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Dans le monde du football quand 2 hommes de caractère se rencontrent soit ils s’ignorent soit ils s’aimantent. Liés par la même volonté de sortir du pétrin la maison violette Didot le rennais et Dupraz le montagnard ont choisi de s’accrocher par la face Nord à un maintien improbable.
Mis à l’écart par Dominique Arribagé car il aurait pu « gêner » la progression des jeunes pouces Etienne Didot est revenu tel le phénix pour conduire le jeu d’un TFC en mal de « cerveau » et de vice ses derniers temps.
Incapable de tenir le score après avoir ouvert la marque les violets ne savaient plus mettre le pied sur le ballon et « fermer » la baraque quand il le fallait. Un manque d’expérience incarné aussi par le départ d’Aguilar, un autre vieux grognard qui n’avait pas non plus les faveurs de l’ancien coach. Dupraz veut entretenir l’espoir en créant un alliage entre jeunesse et expérience, en ligue 1 Toulouse est une des équipes les plus jeune et ça ce ressent quand il faut alterner entre fougue et moments de pause.
Et si après avoir fait exploser Bordeaux dans le derby de la Garonne, le TFC venait à s’imposer à Lille, le miracle serait permis, Dupraz qui vient de se remettre d’un « gros coup de fatigue » et Didot le savent bien, désormais ils n’ont plus rien à perdre.
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Pierre Jean Gonzalez
