Sanofi annonce par la voix de son président France, Christian Lajoux, la réorganisation de ses activités recherche de médicaments dans l’hexagone. Entre 1200 et 2500 personnes seraient concernées par cette restructuration, Toulouse pourrait être fortement touchée. Jean-Jacques Bolzan, secrétaire départemental du Parti Radical, appelle à la mobilisation de tous les acteurs (collectivités, syndicats…) pour le maintien de Sanofi à Toulouse.
« Il y a quelques semaines un article sur le journal Les Échos, signé par le directeur général de Sanofi monde Christ Viehbacher, parlait de « l’innovation, clef de la croissance et des emplois de demain », précisant que la France disposait d’atouts considérables.
Toulouse s’est engagée après le drame AZF à mobiliser toutes les énergies pour rendre son écosystème de la Santé performant. Sanofi a été le premier acteur à répondre présent, en renforçant sa présence sur le cancéropôle naissant, qui devient une ancre de stabilité et de confiance.
Comment comprendre qu’aujourd’hui la fonction recherche de Sanofi à Toulouse puisse être transférée sur un autre site?
Jean-Jacques Bolzan préconise la création d’une délégation composée de personnalités toulousaines liées au monde politique, de la Recherche, de l’Université, du monde économique et de la santé afin d’aller négocier avec le Président de la Recherche-Développement monde Sanofi qui est américain, qui travaille et vit à Boston (EU) » propose Jean-Jacques Bolzan dans un communiqué.
