Toulouse. La 13e édition de Toulouse Polars du Sud a tenu toutes ses promesses.

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Toulouse. La 13e édition de Toulouse Polars du Sud a tenu toutes ses promesses. Illustration : c.Guillaumot/dr
Toulouse. La 13e édition de Toulouse Polars du Sud a tenu toutes ses promesses.
Illustration : c.Guillaumot/dr

Avec plus de 10000 visiteurs et 20% de vente de livres en plus, c’est un très beau
13e festival de Toulouse Polars du Sud. Ce retour à une affluence presque normale prouve la fidélité des lecteurs et l’implantation de l’événement sur la scène littéraire et culturelle.

Le public était au rendez-vous pour les dédicaces et les rencontres hors les murs
en semaine et durant les tables rondes tout le week-end. Sur plus de 70 sites de la région, une centaine de rencontres, débats, expositions, séances de cinéma ont conquis une large assistance.

Plus de 350 personnes ont, cette année encore, participé au Rallye-enquête dans les rues de Toulouse. Le Cluedo géant du Muséum, les séances de murder party et ateliers pour enfants affichaient complet.

Ce moment privilégié a permis de chaleureuses retrouvailles entre lecteur et auteurs mais aussi entre auteurs, heureux de retrouver le chemin des festivals.

Les prix littéraires remis pendant le festival

Le prix France Bleu du polar – Toulouse Polars du Sud pour sa première édition récompense Michèle Pédinielli pour La patience de l’immortelle (éditions de l’Aube)

Le prix Violeta Negra Occitanie qui met en lumière un roman noir ou policier traduit
d’une langue du Sud a été attribué à Alessandro Robecchi Ceci n’est pas une chanson d’amour (éditions de l’Aube), traduit de l’italien par Paolo Bellomo avec le concours d’Agathe Lauriot dit Prévost.

Le prix des chroniqueurs de Toulouse Polars du Sud a été attribué à Benjamin Dierstein : Un dernier ballon pour la route (Les Arènes ) Le prix de l’Embouchure, remis par l’Amicale de la police.

 

La rédaction