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Toulouse : Grève dans les écoles primaires ce mercredi

Un appel à la grève est lancé jeudi 31 janvier par plusieurs organisations syndicales de l’Éducation Nationale et de la fonction publique territoriale. Le point sur le service d’accueil mis en place par la mairie de Toulouse.

 

Les parents des enfants scolarisés dans les écoles maternelles et élémentaires de la ville ont été informés par affiche de ce mouvement. La Ville de Toulouse met en place le service d’accueil obligatoire dans les écoles où il y aura plus de 25% de grévistes chez les enseignants. Il est recommandé aux parents de se rapprocher des directeurs des écoles pour savoir si la classe de leur enfant sera assurée.

Écoles concernées par le service d’accueil

Plusieurs écoles seront concernées par le service d’accueil (+25% d’enseignants grévistes) sur les 200 établissements publics toulousains. Les élèves des enseignants grévistes seront accueillis : 
– Pour les maternelles et les élémentaires : centre de loisirs Le Petit Capitole (153 avenue de Lardenne) ; 
Les parents devront y amener les enfants. Inscriptions le jour même entre 8h et 10h. Les parents devront fournir un repas froid.

Pas de cantine

Tous les enfants accueillis dans les écoles ou en service d’accueil devront amener un repas froid. Nous vous recommandons de vous renseigner auprès de la direction de l’école et/ou du Clae.

Liste des écoles fermées

Écoles élémentaires 
Alfred de Musset 
Didier Daurat 
Elsa Triolet 
Georges Bastide
Jean Gallia
Léo Lagrange 
Léonce Bourliaguet
Les Tibaous 
Marcel Pagnol 
Molière
Monge
Papus 
Paul Dottin

 

Écoles maternelles 
Fleurance 
Georges Bastide 
Grand Selve
Jean Gallia 
La Juncasse 
Lardenne 
Le Béarnais 
Léonce Bourliaguet
Michoun Mat B

(listes fournies par l’Inspection académique de la Haute-Garonne le 29 janvier 2013)

Affaire Merah : 2 personnes en garde à vue à Toulouse

Ce mardi, deux personnes ont été arrêtés dans l’enquête sur les complicités de Mohamed Merah. Ces interpellations interviennent la veille de la réception des familles des victimes du tueur au scooter par Manuel Valls.

 

« L’action de Mohamed Merah a été le résultat d’une préparation minutieuse, d’un véritable processus d’apprentissage fait de contacts nombreux. La fameuse thèse du loup solitaire ne tient pas pour Merah » a déclaré le ministre de l’intérieur Manuel Valls lors d’une conférence internationale sur la lutte contre l’extrémisme violent. Des propos en contradiction ceux de son prédécesseur, qui avait toujours soutenu la thèse d’un « tueur solitaire », mais qui semblent de plus en plus crédibles depuis l’arrestation ce mardi de deux hommes de 30 ans accusés de complicité.

 

Les familles de victimes reçus par Manuel Valls

Les familles des 3 parachutistes et de la tuerie de l’école Ozar Hatorah vont être reçues ce mercredi à 17h par le ministre de l’intérieur. Elles demandent la déclassification de documents de la Direction Centrale du Renseignement Intérieur. Les familles cherchent notamment à savoir si le tueur au scooter était un « loup solitaire » comme semblait le penser Claude Guéant et s’il avait des liens avec la DCRI.

 

Guillaume Truilhé

Philippe Lasterle : « L’homophobie n’est pas une opinion »

Au lendemain de la manifestation parisienne en faveur du mariage pour tous à laquelle il a participé, Philippe Lasterle, de l’UDI 31, s’inquiète de la « recrudescence de l’homophobie » et appelle à « la combattre ». Communiqué.

« Le projet de loi instaurant le mariage pour tous sera voté. C’est une réforme juste et soutenue par une majorité de nos concitoyens. Et, signe que les esprits évoluent positivement, des voix, de plus en plus nombreuses, s’élèvent au centre (Chantal Jouanno, Jean-Louis Borloo, Jean-Christophe Lagarde) et à droite (Roselyne Bachelot, Franck Riester, Benoist Apparu) en faveur du mariage pour tous.

Hélas, conséquence inattendue et regrettable du débat qui s’est engagé, la parole homophobe s’est libérée ces dernières semaines. Confirmée par les associations qui luttent contre les discriminations envers les personnes LGBT (SOS Homophobie, Le Refuge…), cette recrudescence de l’homophobie, qui trouve une traduction particulièrement virulente sur les réseaux sociaux, doit nous préoccuper.

L’homophobie n’est pas une opinion. Non seulement elle est contraire aux valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité qui fondent notre pacte républicain mais surtout elle blesse et tue. Il faut la combattre avec détermination. Pour cela, il convient de renforcer les moyens dédiés à la sensibilisation et à la prévention notamment en milieu scolaire, de mieux accompagner les associations qui viennent en aide aux victimes et d’appliquer avec fermeté les sanctions prévues par le code pénal à l’encontre des auteurs des actes homophobes.

Le Gouvernement a présenté, à l’automne dernier, un programme d’actions contre les violences et les discriminations commises à raison de l’orientation sexuelle ou de l’identité de genre. Il contient de bonnes mesures. Mais il faut aller plus loin.

Il convient, d’une part, de mettre en œuvre un plan pluriannuel de lutte contre l’homophobie doté des moyens budgétaires à la hauteur de l’enjeu et impliquant, à l’image du plan mis en œuvre au Québec en 2011, tous les acteurs publics (Etat, collectivités) et privés (associations, entreprises) et, d’autre part, d’inscrire dans la Constitution le principe d’égalité des droits entre hétérosexuels et homosexuels et le refus de toute discrimination liée à l’orientation sexuelle.

Réformer notre Constitution afin de compléter son article 1er – qui pourrait être rédigé ainsi : « La France est une République indivisible, laïque, démocratique et sociale. Elle assure l’égalité devant la loi de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race, de religion, d’orientation sexuelle ou d’identité de genre » – serait la traduction symbolique et juridique de notre détermination collective à lutte contre l’homophobie et la transphobie.

L’initiative pourrait en être prise à l’occasion de la Journée mondiale de lutte contre l’homophobie le 17 mai prochain » termine Philippe Lasterle.

Abolition de l’esclavage : Spielberg rend hommage à Lincoln

Ce lundi, une avant première du dernier film de Steven Spielberg Lincoln était organisée au cinéma UGC de Toulouse. La soirée se clôturait par un débat en compagnie de la consule des États-Unis à Toulouse.

 

Organisée en partenariat avec le Consulat des États-Unis à Toulouse, l’association France États-Unis et le comité de jumelage Toulouse-Atlanta, l’avant première du film consacré à Abraham Lincoln avait lien ce lundi dans la ville rose. « Spielberg a longuement réfléchi à ce projet puisqu’il date de 1999 » explique Rachel Schneller, consule des Etats-Unis à Toulouse. Nominé dans 12 catégories pour les Oscars, ce long métrage se déroule pendant la Guerre de Sécession aux Etats-Unis (1860-1865) en 1863 alors qu’Abraham Lincoln est président et qu’il se bat pour faire voter le 13ème amendement de la Constitution américaine sur la fin de l’esclavage. Un film historique très proche de la réalité.

 

Une soirée basée sous le signe de l’histoire

« 2013 est une grande année pour les USA » se réjouit Rachel Schneller. En effet, outre l’investiture pour la seconde fois de Barack Obama, les Etats-Unis fêtent également les 50 ans du discours de Martin Luther-King ou encore les 150 ans de l’abolition de l’esclavage. « Lincoln est le président le plus important car il a su préserver l’unité du pays » rappelle Rachel Schneller qui note que l’investiture du premier président noir des Etats-Unis a eu lieu 150 ans jour pour jour après l’abolition de l’esclavage. « Un symbole fort » pour cette dernière.

 

Olivier Goarin

Diane 35. Pour Gérard Bapt « le danger est sans doute plus grand » que pour le médiator

Après des plaintes déposées en justice, le système sanitaire français de la sécurité médicamenteuse semble découvrir le danger des pilules de 3ème et 4ème génération. Des risques thromboemboliques doublés par rapport aux précédentes. D’après l’Agence nationale de sécurité du médicament (Ansm) 4 décès sont directement imputés à la pilule Diane 35. Entretien avec Gérard Bapt, député de Haute-Garonne et membre de l’Ansm.

 

Toulouse Infos : Qu’est ce que la pilule Diane 35 ?

Gérard Bapt : Diane 35 n’est pas sur le marché français à visé contraceptive mais pour l’acné. Elle est pourtant dans plus de 90 % des cas utilisé comme telle. Les prescriptions sont donc hors AMM (Autorisation de Mise sur le Marché). Une situation qui oblige le laboratoire à le signaler et à prendre des initiatives pour le réduire.

TI : Pourquoi  la pilule Diane 35 est-elle toujours sur le marché ?

GB : En urgence un état peut suspendre la mise sur le marché d’un médicament mais il faut que ce soit ensuite validé par l’autorité qui lui a délivré l’autorisation, en l’occurrence l’autorité européenne. De leur coté les laboratoires peuvent faire des recours et obtenir des pénalités compensatoires. S’il est donc compliqué de la retirer, je pense que l’on devrait la suspendre.

TI : Le système de surveillance français est-il assez draconien ?

GB : A l’évidence le système de pharmacovigilance est insuffisant puisque quand on a fait une revue des notifications existantes sur la base de données nationale de l’agence qui remonte à des années et des années, on s’aperçoit que très très peu de déclarations d’accidents ont été faites. On est sans doute à seulement  5 % du niveau des accidents qui auraient du être déclarés.

TI : Le laboratoire doit-il être sanctionné ?

GB : Il faut sanctionner le laboratoire qui avait le devoir de signaler le mésusage et de prendre des initiatives pour le limiter, ce qu’il n’a pas fait à l’évidence. Le laboratoire se retranche désormais derrière la notice, qui est illisible, et derrière les autorités sanitaires qui ont laissé ce produit sur le marché, ce qui est exact. Je regrette que le système dans son ensemble ait été si peu réactif aux efforts de cette association qui, en désespoir de cause, a déposé une plainte pour être entendue

TI : Après le scandale du médiator assistons-nous à celui de la pilule ?

GB : Les études actuelles faites par les hôpitaux et l’assurance maladie devraient montrer que les dégâts sont loin d’être négligeable. C’était déjà le cas pour le médiator et en ce qui concerne la pilule le danger est sans doute aggravée par le fait qu’en France on prescrit beaucoup en matière contraceptive la pilule par rapport aux autres moyens de contraception.

TI : Les Médecins sont-ils fautifs ?

GB : Souvent les médecins n’ont pas le temps d’aller voir les sites des agences, ils n’ont pas non plus  le temps d’aller voir les études scientifiques dans les publications en langue anglaise. Souvent l’information qui leur parvient c’est le marketing des laboratoires et puis c’est la voix de certains leaders d’opinions qu’ils peuvent entendre au travers  la presse médicale ou au travers des colloques.

 

Propos recueillis par Pierre Jean Gonzalez

Moustache : la cuisine occitane de Tolosa

Les hasards du développement de la petite politique linguistique du Conseil Régional au SISQA me firent rencontrer Moustache, fameux restaurateur de la ville de Tolosa. Entretien

 

Moustache Installat a MIN de Tolosa, prepausèt un restaurant pendent lo SISQA ; l’ai entrevistat en francés, e dona lo seu avejaire sul tèma de l’emplec de l’occitan, dedins los menús, mai tanben visitèm l’idèa d’una cosina occitana, de la tradicion a la modernitat, del popular a la transmission dels sabers culinaris.

Sembla que lo patrimòni culinari interessa París sonque per installar projectes urbanistics dins la zòna nòrd (francofòna unica), e alara, la cosina occitana es puslèu convidada coma una Mauritaniana es convidada per netejar los apartaments dels borgeses parisencs, en frauda. Nos remembrèm aital los bonhat d’Auvernhe que faguèron la civilizacion de la nuèit e dels bistròts parisencs, e cercarèm a Tolosa la cosina occitana per la presentar als lectors e a las lectriças del ToulouseInfos bilhet Tolosa.

Moustache serà de los que faràn lor possible per la dignitat de bon minjar a Tolosa, donc en Occitània.

L’entretien est en français.

 

Auteur: Jacme Delmas – Blog : , partenaire de Toulouse Infos

Tunisair va installer son siège régional à l’aéroport de toulouse-blagnac

La nouvelle directrice régionale de Tunisair, Rim Baccouche, était présente à l’aéroport de Toulouse-Blagnac, ce mardi 29 janvier, pour présenter l’actualité 2013 de la compagnie aérienne.

 

Rim Baccouche, qui succède à Medhi Larbi, a profité de ce premier rendez-vous public pour annoncer l’implantation du siège régional et d’un comptoir Tunisair dans l’aéroport toulousain, en avril, afin d’offrir un service au plus près de ses passagers. L’agence commerciale située au 76 Allées Jean Jaurès, à Toulouse, continuera à accueillir les clients en centre-ville.

Travaillant au sein de Tunisair depuis 22 ans, Rim Baccouche est arrivée à Toulouse à la fin de l’année 2012 pour développer la présence de la compagnie sur la ville rose.

Tunisair à Toulouse

– Un vol quotidien Toulouse-Tunis sur Airbus A 320/319 (165 ou 144 sièges) ou Boeing 736-600 (126 sièges).

– Depuis Toulouse, Tunisair relie son hub de Tunis qui s’ouvre sur de nombreuses destinations en Afrique dont Abidjan, Dakar, etc.

– La compagnie a mis en place une classe Affaires pour répondre à la demande des passagers haute contribution, voyageant pour raison professionnelle.

– Depuis Toulouse, Tunisair propose également des vols charters vers Monastir et Djerba, notamment pour FRAM (deux vols hebdomadaires).

– En 2012, Tunisair a transporté 65 146 passagers au départ et à l’arrivée de Toulouse-Blagnac.

Le 5 février, Agissons pour l’emploi organise des jod-datings à Toulouse

Le 5 février, à Toulouse, Pôle Emploi et la Fondation ManpowerGroup organisent l’étape toulousaine d’Agissons pour l’emploi. Parce qu’il faut trouver des solutions locales au chômage, des job-datings originaux et des rencontres entre responsables politiques, experts et chefs d’entreprise locaux sont organisées.

Ne pas baisser les bras face à la crise

La crise accentue les déficiences de notre marché du travail, notamment les inégalités entre salariés : les jeunes, les seniors, les personnes les moins qualifiées ou celles qui travaillent dans des secteurs ou des bassins d’emplois sinistrés souffrent tout particulièrement de la dégradation de la conjoncture.

Bien sûr, résoudre durablement le problème du chômage nécessite le retour d’une croissance économique solide. Mais la Fondation ManpowerGroup et Pôle Emploi ont décidé d’agir ensemble sans attendre, en s’associant pour développer l’emploi partout où cela est possible.

On peut lutter dès à présent et concrètement contre le chômage en faisant mieux se rencontrer recruteurs et demandeurs d’emploi. Car malgré le fort taux de chômage, beaucoup d’employeurs veulent recruter mais renoncent  à leurs embauches ou les diffèrent, faute de trouver les bons profils. Dans le même temps, de nombreux demandeurs d’emplois ne sont pas informés de ces opportunités et, surtout, « s’auto-censurent », persuadés de ne pas posséder les compétences recherchées.

Le désordre de l’emploi est global, les solutions sont locales

Cette inadéquation entre compétences et besoins des entreprises est avant tout locale : elle se niche au plus près des réalités des bassins d’emploi. Alors que la crise est à la fois nationale, européenne et mondiale, des territoires ont su rassembler leurs atouts et mettre en place des solutions innovantes pour mieux résister à la crise.

C’est pourquoi l’opération « Agissons pour l’Emploi » possède deux dimensions :

-La première, le job dating, organisée dans la journée, est très opérationnelle. Elle entend apporter des réponses rapides à l’urgence des situations. Sa méthode est simple : mettre en relation directe des demandeurs d’emploi et des entreprises qui ont du mal à recruter, en s’affranchissant des filtres habituels, qui brouillent trop souvent la personnalité et motivation réelle des candidats – deux facteurs clés d’un recrutement réussi.

-La seconde est prospective : le soir, un grand débat sera organisé dans chacune des quatre villes participant à l’opération, afin d’identifier les gisements d’emplois d’aujourd’hui et de demain. Acteurs publics et privés de l’emploi, responsables politiques, associatifs et chefs d’entreprise échangeront leurs points de vue et leurs expériences pour mieux définir ensemble les perspectives réelles des bassins d’emplois dans lesquels ils agissent et investissent quotidiennement. Parce qu’agir pour l’emploi aujourd’hui, c’est aussi anticiper les transformations de demain.

Pour participer : www.agissonspourlemploi.fr

Stadium : « Pierre Cohen joue petit bras »

Lors du conseil municipal de Toulouse de vendredi dernier, les élus toulousains ont voté la rénovation du stadium. Des travaux qui s’élèveront à 41,1 millions d’euros au lieu des 70 millions prévus initialement. Christine de Veyrac, députée européenne et chef de file UDI pour les municipales à Toulouse trouve que Pierre Cohen « joue petit bras ». Cette dernière lui a même adressé une lettre ouverte.

 

« Lettre ouverte à Monsieur Cohen

Nous le disions déjà il y a quelques mois : après 41 millions d’euros de travaux le Stadium comptera bien 2 200 places de moins et aucune nouvelle infrastructure !

Une rénovation en 1998, une autre après AZF, une nouvelle en 2007 et celle-là. Combien de temps encore allons-nous dépenser des millions d’euros pour un stade qui ne correspond plus aux besoins de nos concitoyens, qui n’est pas à la hauteur de la 4ème ville de France ? Combien de temps allons-nous encore jouer petits bras avec le Stadium ? A quand une politique d’envergure et un véritable projet ambitieux pour ce qui devrait être notre enceinte sportive phare ?

Ne nous y trompons pas : aujourd’hui un Grand Stade ce n’est plus un seulement un lieu où se déroulent 20 rencontres de foot et 5 matches de rugby par an. Aujourd’hui un Grand Stade c’est un véritable outil de développement économique et un vecteur de rayonnement international !

Hors jours de matchs, ces lieux sont des lieux de vie et des véritables zones commerciales, de loisirs, de services susceptibles de générer des recettes en redevance pour la Municipalité.

De nombreuses villes l’ont bien compris dans les vastes projets qu’elles sont en train d’entreprendre : Marseille, Nice, Bordeaux, Lyon … quand Toulouse avec une simple remise aux normes fait clairement le choix de se situer en 2ème division ! Et ce ne sont pas les 2 portes prévues à la dernière minute pour permettre l’installation de scènes pour les concerts qui combleront l’absence de vision globale ambitieuse pour ce lieu dédié au sport, aux loisirs et à l’événementiel.

Comment Monsieur Cohen, ne pas se référer à l’exemple que toute la presse a salué à juste titre, celui de la métropole de Lille dont vous connaissez bien la Présidente ?

A Lille en effet, Martine Aubry a fait le choix d’un Grand Stade de 50 000 places, avec toit amovible, pelouse rétractable qui peut laisser place à une salle couverte à même d’accueillir des concerts ou des sports indoor. Les résultats économiques sont déjà au rendez-vous !

Monsieur Cohen, vous allez dire que nous n’avons pas les moyens. Madame Aubry a fait le choix d’un partenariat public-privé entre la société Eiffage et Lille Métropole. Cela a permis d’investir non pas 41 millions d’euros pour perdre 2 200 places, mais 324 millions d’euros pour un Grand stade multifonctions.

Et c’est pour moi la preuve que, dans la gestion municipale, quand on porte une ambition pour sa ville, l’idéologie n’a pas de place.

Alors Monsieur Cohen, quand allez-vous suivre l’exemple de Madame Aubry, et enfin donner à Toulouse le véritable Grand Stade qu’elle devrait avoir depuis longtemps ! »

Les inscriptions pour le joli mois de l’Europe en Midi-Pyrénées sont ouvertes

L’édition 2013 du Joli mois de l’Europe se déroulera pendant tout le mois de mai dans toute la région. L’occasion pour Midi-Pyrénées de proposer des animations pour faire découvrir autrement « la place de l’Europe dans notre quotidien ».

 

Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 15 mars

Les structures souhaitant proposer des animations peuvent s’inscrire et en savoir plus sur le site internet des programmes européens : www.europe-en-midipyrenees.eu/inscription-joli-mois. Inscriptions uniquement sur internet

Qui peut participer au Joli mois de l’Europe ?

Les organismes relais de l’information européenne, les établissements scolaires, les associations, les mairies, les bénéficiaires de financements européens : entreprises, laboratoires, exploitants agricoles, collectivités, associations… et tous les acteurs souhaitant faire découvrir leur action sous un angle européen.

Quelles animations peuvent être proposées ?

En 2012, Le joli mois de l’Europe en Midi-Pyrénées a proposé près de 80 animations pour tous les goûts : balade à vélo, spectacles, expositions, portes ouvertes, concerts, visites de projets, villages européens, rencontres  professionnelles, dégustations…

Toulouse Infos