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Patrick Frégolent, ex-Molex : « On nous a pris pour des idiots »

C’est quelques 190 ex-salariés de la filiale française du groupe de connectique américain Molex, licenciés en 2009, qui étaient présent jeudi dernier devant le Conseil des prud’hommes du Tribunal de grande Instance de Toulouse. Les 283 employés réclament à la société mère Molex-Inc, reconnu par la Cour d’appel de Toulouse comme « co-employeur » en février dernier, des dommages et intérêts à hauteur de 22 millions d’euros, et la qualification « abusif » du licenciement. Retour sur 5 années de lutte avec Patrick Frégolent, ancien salarié.

 

Toulouse Infos : En 2009, c’est 283 salariés de la filiale française de la société américaine Molex, qui ont été licenciés pour des raisons économiques. Comment a été accueillie la nouvelle à cette époque?

Patrick Frégolent : Au départ ça a été un choc. Il y avait des rumeurs mais on ne pensait pas que c’était à ce niveau là. Au moment de l’annonce, un mois auparavant on nous avait décerné le award de la qualité, et il y avait eu des réunions du délégué du personnel qui nous affirmé que tout allait bien. On nous a pris pour des idiots ! C’était un acte prémédité de leur part, ça n’a rien à voir avec un licenciement économique. Depuis plus d’un an, ils organisaient des réunions avec certains cadres privés en leur offrant des primes de 6 mois de salaires s’ils participaient au plan.

TI : Depuis l’usine française n’existe plus. Qu’est ce qui vous motive à continuer sans relâche le combat mené depuis bientôt 5 ans ?

PF : Ce qui nous intéresse c’est la requalification du licenciement comme étant abusif. C’est une question de fierté, on s’est fait volé, on a volé notre entreprise. Lorsque la Cour d’appel a reconnu la qualité de « co-employeur » de la société-mère américaine Molex-Inc, ça a permis de mettre en avant de quelle manière on exploite nos usines en France. Les procédures employées pour piller notre savoir-faire, nos contrats et nos brevets sont enfin sur le devant de la scène. Aujourd’hui beaucoup de sociétés ferment soit disant pour des raisons économiques, alors qu’il s’agit en réalité de distribuer plus de dividendes aux actionnaires.

TI : Vous êtes confiant sur la décision qui doit être rendue par le Conseil des Prud’hommes le 5 décembre prochain ?

PF : Oui, je suis confiant sur le résultat. La Cour d’Appel s’est rangé de notre côté en reconnaissant le statut de « co-employeur » au groupe américain, même si aujourd’hui l’affaire va être portée devant la Cour de cassation. Le Tribunal Administratif a annulé la décision du Ministre du Travail de l’époque, Eric Woerth, autorisant le licenciement des 23 salariés protégés, ce qui va leur permettre à eux aussi d’intenter une action devant les prud’hommes. Aujourd’hui on a un dossier béton, même si le risque zéro n’existe pas, je ne vois pas comment on pourrait perdre.

 

Propos recueillis par Marine Astor

A 1h30 de Toulouse : Eauze fait son Festival Galop-Romain

La ville d’Eauze dans le Gers organise pour sa 10ème édition le festival Galop-Romain qui transportera le public à l’époque Gallo-Romaine ! Culture, humour et spectacles sont au rendez-vous.

 

Situé dans le Gers à 1h30 de Toulouse, le village d’Eauze présente son site archéologique à travers son festival destiné aux petits et aux grands.

Unique en son genre, les spectateurs pourront assister à des combats de gladiateurs, la traditionnelle course de chars, un combat avec un éléphant de guerre, un spectacle de chevaux historique cataphractaires, des défilés de personnages de l’époque, et des saynètes de la vie quotidienne.

Des animations et des ateliers viendront compléter le programme : jeux antiques, accro branches, promenades à poneys, maquillage, etc…

Les familles pourront également se promener dans le village gourmand composé de producteurs locaux, un village des artisans, des scènes musicales de style rock basque, celte.

A ne pas manquer le spectacle du samedi soir « Nuit magique d’Elusa », une création originale et rythmée mêlant histoire, fantaisie, musique et ballet pyrotechnique, avec 70 artistes, comédiens, musiciens et dompteurs de feu. Par les compagnies Pleiades et Akouma.

Le festival Galop-Romain en Gascogne a choisi de se positionner sur l’événementiel pour rendre accessible la culture historique de la ville d’Eauze à un plus grand nombre.

Tout le programme est disponible ici :

 

Auteur: Pascale Larose Schreiber – Fondatrice du site www.toulouseforkids.fr, partenaire de Toulouse Infos

14 juillet : A Toulouse, le métro et les bus fonctionneront jusqu’à 2h

A l’occasion des festivités du 14 juillet, Tisséo a annoncé que le métro et les bus de nuits fonctionneront jusqu’à 2h du matin. L’occasion de faire la fête et de rentrer chez soi sans danger.

 

Ce 14 juillet, le métro fonctionne jusqu’à 2h du matin (derniers départs des terminus). Pour des raisons de sécurité, la station Jean Jaurès est fermée à partir de 19h30. La correspondance se fait à pied en quelques minutes entre les stations Capitole (ligne A) et Jeanne d’Arc (ligne B) ou entre les stations Esquirol (ligne A) et Carmes (ligne B). Le tram fonctionne jusqu’à 2h30 (dernier départ des Arènes), les lignes de bus de soirée circulent jusqu’à 2h du matin avec 3 départs supplémentaires à 30 minutes d’intervalle.

Les TAD 106, 119 et 120 effectuent un dernier départ à 2h30.

Service bus perturbé du 11 au 15 juillet : les lignes de bus suivantes sont déviées :
– les 11 et 12 juillet : lignes 14, 22, 23, 16S, 22S et Navette Aéroport.
– le 13 juillet : lignes 14, 22, 23, 27, 16S, 22S et Navette Aéroport,
– le 14 juillet : lignes 2, 10,14, 16, 22, 27, 29, 37, 38, 16S, 22S, 38S et Navette Aéroport,
– le 15 juillet : lignes 14, 22, 23 et Navette Aéroport.

 

Communiqué de presse

Toulouse : Programme des festivités du 14 Juillet

Du traditionnel défilé au feu d’artifice, de nombreuses animations sont au programme de ce 14 juillet 2013 à Toulouse. Voici le déroulé de la journée.

 

– 11h00 – 12h00. Célébration de la Fête nationale du 14 juillet – Cérémonie – Défilé
Boulevard Lazare Carnot – Place Roland à Toulouse
En présence du préfet et du général commandant la 11ème brigade parachutiste(AMP).

– 15h. Casino Théâtre Barrière. Charles Trenet, le fou chantant a cent ans
À la manière d’une comédie musicale, la pétillante troupe de Gérard Chambre entonne les grands succès du Narbonnais le plus célèbre au monde ! Des mélodies inoubliables, des refrains merveilleux qui ont accompagné l’histoire du pays, depuis les années insouciantes, à la « drôle de guerre », de l’Occupation à la Libération, empruntant les chemins du swing, du be-bop, à la rencontre des zazous et des existentialistes. À reprendre tous en coeur…
Spectacle destiné en priorité aux seniors toulousains, puis accessible à tous dans la limite des places restantes

– 20h. Allées Jean Jaurès. Premières parties concert
Débutée sur des airs musette joués par Didier Dulieu, Éric Bochalini et Olivier Brousse, la soirée se poursuivra par les titres du répertoire de la chanson française entonnés par la chorale citoyenne emmenée par François Dorembus. De 9 à 70 ans, les 25 chanteurs inspirés sont issus de centres de loisirs et d’association d’accueil de jeunes ou de seniors de la Ville de Toulouse.

– 21h. Allées Jean Jaurès. Orchestre du Capitole et Invités
La grande soirée de festivités célèbre cette année les talents de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse et d’invités prestigieux. Avec ce concert en plein air, près de cent musiciens explorent le répertoire classique mais abordent également les rivages de la musique de film, du jazz ou des musiques populaires.

Les invités de l’Orchestre : Yvan Cassar est chargé des arrangement musicaux, Maurane, Passi, Calogero, Bernard Lavilliers, Juliette.

– 22h45. Arche Marengo. Feu d’artifice, visible depuis les allées Jean-Jaurès comme depuis la colline de Jolimont. Pour la deuxième année consécutive, Joseph Couturier, artificier de talent installé en Vendée, conçoit le spectacle pyrotechnique tiré en haut des allées Jean-Jaurès, depuis le Pont Pompidou et l’Arche Marengo.
Sur les grands airs classiques, les musiciens de l’Orchestre National du Capitole de Toulouse accompagnent le feu d’artifice visible depuis les allées Jean-Jaurès comme depuis la colline de Jolimont.

 

Communiqué de presse

14 juillet : Toulouse invite Calogero, Maurane, Lavilliers et … l’Orchestre du Capitole

La Fête Nationale du 14 juillet invite cette année l’Orchestre national du Capitole de Toulouse sur la place Jean Jaurès pour célébrer les valeurs de la république le temps d’un concert gratuit. Calogero, Maurane ou encore Bernard Lavilliers chanterons au côté de l’ambassadeur musical de la ville de Toulouse, reconnu dans le monde, avant de laisser place au magistral feu d’artifice.

 

L’orchestre national du Capitole de Toulouse donnera un concert à ciel ouvert gratuit sur les allées Jean Jaurès, dimanche 14 juillet à 21 heures. Sous la direction de Tugan Sokhiev, les cent musiciens viendront accompagner les voix de Juliette, Bernard Lavilliers, Calogero, Maurane et Passi. Au programme : répertoire classique, jazz, musique de films et chansons populaires seront interprétés et mettront à nue la puissance et l’éclectisme de l’orchestre toulousain. La première partie à 20 heures fera place aux airs de musette joué par Didier Dulieu, Eric Bochalini et Jean Marc Serpin. Pour poursuivre c’est la chorale citoyenne intergénérationnelle menée par François Dorembus qui viendra rendre hommage aux plus grands titres de la chanson française.

Chaque année, cet événement populaire, qui vient célébrer la République et ses valeurs, réunit plus de 100 000 spectateurs, 175 techniciens et 90 tonnes de matériel. Le concert sera suivi de l’incontournable feu d’artifice en haut des allées Jean Jaurès, depuis le pont Pompidou et l’arche Marengo. 265 personnels de secours seront présents sur les lieux et plus de 6 km de barrières de sécurité sont installées.

 

Article de Marine Astor

Toulouse : début du défilé du 14 juillet à partir de 11h

Le traditionnel défilé du 14 juillet à Toulouse aura lieu dimanche à partir de 11h sur le boulevard Lazare Carnot. Voici le programme de la fin de matinée.

 

11 H 00 : Arrivée  du préfet et du général commandant la 11ème  brigade parachutiste (AMP) sur le lieu de la cérémonie.

Accueil par le maire de Toulouse, le général commandant la région de gendarmerie Midi-Pyrénées et l’officier de garnison.

11 H 05 : Revue des troupes par l’AMP.

11 H 10 : Remise de décorations.

11 H 25 : Mise en place pour le défilé.

11 H 30 : Défilé des troupes (à pied puis en véhicules).

11 H 40 : Salut au commandant des troupes, aux porte-drapeaux des associations d’anciens combattants. Félicitations aux nouveaux décorés par les autorités.

11 H 45 : Fin de la cérémonie

 

Communiqué de presse

Défilé militaire du 14 juillet. Applaudir les engins de mort ?

Un récent sondage (CSA pour BFMTV) indique que 53% des Français sont opposés à la suppression du défilé du 14 juillet. Seuls 29% y sont favorables (18% sont sans opinion). Il y a deux ans, le 14 juillet 2011, Eva Joly avait suscité un tollé en proposant de le supprimer et de le remplacer par un défilé citoyen. De nombreuses personnalités de gauche et de droite avaient alors rivalisé dans une surenchère de cris d’orfraies dénonçant tant l’irresponsabilité que l’incongruité d’une telle proposition…

 

Un jour, sans doute lointain…, on saluera les propos d’Eva Joly comme l’ouverture d’une véritable brèche dans le mur de l’idéologie militariste française. Car de quoi s’agit-il ? Il s’agit ni plus ni moins de dénoncer ce spectacle affligeant et déshonorant qui consiste à venir applaudir les derniers bijoux de la quincaillerie militaire. Ce ne sont pas seulement des hommes revêtus d’un uniforme et qui ont fait le « choix » de consacrer leur vie à l’institution militaire que le peuple est convié à saluer sur les Champs Elysées, mais ce sont des centaines d’engins de mort, des chars et des missiles, que notre pays se glorifie d’exporter aux quatre coins du monde pour le plus grand malheur des peuples du Sud qui n’en finissent plus de mourir.

Existe-t-il spectacle plus indécent et plus immoral que cette pitoyable procession qui laisse penser que la patrie ne serait grande que par la taille de ses missiles, la puissance de ses chars, la beauté de ses uniformes ? En réalité, ce défilé symbolise, plus que tout autre, la culture de la violence et de la guerre qui domine encore et toujours nos sociétés. A travers le culte rendu aux armes, y compris de destruction massive, nous perpétuons de générations en générations, l’idée que seules la violence et la guerre peuvent défendre la justice et la paix, alors qu’elles les bafouent toujours, partout, pour le malheur de notre fragile Humanité.

« La musique qui marche au pas, cela ne me regarde pas », chantait le poète. En réalité, cela nous concerne tous. Au plus haut point. Car marcher au pas, et qui plus est, venir admirer la marche au pas, n’est-ce pas le symbole de l’abdication des forces de la raison et de la conscience qui pensent, comme le disait le philosophe Alain, « contre la société qui dort » ? N’est-ce pas le général Lyautey qui affirmait en connaissance de cause « quand j’entends les talons qui claquent, je vois les cerveaux qui se ferment » ? N’est-ce pas le projet ultime des états totalitaires de soumettre la société et les citoyens à l’obéissance inconditionnelle, celle qui ne laisse aucune place à la divergence, à la dissidence et finalement à la résistance ? En quoi ce spectacle dégradant a-t-il une quelconque place dans un pays qui prétend rester fidèle aux valeurs de la liberté et de la fraternité ? Notre incohérence conjuguée à notre arrogance éclate ainsi au grand jour. Et lorsque cela est dit, cela n’est pas compris. Seule la dénégation nauséabonde et l’insulte publique tiennent lieu de réponse. Oui, il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.

Pourtant, le 14 juillet 1789, ce n’est pas l’armée qui a pris la Bastille, c’est le peuple qui a pris la Bastille à l’armée. C’est le peuple, les citoyens en insurrection, qui ont été les acteurs de la Révolution. Ce seul rappel historique devrait signifier toute la stupidité d’un défilé militaire que seule la France maintient en Europe, envers et contre tout, au nom d’une soi-disant unité nationale autour de son armée. Quelle armée ? Celle des conquêtes napoléoniennes ? Celle qui tire contre le peuple insurgé à Paris en 1830 ? Celle de la défaite de 1940 ? Celle de la torture en Algérie ? Non, bien sûr, tout cela est oublié et renié. Il s’agit de l’armée qui a vaincu à Valmy en 1792, qui a défendu la République contre les forces coalisées des monarchies européennes. Pauvre pays, si sélectif dans sa mémoire, si peu ouvert aux autres, si imbus de son arrogance et si incohérent avec ses propres valeurs.

Pourquoi ce jour de célébration ne serait-il pas l’occasion de revisiter les fondements de notre vivre ensemble sous la triple bannière de la Liberté, de l’Egalité et de la Fraternité, valeurs éternelles toujours à conquérir, à défendre et à faire vivre ? Cela aurait infiniment plus de sens que de subir passivement une parade militaire d’un autre âge. La fête nationale, qu’il ne s’agit pas de remettre en cause, aurait alors les accents enthousiastes d’un pays qui veut encore être acteur de l’Histoire, ouvert aux défis du XXIème siècle. Un pays qui ne succombe pas à la peur de l’avenir, mais qui le construit sans renier son identité républicaine.

Je sais que ces propos choqueront, voire indigneront ceux qui ne peuvent envisager que ce tabou national soit brisé. Le civisme de dissentiment est pourtant une exigence de la démocratie… Et ce n’est point faire l’apologie du pacifisme que d’enfoncer un coin dans l’institution militaire. Le pacifisme dénonce avec raison les horreurs de la guerre et refuse également avec raison les moyens de la guerre, mais il ne propose rien pour combattre les injustices et les tyrannies. Il nous faut sortir des insuffisances du pacifisme pour entrer dans la dynamique et le réalisme de la non-violence qui résiste aux injustices, propose des alternatives crédibles à la guerre et construit durablement la paix dans la cohérence des moyens employés avec la fin espérée. Il s’agit de sortir de la culture de la violence dont le défilé militaire du 14 juillet est l’un des symboles visibles et médiatiques pour entrer dans une culture de la non-violence qui offre une nouvelle espérance aux générations futures. Il est en effet urgent de préparer l’avenir de notre « Terre-patrie » bien malmenée par une multitude d’idéologies de l’intolérance, de la violence et de la guerre. C’est pourquoi l’éducation à la non-violence et à la paix devrait être l’un des investissements majeurs de nos sociétés pour consolider et améliorer notre vivre ensemble.

 

Tribune d’Alain Refalo, militant de la non-violence

14 Juillet : le plan de circulation de Toulouse

En raison des festivités du 14 juillet et du concert de l’Orchestre National du Capitole avec ses invités : Calogero, Maurane, Bernard Lavilliers, Passi, la circulation sera modifiée jusqu’au 15 juillet dans le secteur des allées Jean-Jaurès.

 

Afin d’assurer la sécurité et le confort de tous, le stationnement et la circulation sont restreints dans les secteurs Jolimont, Marengo, Jaurès et Wilson depuis le 11 juillet. Des itinéraires de déviation sont conseillés par un système de fléchage. Pendant le montage du feu d’artifice, la zone de tir entre l’Arche Marengo et le Canal du Midi sera également interdite aux cyclistes et aux piétons à partir du 13 juillet à 9h.

Côté transports en commun, la station de métro Marengo sera fermée côté médiathèque à partir du 13 juillet à 9h. Le 14 juillet, la station Jean Jaurès sera fermée dès 19h30 jusqu’au lendemain matin. La correspondance entre la ligne A et la ligne B se fera donc en surface entre les stations Esquirol et Carmes ou Capitole et Jeanne d’Arc. Le métro fonctionnera jusqu’à 2h du matin le 14 juillet et le tram jusqu’à 2h30.

Le service bus est dévié du 11 au 15 juillet dans la zone. Les lignes de bus de soirée circuleront jusqu’à 2h du matin le soir du 14 juillet avec 3 départs supplémentaires à 30 minutes d’intervalle.

Afin d’assurer une bonne visibilité et une bonne écoute à tous, le concert est retransmis sur grand écran tout le long des allées Jean Jaurès. Il est déconseillé aux parents accompagnés de jeunes enfants de s’approcher de la scène. Pour profiter du feu d’artifice, il est conseillé de privilégier le bas des allées Jean Jaurès ou l’avenue Georges Pompidou, côté Jolimont (Métro Ligne A station Jolimont). Le Pont Georges Pompidou étant la zone de tir, il est impossible de l’emprunter à pied, en vélo ou en voiture pour traverser le canal. Le personnel de sécurité et la Police Municipale seront au service du public pour tout renseignement tout au long de la soirée.

>> Télécharger le plan de circulation riverain et le plan de circulation
>> Infos transport : www.tisseo.fr
>> Numéro utile : 31 01, appel gratuit depuis un poste fixe, 24h/24 et 7 j/7.

 

Communiqué de presse

Le festival Toulouse d’Eté et le quatuor Modigliani fêtent leurs 10 ans

Le 16 juillet prochain et jusqu’au 9 août se tiendra la dixième édition du festival Toulouse d’Eté. Pour cette nouvelle année, toutes les musiques seront à l’honneur aux travers de « voyages imaginés » dans de nombreux lieux de la ville rose.

 

« L’idée de cette dixième édition est celle d’un voyage musical qui se fera au cours du temps » affirme le directeur du festival, Alain Lacroix. « Du moyen-âge à aujourd’hui, de nombreux hommages seront rendus ». Pour fêter ses 10 ans, les organisateurs de ce rendez-vous immanquable de l’été toulousain ont tenu à rassembler tous les artistes qui le « construisent et le font vivre depuis des années ».

« Cette manifestation est très ancrée dans l’animation culturelle toulousaine » souligne Alain Lacroix. Chaque année, le festival est une nouvelle occasion de mettre en avant la « richesse du vivier musical toulousain ». Pour cette dixième édition, un regroupement en forme d’hommage à tous les genres musicaux était « indispensable ».

« Toulouse d’Eté est un festival ouvert à tous. C’est pour cela qu’on a mis en place des actions spécifiques pour le rendre plus accessible ». 6 concerts seront donnés dans les maisons d’arrêt de Seysses et de Muret contre 5 pour les précédentes éditions. Les personnes âgées, ainsi que les sourds et malentendants, auront aussi des événements musicaux qui seront organisés à leur honneur. « Il y a aussi une volonté de faire découvrir de nouveaux lieux de la ville, de surprendre le passant ».

 

Modigliani fête aussi ses 10 ans

Le mardi 23 juillet, le public pourra se rendre au Cloître des Jacobins pour passer « Une heure avec … Le Quatuor Modigliani ». Cette animation, qui surviendra dans le cadre du festival, sera également l’occasion pour ce quatuor français de fêter lui aussi ses dix ans d’existence. Créé en 2003, le groupe est aujourd’hui l’un des plus reconnus de la scène musicale nationale et internationale.

« Le quatuor Modigliani est éminemment toulousain » rappelle Alain Lacroix. « Deux de ses membres sont sortis du conservatoire de Toulouse. C’était important pour nous et pour eux d’être présents cette année au festival Toulouse d’Eté. On est très pressé de les recevoir ».

Les quatre musiciens se produiront lors de deux concerts au cours de cette journée de participation au festival, dont une fois en compagnie du pianiste Adam Laloum.

 

Article de Sébastien Olla

Ce samedi, la Reynerie anticipe le 14 juillet

Les festivités débuteront comme chaque année sur le site du lac de la Reynerie le 13 juillet. Une soirée hétéroclite où spectacle de rue à base de cirque, pyrotechnie et concert viendront ponctuer la soirée.

 

A 21h30 et 23h30 : Cie Les Philébulistes / Arcane

Arcane est une rencontre circassienne et poétique entre deux acrobates et une machine de cirque insolite faite à partir du jumelage de deux roues de vélo de cinq mètres de diamètre. L’ensemble est un grand mobile, lent et sensible, qui roule sur le sol et accueille les deux protagonistes. Le jeu prend place au sein d’un volume sans cesse redéfini par les mouvements et les déplacements de la machine. Le public est réparti tout autour de la piste, invité au voyage et au partage de sensations fortes.

A 22h45 : Les Commandos Percu / On the night shift

Depuis plus de quinze ans, cette compagnie toulousaine sillonne les festivals du monde entier avec ses percussions véritablement inédites et son savoir-faire très particulier en matière de pyrotechnie. La fusion entre l’élément musical et le feu est le principal moteur de cette dynamique. A cette dualité s’ajoute un troisième moteur, la mobilité ou l’art de la surprise qui entraîne les musiciens artificiers vers toujours plus d’audace et de mise en scène originale. Ce spectacle a été créé à l’occasion des J.O. de Londres. C’est donc un remake de ce magnifique spectacle dans lequel se mêlent danse, percussions et feu d’artifice qui est présenté. Un moment unique et décoiffant.

 

Communiqué de presse

Toulouse Infos