Interpellée en février aux côtés d’une dizaine de personnes, la jeune femme comparaissait ce vendredi pour « proxénétisme aggravé » et « traite d’êtres humains » au préjudice de 5 jeunes femmes sans papiers à Toulouse.
Selon les éléments lus à l’audience par la présidente, les jeunes femmes étaient acheminées depuis le Nigeria puis intimées de se prostituer pour rembourser le voyage.
Le tribunal correctionnel de Toulouse est allé au-delà des réquisitions du parquet, qui demandait 12 mois dont 6 avec sursis et mise à l’épreuve pendant 2 ans.
La rédaction