Pendant deux jours à Diagora Labège, la Mêlée Numérique, rendez-vous phare, crée l’évènement dans la métropole toulousaine et revient avec les Trophées de l’Economie Numérique qui mettent à l’honneur le savoir-faire et les initiatives des entreprises dans le développement des solutions et applications numériques au sein de leur activité. Au fil des ans, l’association a su s’imposer comme un partenaire incontournable de la communauté urbaine, pour fédérer les forces vives d’un territoire en pointe dans l’économie numérique. Pierre Cohen sera d’ailleurs présent ce mercredi à 19h30 pour la remise du Grand prix de l’économie numérique.
« La Communauté urbaine et la Ville de Toulouse jouent pleinement cette carte de l’économie numérique afin de favoriser l’accès à la connaissance pour tous, via internet. Les séances du Conseil municipal sont désormais retransmises en direct sur le site de la Ville. Le site de la communauté urbaine fait peau neuve. L’e-administration et les services publics décentralisés ont été développés. Nous entendons améliorer les services rendus à la population tout en réduisant la fracture numérique sur l’ensemble du territoire, grâce au développement d’espaces publics numériques » a expliqué le président Pierre Cohen.
En créant la plate-forme Opendata, la Communauté urbaine et la Ville de Toulouse, mettent à disposition leurs données publiques pouvant être utilisées par les entreprises toulousaines ou régionales, grâce à un catalogue et un format qui évolueront en fonction des attentes. Le Grand Toulouse consolide également son soutien à la filière numérique en accompagnant les entreprises qui proposent des services innovants, notamment celles hébergées dans ses pépinières. Plusieurs d’entre elles sont d’ailleurs présentes sur le stand de la Communauté urbaine pendant ces deux jours de salon.
« Parce qu’elle réalise une veille active sur les évolutions du secteur, parce qu’elle organise des événements majeurs comme ce salon qui favorise le partage d’expériences, la Mêlée a tout son rôle à jouer dans la métropole de la connaissance qu’est devenue Toulouse » conclut Pierre Cohen.
