Photo : Raphaël Rigouste
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Le festival international de court-métrage « Concours de Courts » a battu cette année son record de postulants.
Au total, 1004 films ont été reçus pour cette 18ème édition…un record historique. Il vient de battre le record établit lors de la précédente édition en 2020, qui était de 525. Et ce n’est pas le seul record à tomber, puisque 51 pays seront représentés cette année, ainsi que 92 films d’animation, pour la première année d’existence du prix du meilleur film d’animation.
Bel et bien présent pour sa 18ème édition
L’équipe de Concours de courts lançait son appel à projet le 3 décembre 2020 dernier, et le clôturait le 3 Février dernier à minuit. L’objectif étant de promouvoir la création cinématographique, tout en mettant un coup de projecteur sur le format court, encore trop méconnu du grand public.
Maintenant, c’est une première sélection qui va être effectuée, s’en suivra plusieurs
projections publiques dans des lieux cultes de Toulouse, même si l’équipe se tient prête à
organiser une édition 100% digitalisée au vu de la situation sanitaire actuelle.
Jean Benguigui, Daniel Prevost, Gerard Klein.. des parrains de poids
Le festival se terminera par une grande cérémonie de clôture durant laquelle seront décernés 5 prix, dont le prix du meilleur film d’animation, nouveauté de cette année.
Un jury de professionnels du cinéma remettra 3 récompenses au terme du festival.
Jean Benguigui, Daniel Prevost, Gerard Klein, entre autres, sont des grands
noms du cinéma français qui ont par le passé fait partie du festival Concours de Courts
pour y partager leur expérience. Sera remis également un prix « Coup de cœur » résultant
de l’enthousiasme du public.
Aux commandes de l’organisation, c’est une poignée d’étudiants en AGCOM à l’Université Toulouse 1 Capitole qui aura la charge de coordonner cet événement d’envergure, initié il y a 18 ans par Serge Regourd.
Ce record de participation historique démontre la place toujours plus grandissante que prend Concours de courts dans l’agenda cinématographique français, ainsi que les ambitions du festival toulousain.
La rédaction
