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Toujours aucune trace de Marie Ostbo, une étudiante norvégienne scolarisée à Sciences Po Toulouse. Alors qu’elle séjournait en Afrique du Sud avec des amis, la jeune fille n’a plus donné de nouvelles depuis le 19 avril dernier. Plus inquiétant encore, la police locale de Sedgefield, la station balnéaire dans laquelle elle est apparue pour la dernière fois, a décidé de stopper les recherches depuis le jeudi 17 mai.
Un responsable de la police sud-africaine a expliqué qu’ «après des recherches intensives réalisées par des membres de différentes organisations qui ont assisté la police, aucune trace de la portée disparue n’a été trouvée», a rapporté le site d’informations de la Dépêche. En effet, un imposant dispositif avait été mis en place après la disparition de l’étudiante mais seuls ses chaussures, son téléphone portable et son bonnet avaient été retrouvés. Si les caméras de surveillance avaient enregistré des images d’elle alors qu’elle descendait sur la plage, ces images demeures les dernières traces de la jeune fille.
Lors des ultimes explorations menées par les policiers locaux, les équipes se sont heurtés au manque d’indices et de témoignage. Dans la Ville rose, Olivier Brossard, le directeur des Sciences Po Toulouse soutient les proches de la jeune fille et a mis en place une cellule psychologique pour les étudiants traumatisés par la disparition de leur camarade.
Kenza Gros Desormeaux
