Haute-Garonne. Un livret de lutte contre les addictions chez les jeunes dans le rugby

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Haute-Garonne. Un livret de lutte contre les addictions chez les jeunes dans le rugby
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Le Conseil départemental vient de publier, en partenariat avec le Comité départemental de rubgy de la Haute-Garonne, présidé par Bernard Pujol, une brochure d’information destinée aux jeunes joueurs de rugby amateur haut-garonnais afin de les sensibiliser au danger des addictions dans leur sport.

Elaboré en collaboration avec le Comité départemental, les membres de la Commission médicale et les cadres techniques, ainsi que 80 clubs amateurs haut-garonnais, ce livret de prévention « Le rugby, c’est sans produit » est destiné à favoriser la pratique saine d’un sport et à lutter contre les addictions et les dérives de produits stupéfiants (dopage, drogues, etc.) en informant les jeunes sur les risques liés aux excès sur leur santé.

Ce livret sera distribué dans les clubs amateurs du département, à la Maison des adolescents et lors d’événements sportifs.

Par ailleurs, à l’occasion de la publication de ce livret, le Conseil départemental offre la possibilité aux formateurs sportifs des clubs de rugby amateurs haut-garonnais de suivre gratuitement une formation sur la prévention des addictions, par l’intermédiaire de la Maison des adolescents.

Le Département est pleinement engagé pour favoriser la pratique sportive de tous au travers d’une politique qui soutient la jeunesse et les acteurs sportifs. En 2019, il mobilise un budget de 8 millions d’euros destiné à soutenir les clubs sportifs amateurs et les équipements sportifs sur le territoire.

« Le Conseil départemental et le Comité départemental de rugby partagent les mêmes valeurs – celles du sport et du rugby en particulier. Nous avons décidé d’unir nos efforts pour lutter avec lucidité et sans tabou contre les addictions afin que les jeunes puissent faire des choix éclairés, mesurer le danger de certaines pratiques et adopter des comportements responsables, pour eux-mêmes comme vis-à-vis d’autrui » souligne Jean-Jacques Mirassou, vice-président du Conseil départemental.

La rédaction