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Pour jouer avec les mots, un organisateur avait baptisé sa boîte de nuit illégale, le « Clubster », à Montpellier.
Au départ, les forces de l’ordre ont été appelés par des voisins qui se plaignaient du bruit. Sur place, les policiers ont découvert toute la panoplie d’une véritable discothèque dans un grand appartement.
Selon le Midi Libre, une piste de danse, des jeux de lumière, des enceintes, un dispositif de sonorisation, et même un DJ, complétaient l’attirail.
Les enquêteurs sont également tombés sur un flyer avec un programme plutôt explicite « Clubster, underground house et techno music ».
A l’intérieur le masque n’était pas de mise, mais les consommations étaient stockées avec précaution dans un frigo, et les clients de ce « speak easy » pouvaient aussi payer par carte bancaire.
Le fondateur du « Clubster » n’était pas présent lors de l’intervention des policiers. Il a été convoqué au commissariat pour s’expliquer. Des poursuites judiciaires pourraient être engagées à son encontre.
Pierre-Jean Gonzalez
