Roller hockey : Les Hocklines retournent aux affaires

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Samedi 2 mars, l’équipe N1 des Hocklines, en tête de poule, affrontera un concurrent direct, Aubagne à 20h au Gymnase de la Ramée.

 

Aubagne, « bête noire » des Hocklines ? Pas loin : le jeu des Jokers a souvent posé des problèmes aux toulousains, qui ont malgré tout conjuré le sort quelques mois plus tôt en remportant la précédente rencontre en mort subite. Actuels leaders de la poule Sud, les Hocklines peuvent donc s’attendre à un match sous tension. « Il reste encore trois journées avant les play-offs et le classement peut encore facilement bouger d’ici-là » explique l’entraîneur-joueur John Ostré.

D’autant que, face à un concurrent direct bien en jambes, les locaux retournent aux affaires après tout juste un mois d’absence du terrain. Deux semaines plus tôt, un forfait de Seynod a certes donné lieu à un agréable match de gala (occasion également de découvrir le jeu de crosse de Damien Gadiot, transfuge du TBHC qui pourrait faire ses débuts en championnat contre Aubagne).

Mais le succès de la soirée tenait sans doute plus à l’annonce du jour : la validation de Toulouse comme ville hôte du mondial de roller-hockey en 2014, qui accueillera ainsi les formations nationales les plus reconnues de ce sport (dont les Etats-Unis, où l’on croise souvent des joueurs issus de NHL). En attendant ce grand événement, le club local va devoir, lui, aller chercher la victoire à domicile contre Aubagne, ce samedi 2 mars au Gymnase de La Ramée. En ouverture, à 18h, la N2 affrontera, de son côté, l’équipe de Clermont-Ferrand.

 

Les Hocklionnes, avec encouragement

Après avoir battu La Rochelle (1-0) au tour précédent, les Hocklionnes, l’équipe féminine des Hocklines, se sont inclinées les armes à la main contre St-Médard en 8e de finale de la Coupe de France. Il s’en est fallu d’un seul but d’écart (4-3) mais le résultat est plus qu’encourageant pour cette jeune formation inscrite en championnat régional (loisirs). Suffisamment pour espérer les retrouver l’an prochain dans le grand bain ?

 

Baptiste Ostré