MJT : « la décision de rejoindre Christine de Veyrac s’est faite démocratiquement »

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Le 11 septembre dernier, Loïs Henry, membre du Mouvement des jeunes pour Toulouse (MJT) expliquait qu’en « rejoignant de Veyrac, Etienne Cardeilhac (président du MJT) a choisi la politique politicienne ». Des propos sur lesquels souhaite réagir le MJT par la voix de Kévin Férand, Vice-président chargé de la communication et des relations presse.

« Je tiens à rectifier les informations diffusées à la presse : Loïs Henry n’est pas conseiller politique d’Etienne Cardeilhac-Pugens. Par ailleurs, il n’est plus chargé de missions sur les questions de vie lycéenne depuis son départ de Toulouse. Il n’est plus du tout actif au sein de l’association depuis plus d’un an. Je réaffirme que la décision de rejoindre Christine de Veyrac  s’est faite démocratiquement par un vote des membres du bureau et des chargés de missions du MJT. Nous avons été unanimes sur ce choix, qui n’est donc ni personnel, ni autoritaire.

Nous avons été surpris par les propos très durs et insultants à l’encontre du Président du MJT, qui représente aujourd’hui plus de 80 adhérents et sympathisants jeunes toulousains. Mais c’est justement à cette politique de mépris et de haine que nous avons tourné le dos. Au vu de ce que nous pouvons lire, c’est  franchement sans regret. Je me pose quand même la question : la plume de l’ancien chargé de missions du MJT aurait-t-elle été guidée ? Suivez notre regard… »

 

Communiqué de presse