Interdiction de manifester : le fondateur des jeunesses nationalistes réagit

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En fin de matinée, la préfecture de Haute-Garonne a annoncé l’interdiction de la manifestation des jeunesses nationalistes ce samedi à Toulouse. Une décision qui n’est pas du goût du fondateur des jeunesses nationalistes Alexandre Gabriac. Ce dernier réagit dans un communiqué :

 

« Le samedi 08 juin 2013, les Jeunesses Nationalistes devaient se retrouver, à Toulouse, pour commémorer le souvenir de la bataille de Toulouse, laquelle, le 9 juin 721, vit le Duc Eudes d’Aquitaine défaire, devant les portes de notre ville, les hordes sarrasines, initiant ainsi avant Charles Martel à Poitiers 10 ans plus tard, le grand mouvement de reconquête dont naquit la civilisation de nos pays d’Europe, notre civilisation.

Alors même que cette manifestation publique avait été, dès le 21 mai 2013, déclarée auprès des services préfectoraux, elle vient d’être, à 24 heures de sa tenue, interdite par ceux-ci, au motif que diverses organisations dites « antifascistes » entendent occuper la rue signe de protestation, le même jour.

Rompant ainsi le principe d’égalité de ses administrés, l’autorité préfectorale cède hélas une fois de plus à la menace de nervis qui n’ont pourtant que mépris pour les valeurs d’ordre et de discipline qu’elle se devrait d’incarner.

Les casseurs, les pilleurs, bénéficient ainsi d’une totale impunité, leur permettant de venir vomir sur la voie publique leur haine de notre passé et leur refus de tout avenir, tandis que nous, Nationalistes, pourtant toujours respectueux des biens publics et simplement soucieux de rallumer, par notre démonstration de force tranquille, la flamme de l’espérance dans les cœurs de chacun des français non reniés, sommes encore une fois bâillonnés, consignés à domicile sous la menace du bras séculier de cette république.

Mais comme en 721, le grand mouvement de la reconquête, invisible à ceux qui ne voient que leurs intérêts égoïstes, s’amorce, et plus rien ne l’arrêtera.

Les idiots utiles de ce système peuvent bien venir hurler sur nos places, avec la bénédiction de ceux qui ruinent notre peuple : ils ne représentent que l’une des deux faces de cette monnaie sans valeur qu’ont créée pour nous nous exploiter, nous spolier, ceux qui, dans l’anonymat, détiennent réellement le pouvoir.

Mais les chaînes les plus solides ne peuvent rien contre vingt siècles d’histoire de France : l’avenir nous appartient. »

 

Communiqué de presse