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Le musée des Arts Précieux Paul-Dupuy, rouvert depuis quelques mois, a pour ambition de faire découvrir des créateurs contemporains qui perpétuent des savoir-faire ancestraux oubliés et les revivifient en les ancrant dans le goût actuel.
Plumassier du Moulin Rouge, artisan d’art reconnu et sollicité par les plus grandes maisons de haute couture, Maxime Leroy est l’invité du musée, pour une exposition d’exception, « Haute voltige ». Il s’agit de la première rétrospective nationale de ce jeune artisan d’art, avec de nombreuses œuvres créées pour l’occasion et des prêts prestigieux des maisons Dior, Jean-Paul Gaultier et Hermès,
Salué internationalement comme l’un des artisans les plus novateurs de sa génération, Maxime Leroy couvre avec ses créations un spectre toujours plus large, depuis le vêtement jusqu’aux arts décoratifs. Sa connaissance de la plume est telle qu’aucun support ne l’effraie et qu’il se plaît au contraire à en exploiter les potentialités plastiques pour mieux la sublimer. Laissez-vous surprendre avec son mimosa et un drink…
A voir du 24 mai au 12 novembre au Musée des Arts Précieux Paul-Dupuy – 13 rue de la Pléau
05 31 22 95 40 – museepauldupuy.toulouse.fr – Station métro Carmes
Rip Hopkins et Julien Magre exposent au MATOU
En parallèle de l’exposition consacrée à Maxime Leroy, une résidence artistique a été confiée aux photographes Rip Hopkins et Julien Magre, en collaboration avec la galerie Le Réverbère à Lyon. Cette résidence donnera lieu à deux ouvrages publiés chez Filigranes Editions.
Membre de l’agence VU, reporter de guerre, photographe de mode, portraitiste de génie, Rip Hopkins parcourt le monde depuis plus de 25 ans, avec un regard à la fois décalé et porteur d’une esthétique exigeante, précieuse et intemporelle. Rip Hopkins était tout naturellement désigné pour explorer l’univers de la plume à travers le monde.
Diplômé des Arts Décoratifs de Paris, Julien Magre, repéré par Agnès b. à Paris Photo en 2010, a remporté en 2022 le prix Niepce. Avec le souci de traduire le monde tout en l’amenant du côté d’une interprétation théâtrale, fictionnelle, voire onirique, Julien Magre travaille à l’élaboration de séries photographiques dans lesquelles s’inscrit, notamment, son travail actuel autour de la plume.
A voir du 24 mai au 12 novembre au MATOU – 58 allées Charles de Fitte
Station métro Saint-Cyprien – République.
La rédaction
