Hier s’est achevé le salon de la Mêlée Numérique, salon entièrement dédié aux technologies de l’information et de la communication. Photo / CTI
Ce jeudi s’est achevé la Mêlée Numérique 2012, salon entièrement dédié aux technologies de l’information et de la communication. Avec plus de 3000 visiteurs, le succès de cette édition encourage les organisateurs à programmer un jour supplémentaire l’année prochaine.
Que ce soit les exposants du salon ou les organisateurs eux-mêmes, tous relèvent le bon cru de la Mêlée Numérique 2012. Cette 16e édition a accueilli cette année 150 exposants, 60 ateliers et conférences. Edouard Forzy, créateur de ce salon, explique que « cette année la Mêlée Numérique a reçu bilan très positif, en comptabilisant plus de 3 000 entrées ».
Ce salon est un moyen de se faire connaître et d’étendre leur réseau social pour toutes les nouvelles entreprises portées sur le secteur des nouvelles technologies. Le Social Network, les logiciels libres et le développement durable étaient les sujets phares. Des démonstrations ont été animées par les entreprises afin de faire découvrir toutes ces nouvelles technologies. Des représentants de grandes entreprises telles que Microsoft, Oracle ou encore le Crédit Agricole étaient présent.
Un des temps fort, selon Edouard Forzy, était la 10e édition de la remise des Trophées de l’Economie Numérique, récompensant les meilleures initiatives TIC de la région Midi-Pyrénées. Egalement, le débat de la dernière soirée portant sur le social Network était tout aussi passionnant.
Les exposants étaient également très heureux de voir que le salon n’a fait qu’évoluer d’années en années. « Les espaces ont plus de place, sont plus ouverts. Les contacts réalisés avec les visiteurs étaient de qualité », confie Hélène Cazenave, exposante au salon pour l’entreprise nFrance.
Accueillant des intervenants internationaux, ce salon est devenu un évènement majeur dans le secteur des technologies. Et vu le succès de cette édition, il est probable que le salon se passe sur trois jours l’année prochaine, histoire de « passer à la vitesse supérieure ».
Charles Monnet
