L’Orchestre de poche de Toulouse : un OVNI entre classique, théâtre et rock and roll

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orchestre de poche Carthur bramao

Fondé en 2012 lors d’une collaboration avec la compagnie de théâtre « du petit matin », l’Orchestre de poche  a  pris sa source autour du théâtre de la musique et des arts visuels. Une formation qui depuis ne déroge pas à cette fondation et qui nous fait voyager entre Goran Brégovic, Mickael Neyman et Yan Tiersen.

 

Pour offrir au public cette BO pleine de références et d’émotions planétaires le collectif par sa taille est formé de l’essence même d’un ensemble classique mais quelque peu  revisité. L’ensemble embrasse toutes les familles d’instruments : cordes, bois, cuivres et percussions, agrémentés d’une touche plus moderne représentée par l’accordéon, la guitare, le saxophone ou la batterie. «  j’aime beaucoup le baroque, les sonorités du pays de l’Est et j’ai aussi fait beaucoup de rock, donc on peut entendre ce côté pêchu du rock and roll que l’on ne trouve pas forcément dans un orchestre classique »,  explique Bruno Coffineau, compositeur, metteur en scène et musicien au sein de l’Orchestre de poche.

 

Un collectif au tempo :

Ouvert à toutes les scènes le collectif peut avec sa musique faire le grand écart et se produire aussi bien à St Pierre des cuisines que « chez ta mère » un café associatif ou la gageure fut de rentrer l’Orchestre de poche sur une scène de poche ! « C’est un projet vraiment global et l’idée est vraiment de relier notre musique avec le monde de l’image. On peut aussi bien accompagner du cirque comme des danseurs et se produire dans tous les espaces », termine Bruno Coffineau.

 

 

 

Prochaines dates :

dimanche 26 juillet à 21h à Carbonne dans le cadre de 31 notes d’été, entrée libre
jeudi 20 août à 21h à Ciadoux dans le cadre de 31 notes d’été, entrée libre

Pierre Jean Gonzalez