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Pris entre l’étau de l’article 24, du tabassage de Michel Zecler, et de ses dernières sorties chez nos confrères de Brut, Emmanuel Macron a décidé d’organiser un « Beauvau de la sécurité » en janvier.
Le président a décidé la tenue à partir de janvier d’un « Beauvau de la sécurité » sur une réforme de la police, afin d’améliorer les conditions d’exercice » des forces de l’ordre et « consolider » les liens avec les Français.
Pour déminer une situation explosive, le chef de l’État convoque ce « Grenelle de la police » qui réunira des représentants des forces de l’ordre, des élus et des citoyens.
Les propos du président reconnaissant des « contrôles au faciès » lors de son interview accordée à Brut ont suscité chez les policiers de vives polémiques et de la colère..
L’Elysée veut reprendre la main dans ce dossier et annonce la volonté de créer dès janvier une plateforme pour signaler les discriminations tant sur les contrôles que sur l’emploi, le logement, le sport et la culture.
La rédaction
