Photo : Toulouse Infos
Après avoir étudié les pistes accidentelles, le tribunal se penche depuis ce matin sur l’acte volontaire et terroriste, des hypothèses qui provoquent de vifs débats entre les parties.
Interrogé durant trois heures Roger Marion, directeur central adjoint de la Police Judicaire à l’époque a défendu l’enquête toulousaine car pour lui, même si l’attentat de New York était très rapproché on n’a pas trouvé ni d’explosifs, ni de revendications crédibles.
Pour d’autres parties la piste terroriste n’a pas été assez fouillée car Toulouse était bien un terreau islamiste depuis les années 90. La cour d’appel de Paris entendra ensuite le juge anti-terroriste Jean-Louis Bruguière, demain ce sera au tour de trois policiers toulousains d’apporter des informations contradictoires sur l’enquête.
Pierre Jean Gonzalez
