Une enquête diligentée à la demande du parquet de Paris doit permettre de démontrer si des lots de volatiles ont pu être envoyés en 2016 à des éleveurs du Gers, du Lot-et-Garonne et des Hautes-Pyrénées, tout en sachant qu’ils pouvaient être contaminés par le virus.
Entre le 30 novembre et le 1er décembre dernier, deux lots de canards destinés à être gavés auraient pu être envoyés à des éleveurs du Sud-Ouest alors que les volatiles étaient peut-être contaminés. Une situation que la coopérative vendeuse aurait pu cacher à ses clients.
Pierre Jean Gonzalez