »

Le trio Empreinte Vocale, composé de Messir’O, B.Boss et Gaodenzio, a lancé le pari depuis quelques années de convertir la Ville rose à un rap rassembleur et festif en le rendant plus accessible au public. Rencontre avec des « jeunes métissés » qui veulent installer durablement le rap à Toulouse.

 

Toulouse Infos : Parlez-nous de vos débuts, Empreinte Vocale, c’est avant tout une histoire d’amitié.

Messir’O et B.Boss : Oui, c’est l’histoire peu banale d’une bande de potes qui fait connaissance au collège, dans le quartier de Montaudran, et on sait dès cet instant que la musique et le rap seront les clés de notre amitié. En 2001 on crée notre groupe. Après de nombreux essais et des tâtonnements qui nous ont permis de gagner de l’expérience et d’apprendre à évoluer au sein du « rap-game », le tournant a lieu en 2006 avec la distribution au niveau régional de nos premiers titres dans de grandes enseignes culturelles comme la Fnac. Depuis, on a acquis de la notoriété et un véritable bagage. On a une vraie identité toulousaine, on gère notre musique, notre image et notre communication. On veut laisser notre empreinte et une belle image du rap.

T.I. : Comment vous définiriez vous en tant qu’artiste ? Quel est le message de votre rap ?

M.B : On a chacun notre rythme, notre histoire et notre culture. On a grandi ensemble, et c’est à trois qu’on a trouvé notre véritable identité d’artistes. Pendant nos années collège, on cherchait des rimes en puisant du vocabulaire un peu partout et on inventait même des mots.

Dans notre musique, on ne revendique pas, on n’invente rien, on rappe des moments à nous, des choses qui nous représentent et qui nous correspondent. On est ouverts sur le monde et les autres styles musicaux. On navigue entre notre base hip-hop, des dérives rock, pop, de la variété et des sons plus électro. Dans l’écriture aussi, notre mélange se travaille. Chacun dans sa partie va accrocher son morceau d’univers et poser son empreinte. Messir’O, c’est l’intime, les émotions, la sensibilité, Gaodenzio, c’est la maturité, l’écriture, le phrasé et B.Boss, c’est le côté festif et groovy.

T.I : Quelles sont vos inspirations ?

M.B : Dans nos morceaux, on parle de nos vies mais toujours avec un esprit positif et un message d’espoir. En tournage depuis quelques semaines, on s’inspire totalement de Toulouse pour nos clips (notamment le dernier en date Remember). Le choix des décors, les virées en voitures dans la ville, les photos sur les coteaux de Pech David, tout ça c’est nous, notre identité, notre inspiration.

Et puis on a tourné dans un collège de Toulouse avec la participation d’une vingtaine d’enfants, pour montrer que le rap peut être pédagogique et transmettre des valeurs aux enfants. C’était une super expérience.

T.I : D’ailleurs, vous avez « rappé dans une cour de récré » à l’occasion d’un concert donné au collège Michelet. Comment cela s’est-il fait ? Qu’avez-vous retenu de cette expérience peu banale ?

M.B : Le 26 juin dernier, grâce à la volonté du principal de l’établissement, on a pu se produire devant 500 enfants qui répétaient en cœur nos morceaux. C’était fou et on était fiers. On a pu prouver que toute forme de culture, et notamment un rap conscient et ouvert, a sa place dans les cours de récréation.

T.I : Quels sont vos projets futurs ?

M.B : Tout d’abord on a une actualité chargé puisqu’on vient de sortir le clip « On dit quoi » et le second titre « Remember ».

En septembre, on veut avoir de la visibilité grâce à 2 nouveaux titres « T’as reconnu l’accent » et « C’est ça qui est bon ».  Et nous avons déjà des contacts et des propositions avec des maisons de disques parisiennes mais nous voulons d’abord montrer qui nous sommes avant de dire avec qui on va travailler. On a notre musique, notre logo, notre image et notre identité toulousaine. On va prendre le temps de réfléchir à ce qu’on fait car on est un vrai groupe qui veut s’inscrire dans la durée. Et puis courant 2014, l’album arrivera en trombe. Ce sera explosif.

 

Propos recueillis par Alexandre Blenzar

Le Stade toulousain cartonne face à Bayonne et lance sa saison

Après une première mi-temps poussive, les toulousains ont mis les gaz en seconde période pour  infliger une lourde défaite aux bayonnais (40-3). Mac Alister, impérial dans les tirs au but, aura permis aux rouge et noir de se libérer et de prendre le premier bonus offensif de la saison.

 

Alors que le leader de jeu stadiste Mac Alister brillait de mille feux, la mitraillette Bustos Moyano s’est enraillé d’emblée à Ernest Wallon. Auteur de 19 points la semaine passée, le goléador argentin a failli et Bayonne, comme la saison passée, s’est retrouvé sans buteur. Conscient de cette fragilité, Doussain dynamise et joue une pénalité rapidement, il trouve à hauteur Mac Alister qui se joue de Bustos Moyano, intérieur, extérieur, le all black arrêté à un mètre de la ligne libère rapidement pour Tolofua en embuscade coté fermé. La machine stadiste lance enfin sa saison et retrouve ses bases. Suite à une mêlée, les stadistes jouent en première intention, Fritz lancé part en  travers et passe les bras pour  Médard qui mystifie l’arrière garde bayonnaise. Après ces deux piques décisives, Lamboley et Picamoles viendront consolider  un bonus offensif mérité.

 

Retrouver  des automatismes

Contrariés par un faux départ à Bordeaux lors de la première journée, les rouge et noirs ont repris   le fil  de leur jeu. Ernest Wallon a retrouvé le Mac Alister du début de la saison passée et la charnière qu’il forme avec Doussain sera un des atouts majeurs pour ce nouvel l’exercice. Bayonne, leader après la première journée, ne le sera pas resté longtemps. Les basques, qui ont fait preuve de densité dans le combat un temps, n’ont pas tenu la distance et ont souffert lors de l’entrée du banc toulousain. Tour à tour, Bregvadze , Johnston , Nyanga et Fickou sont venus apporter leur fraicheur pour finir le travail.  Frustrés face au raz de marée stadiste, Marmouyet cristallisait l’impuissance basque et  écopait d’un carton rouge à dix minutes de la fin de la partie pour brutalité…  Bayonne avait abdiqué.

 

Pierre Jean Gonzalez

Le TFC accroche le leader Monaco en principauté

Dans un stade Louis II vide pour cause de huis clos, le TFC et Monaco ont partagé les points sur un score de 0-0. Si Monaco a eu les meilleures occasions en première période, Toulouse a eu le mérite de contenir les assauts monégasques en se montrant plus compact et solidaire au fil de la rencontre.

 

Toulouse a fêté l’arrivé de Chantôme dans ses rangs de la meilleure des manières. En effet, à l’image du parisien, le TFC s’est montré courageux et patient face aux déboulés monégasques. Dès la 19′, l’ancien toulousain Rivière, très en verve en ce début de championnat, se montrait dangereux. Imité   un peu plus tard par Ferreira Carrasco, intenable sur son côté gauche. En toute fin de match, Toulalan décochait un missile qui venait s’écraser sur la barre d’Ahamada, largement battu sur cette affaire. Didier Deschamps, présent en tribune, pouvait apprécier  le début de saison tonitruant du milieu défensif monégasque, dangereux jusque dans  le money time. Le TFC, très compact en défense, a surtout procédé  par contre-attaques, un credo presque gagnant.  L’argentin Trejo bénéficiait d’un de ces mouvements mais il ne put  faire pencher définitivement la balance car sa frappe fleuretait avec le montant des cages de Subasic.

 

Une fissure dans le rocher

Monaco n’aura pas réussi à marquer face à des toulousains que l’on n’avait pas vu aussi combatif depuis longtemps. Ainsi, quand un violet était pris à défaut, un Ninkov, un Chantôme ou un Abdenour venait en appui  pour lui offrir une bonne solution. Face à cette solidarité retrouvée, les monégasques se sont mis de plus en plus à douter, à se chercher. Un  visage fébrile que l’on ne connaissait pas aux hommes de Ranieri qui semblaient dérouler leur football depuis les matchs de préparation. Coté violets, après avoir  frôlé la victoire dans le Derby face à Bordeaux, ce déplacement chez le leader devrait donner  un capital confiance synonyme de vrai départ dans ce championnat. Les violets auront aussi démontré aux observateurs qu’avec une recette simple et collective Falcao et ses  acolytes ne sont pas des intouchables.

 

Pierre jean Gonzalez

Officiel : Abel Enrique Aguilar signe 3 ans au TFC

Nous vous l’avions annoncé dès hier matin et c’est désormais officiel, Abel Enrique Aguilar s’est engagé jeudi après-midi pour trois ans avec le Toulouse Football Club. C’est la 6ème recrue cette saison.

« L’international colombien de vingt-huit ans arrive au Stadium en provenance de l’Espagne et de la Segunda División. Le Sud-américain est un milieu de terrain relayeur rugueux et physique qui récupère et « gratte » un grand nombre de ballons dans l’entre-jeu. Sous contrat jusqu’en juin 2014 avec le club d’Hércules Alicante, il a passé la dernière saison en prêt en Galice au Deportivo La Corogne. Il foule les pelouses de la Liga à vingt-huit reprises en 2012-2013 sous le maillot du Depor auxquelles il faut ajouter trois réalisations décisives » peut on lire sur le site du club.

« Bon passeur avec de la qualité technique, son rôle couplé à sa carrure lui permettent de s’imposer régulièrement dans les duels aériens mais aussi, au sol, avec des tacles engagés. L’expérience du droitier international va être une plus-value au service d’Alain Casanova et de l’effectif des Violets. »

 

Communiqué de presse

Piétonisation : les Verts se félicitent de l’amélioration de la qualité de l’air

L’Oramip a annoncé mercredi que, grâce à la diminution du trafic rendue possible par les prémisses de la piétonisation de l’hypercentre de Toulouse, la pollution de l’air a nettement baissé depuis plusieurs mois. Les niveaux de concentration en dioxyde d’azote et en benzène ont en effet diminué respectivement de 40 % et de 32 % par rapport à l’année passée.

Ces deux polluants proviennent essentiellement de la circulation automobile, et affectent les fonctions pulmonaires, provoquant des irritations, la diminution de la capacité respiratoire, et favorisent les infections. Les élus écologistes de Toulouse se réjouissent de cette nouvelle, qui valide ainsi la politique qu’ils portent depuis 2010 :

« La libération des quatre côtés de la place du Capitole, avec la fermeture de la rue de Rémusat et le choix des axes Poids de l’Huile – Gambetta pour la desserte, concrétise en effet le travail de conviction que les écologistes mènent au sein de la majorité municipale. Cela aura donc permis une amélioration significative de la qualité de l’air, mais aussi la réappropriation par l’ensemble de ses usagers d’un espace public redevenu convivial. Il en était grand temps, puisque la situation rue Pargaminières était scandaleuse, tant du point de vue de la qualité de l’air que du bruit.

Mais cela ne peut être qu’un début. EELV plaide à présent pour une extension progressive de ces principes d’aménagements à toute notre ville. Pour Jean-Charles Valadier, « les habitants et les usagers de l’hypercentre ne doivent pas être les seuls bénéficiaires de ces aménagements qui restaurent la qualité et la convivialité de notre cadre de vie ». C’est en effet chacun des quartiers qui doit pouvoir bénéficier au plus vite de zones de rencontre (vitesse limitée à 20 km/h et priorité piétonne), de la généralisation du stationnement résident, de plans de circulation dissuadant le trafic de transit, de plantation d’alignements d’arbres, de l’installation de bancs, du réaménagement des places de quartier, … C’est de cette manière que tous les Toulousains pourront profiter de cette amélioration de leur environnement, de leur santé et de leur qualité de vie. »

 

Communiqué de presse

Prison Saint-Michel : Moudenc et de Veyrac critiquent Pierre Cohen

Ce début de semaine, le maire de Toulouse Pierre Cohen, a annoncé la signature d’un bail emphytéotique courant septembre, qui permettra à la ville de prendre possession du castelet de la Prison Saint-Michel pendant 99 ans. « Une bonne nouvelle » pour l’opposition qui, élections municipales obligent, critique tout de même cette décision.

 

« Eurêka ! Enfin un peu de concret : un bail emphytéotique devrait être signé entre la Ville de Toulouse et l’État ! C’est une bonne nouvelle. Mais cette décision est très tardive » débute le communiqué envoyé par Jean Luc Moudenc qui note qu’« elle constitue un revirement : en septembre 2010, le Conseil municipal adoptait une délibération par laquelle la Ville se portait acquéreur de la prison. »

« Dès le 31 janvier 2011, le Préfet proposait la cession du Castelet pour un euro symbolique.

Bien que la solution du bail emphytéotique soit une solution classique et très connue pour les collectivités, il a fallu 2 ans et demi à la Municipalité pour la choisir » ironise le président de l’UMP31 qui s’inquiète de la nature du bail. « Avec un tel bail « emphytéotique », la Mairie-locataire va financer un investissement qui s’intègrera à la propriété de l’État. Je demande donc instamment au Maire de prévoir que l’État versera une indemnité compensatrice à la collectivité locale. »

Le candidat UMP aux prochaines élections municipales, préconise également « un vrai Mémorial consacré à la Résistance pour le Castelet. Et onstate avec tristesse que la Municipalité n’a toujours pas de projet de reconversion pour l’ensemble de l’ex-Prison. »

« Dans les mois à venir, je présenterai aux Toulousains un ambitieux projet de reconversion du site. Il sera bien différent de la proposition du Gouvernement PS-PRG-Verts, dont Monsieur Cohen est l’ami, de construire des logements sociaux en plein cœur du terrain » termine Jean Luc Moudenc.

 

Christine de Veyrac : « la municipalité revendique son manque d’ambition et de créativité »

Dans un article paru dans La Dépêche du Midi, Pierre Cohen revient sur le projet proposé par Christine de Veyrac, de bâtir sur une partie du site de la Prison Saint-Michel, la « Cité de l’Artisanat, de l’Art et de la Création ». « Beaucoup de gens phosphorent sur la prison Saint-Michel. Il y a notamment un projet sur la civilisation occitane, et celui d’une cité de l’artisanat, défendu par Christine de Veyrac. Si elle sait où trouver 50 millions d’euros qu’elle me le fasse savoir » a-t-il déclaré.

Une attaque que refuse la candidate UDI aux prochaines élections municipales. « On ne peut pas toujours se camoufler derrière des arguments financiers pour balayer d’un revers de main des projets ambitieux alors qu’ils amèneront à la Ville des retombées tant en matière économique et commerciale qu’en matière de formation et d’apprentissage. Ce que j’observe dans les propos de Pierre Cohen, c’est une absence d’ambition, d’imagination et de créativité. Aucune idée n’est proposée » déclare Christine de Veyrac qui termine préconise de « réunir les collectivités dans un même but, de rechercher des financements avec tous les acteurs concernés. Ainsi nous ferons de la Prison Saint-Michel un lieu de vie économique, commercial, ouvert et créatif »

 

Communiqué de presse

Toulouse Infos