Depuis le 24 décembre dernier, et l’adoption de la loi d’orientations des mobilités (LOM), le projet de relier en lGV Paris à Toulouse à l’horizon 2030 semble à nouveau possible.
Avec la création d’une nouvelle structure pour financer le projet étayé par les métropoles toulousaines et bordelaises et les régions Occitanie et Nouvelle-Aquitaine, le chantier de la ligne à grande vitesse pourrait démarrer en 2022, pour une durée de 7 ans. Les collectivités disposent encore de 2 ans pour finaliser le projet.
Pour le financement, un prêt appuyé par la création d’une taxe sur les bureaux pour les entreprises est à l’étude. Le chantier devrait durer 7 ans et coûter au total 7,5 milliards d’euros pour construire ce tronçon de 222 km. Le projet devrait créer 5000 emplois.
Luigy Mathias
