Face à l’afflux des patients à l’hôpital de la cité gardoise, des malades ont été transférés vers la Bretagne et Toulouse.
Comme lors de la première vague, des patients atteints du coronavirus ont été transférés d’un autre département, vers la région toulousaine. En avril dernier, la solidarité nationale avait joué à plein lors de transferts de patients depuis différents centres hospitaliers de la région Grand Est vers ceux de l’Occitanie.
Nîmes proche de la zone rouge
Malheureusement, il ne reste aucune chambre libre dans le service de réanimation du CHU de Nîmes. Les équipes s’organisent, mais cela ne suffit pas pour faire face à l’afflux de patients Covid.
Pour gérer la situation, le CHU de Nîmes a embauché 150 nouveaux soignants. D’autres sont appelés en renfort. Plus de la moitié des blocs opératoires ont été fermés. Et pour désengorger l’établissement, une dizaine de patients ont déjà été transférés en Bretagne et à Toulouse.
La stratégie mise en place est claire : libérer des lits pour surmonter les prochaines semaines.
La rédaction