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Élargissement du périphérique : de grosses perturbations à prévoir entre le Palays et Lespinet

Rocade de ToulouseLes travaux d’élargissement du périphérique intérieur entre le Palays et Lespinet se poursuivent par une phase nécessitant des restrictions de circulation. Les dispositifs de sécurité du chantier vont être mis en place pendant la période du 16 au 27 septembre 2013.

 

Ces travaux nécessiteront la fermeture complète du périphérique intérieur entre Palays et Rangueil les nuits du lundi 16 septembre au mardi 17 septembre et du lundi 23 septembre au vendredi 27 septembre 2013. Durant ces fermetures, des déviations seront mises en place :

– pour les trois accès à l’échangeur du Palays par l’avenue Latecoere et la RD 113;

– pour la bretelle entrante de l’échangeur de Lespinet par le périphérique extérieur.

A partir du 17 septembre et jusqu’à la fin des travaux, la circulation sur l’autoroute A61, en provenance de Mongiscard, sera réduite sur la voie de gauche entre la gare de péage et l’échangeur du Palays.

L’attention des usagers est attirée sur les perturbations inévitables générées par la mise en place des dispositifs de sécurité du chantier pendant ces deux semaines  du 16  au 27 septembre.

A l’issue de cette phase de travaux et jusqu’à la fin de l’année, les conditions de circulation seront adaptées:

– la vitesse sera réduite à 70 km/h

– le dépassement pour les poids-lourds sera interdit

– les voies de circulation seront réduites et la bande d’arrêt d’urgence supprimée

– les régimes de priorité seront adaptés : voir schéma joint.

Les usagers sont invités à respecter la signalisation et les règles de prudence, afin d’assurer leur propre sécurité et de ne pas compromettre celle des personnels travaillant sur le chantier.

 

Communiqué de presse

Mois de l’Image : quand la photographie envahit Toulouse

Ce lundi 2 septembre, Pierre Cohen a ouvert le Mois de l’Image qui rassemble pour la première fois à Toulouse diverses initiatives et festivals autour de la photographie. Initiée par la Ville, cette manifestation est un temps fort de la saison culturelle qui donne à voir pas moins de 50 expositions tout au long du mois de septembre, ponctuée par une Nuit de l’Image le 14 septembre.

 

De grands noms de la photographie côtoient les jeunes pousses des ateliers Reza, des événements désormais majeurs comme les festivals MAP, Manifesto et l’exposition à ciel ouvert de Biz’art pop au jardin Raymond VI rejoignent les historiques Château d’Eau et galerie de l’Espace Saint-Cyprien… Cet événement porteur de toute la créativité et de la diversité qui existe à Toulouse autour de l’image associe également l’Espace EDF Bazacle, le Goethe Institut, des centres culturels et les médiathèques de la ville, le photographe Olivier Perez, le réseau culture Bar-Bars …

A l’occasion de cette première, la Nuit de l’Image investira les bords de Garonne pour une promenade où différents acteurs proposeront performances visuelles et sonores, projections et concerts, le 14 septembre de 19h à minuit.

« Nous avons voulu créer un grand événement autour de la photographie et favoriser des synergies avec les acteurs locaux, cette première édition du Mois de l’Image illustre parfaitement notre ambition » déclare Pierre Cohen. 

Communiqué de presse

Pourquoi le MoDem suspend sa participation à la campagne de Christine de Veyrac ?

Ce matin, le président du MoDem 31 Jean-Luc Lagleize annonçait à nos confrères du Journal toulousain qu’il suspendait « sa participation à la campagne de Christine de Veyrac ». Le MoDem s’explique dans un communiqué de presse.

 

« Depuis 2011, le MoDem a été le principal animateur de « La Maison commune du Centre » en Haute- Garonne, aux côtés des autres mouvements centristes, estimant nécessaire l’émergence d’une force centrale dans la vie politique française.

Après les élections Présidentielles de 2012 et les Législatives qui ont suivi, le MoDem 31 a décidé de poursuivre l’expression d’une « voix centrale » à Toulouse pour les Municipales de 2014 en s’engageant avec l’UDI aux côtés de Christine De VEYRAC pour offrir l’alternative dont Toulouse et les Toulousains ont besoin, dans la continuité de son action d’opposition constructive au sein du Conseil municipal.

Aujourd’hui, à 6 mois des élections municipales, force est de constater que la campagne de Mme de VEYRAC n’a pas réellement démarré, sans doute en grande partie à cause de l’absence d’un large soutien de l’ensemble de ceux qu’elle entendait rassembler. Ce qui aurait pu constituer une offre crédible ne s’impose pas dans le paysage toulousain. A ces données s’ajoute la logique d’un affrontement personnel qui ne saurait rendre crédible la perspective d’une alternative à Toulouse.

Tirant les conséquences politiques de cette situation, le MoDem décide donc de suspendre sa participation à la campagne de Christine de Veyrac et de reprendre sa liberté de parole et d’action. Il entend désormais consacrer ses moyens et son énergie à rechercher dès à présent la manière la plus efficace pour continuer d’être utile aux Toulousains pour la prochaine mandature.

Toulouse a besoin d’une dynamique nouvelle et de rassemblements représentant la diversité des talents et des opinions des habitants de notre ville et construits dans le respect mutuel. C’est à cette tâche que nous allons consacrer nos actions dans les prochaines semaines. »

 

Communiqué de presse

Municipales 2014 : le Modem quitte de Veyrac

C’est un nouveau coup dur pour la candidate UDI aux Elections municipales de Toulouse Christine de Veyrac. En effet, après avoir enregistré il y a quelques mois la perte de Jean Jacques Bolzan, c’est au tour du MoDem de prendre du recul.

 

Le président du MoDem l’annonçait en exclusivité ce matin à nos confrères du Journal toulousain, le parti de François Bayrou « reprend sa liberté ». Cette décision a été annoncée par Jean-Luc Lagleize aux cadres du parti lors du bureau départemental qui se tenait hier soir.

« La candidature était originale et intéressante. Mais aujourd’hui […] la démarche de Christine de Veyrac est un peu trop personnelle » a-t-il notamment déclaré à nos confrères.

Les jours se suivent et ne se ressemblent pas pour la candidate centriste qui a enregistré en début de semaine le ralliement du Mouvement des jeunes pour Toulouse et qui vient de perdre un allier important dans la bataille pour les municipales.

 

Guillaume Truilhé


Toulouse : l’occitan absent des journées européennes du patrimoine

Au nom du patrimoine, plusieurs administrations ont une politique pour montrer ou va l’argent public. En général, il s’agit donc de valoriser les sommes investies dans les bâtiments, leur rénovation, mais aussi valoriser les animations qui les entourent, notamment au niveau musical. Mais quid de la langue occitane ? Malgré l’article 75-1 voté voilà trois années, aucune administration française ne propose ses propres valorisations, et l’oublie encore grandement même pour les jours spécialisés et européens …

 

Lo patrimòni de dimension variabla es la règla a Tolosa ; es un acte politic clar d’estremar l’occitan. La gestion la farga l’administracion, ambe un sistèma politic content d’aiçò.

Jordi Savall explica atanben lo contengut patrimonial de las musicas medievalas ; escriu alara : « Las institucions publícan l’obligacion de conservar la musica, de la meteissa faiçon que conservan los grands monuments istorics, los musèus … la musica es similara a un musèu, mas lo musèu es vivent. Los que la faguèron, lo compausitors, son mòrts. Es per aquesta rason que la devèm jogar nosauts. »

E quora la musica es interpretada ambe paraulas en lenga occitana ? E podèm parier fargar cançons sense musicas ? E nos pausar las questions de la lenga sense musica ?

La lenga ensenha sobre la populacion que l’emplegava, la lenga ensenha sus un biais de viure passat, e quitament son emplec o son abséncia d’emplec ensenha sus lo present. Aital la Toulouse Business School ensenha mai sus las elitas borgesas tolzanas que sus l’economia ; acostumada que son d’oblidar l’occitan, zo faguèron pels plasers dels poders politics franceses, e zo fan ara pel plaser dels poders financièrs anglo-americans, los lòbi dels economistas matematicians qu’especúlan sus l’esquitan de los que trabálhan. Aital un títol en francés aproximatiu e tolzan d’un article de premsa (comment on ouvre un mac do) ensenha mai sus la diglosia imposada sus l’esquina occitana pels poders franceses que non pas un tèxte administratiu, repetitiu e talament artificial, o quitament sus la politica d’una entrepresa mondializada ; dons una idèa suls problèmas que l’abandon de l’empelc de l’occitan farà sus la lenga imposada, lo francés mal escrit o mal ortografiat, non pas a causa de l’occitan, mas perqué l’occitan es estat oblidat.

La lenga occitana es donc un patrimòni oblidat per tot lo país tolzan, es resumat à mantunas linhas de subvencions a d’associacions dom-quichotescas, o a un clientelisme agradiu pel sistèma politic. L’occitan es aital artificialament portat per aquestas subvencions magrinèlas. Donc i a agut l’article 75-1 de la constitucion votat per una pietadosa majoritat politica nacionalista francesa, que fòra França explica que cal sosténer «la francofonia e la diversitat » e dedins lo territòri destrusís la diversitat … per exemple en oblidar l’occitan pendent la jornada del patrimòni.

Aquel patrimòni podriá èstre mai que tot emplegat a cada còp que se comunica institucionalament a Tolosa, sense remarca ni res, coma una aisina comuna de comunicacion ; l’occitan podriá èstre emplegat naturalament per l’administracion del Conselh General per notat las direccions suls panèus que lo CG finança jà, e que renovela regularament, a mendre còst segur !

L’occitan seriá vivent se la musica dita tradicionala èra ensenhada non pas dins institucions tecnocratica, mas dins ostal vivent e creatiu, e tanben dins aquel que se qualifica pas d’occitan a Tolosa, carrièra dels Toncs. L’occitan seriá vivent se a cada dintrada l’occitan èra ensenhada pertot, sense cap mestièr d’o demandar a l’administracion, coma lo modèl còrsa o pratica dempuèi 30 annadas. L’occitan seriá vivent se la basa de l’ensenhament dels professors èra per ensenhar una lenga, e l’argument modèrne per esnehar los parents, e non pas lo passat.

Lo còst de l’usança d’un patrimòni lingüistic es nul, se las populacions que son estadas castigadas per l’emplegar, son, al contrari, valorizada per l’emplegar, sense aver mestièr d’escriure aquestas linhas o sense manifestacion, o peticion de tot escantilh. E alara lo patrimòni lingüistic occitan seriá vivent coma la musica de Jordi Savall quora se pratica en concèrt o dins los conservatòris.

Pel moment, es l’Ostal d’Occitània que farà una jornada del patrimòni per la lenga occitana ; l’enjòc dels militants, e normalament dels futurs candidats a la comuna, serà de far sortir l’occitan de l’Ostal, car es un instrument patrimonial vivent e per totes/as. Atencion, sortir d’ Ostal, vòl pas dire a l’Ostal de fargar la politica lingüistica sense mejans que las subvencions pichonas. I a pas cap politic qu’a explicat a l’Opèra del Capitòli de fargar espectables sense subvencions comunalas. L’Opèra del Capitòli es una institucion de la comuna, de finançament de totes los Tolzans, que fosquèsse de lenga occitana o francesa, blanc o nègre, de religion musulmana o bodista, etc.

L’avantatge de l’occitan es qu’es mens car que l’Opèra del Capitòli, se l’Opèra del Capitòli l’emplega per sa comunicacion ; e podèm pensar que totas las institucions tolzanas aurián lo dever d’emplegar la lenga tolzana, un patrimòni en dangièr de crevar s’es pas emplegada.

Data importanta de reténer per tot ciutadan tolzan digne e tot foncionari de l’administracion comunala, e tot lo personal politic : 800E ANIVERSARI DE LA BATALHA DE MURÈTH ; pichon aplec simbolic per commemorar los 800 ans de la batalha, aplec 11 de setembre 2013 a las 11 oras del maitin, plaça de Gaulle, sièti de l’ancian Capitòli de Tolosa.

Serà aital legit tròçes « Canso de la Crosada » e s’explicarà a la premsa l’importança de la data istorica. Lo 12 de setembre al vrespe, convidacion a l’Ostal d’Occitània per una «milles et unes nuits» e donc per clavar los 14 e 15, jornada europèa del patrimòni a l’Ostal, a partir de 14 ora lo dissabte.

 

Chronique de Jacme Delmas – Blog : , partenaire de Toulouse Infos

Alfred Nakache : de Toulouse à Auschwitz, itinéraire d’un nageur hors normes

Il est difficile de résumer la vie d’Alfred Nakache en quelques lignes tellement celle-ci a été forte en rebondissements en tous genres. Né en Algérie de famille juive, à Constantine plus précisément, et dernier d’une fratrie de onze enfants, son statut évoluera entre le champion de natation et le survivant des horreurs de la Seconde Guerre Mondiale. Portrait.

 

C’est en Algérie française qu’Alfred Nakache prend sa première bouffée d’oxygène le 15 novembre 1915. Rapidement, il se passionne pour la natation pour finalement, à 18 ans, être repéré par des recruteurs français et déménager à Paris en 1933. Une grande carrière se profile devant lui. « Il avait l’amour de la natation » déclare Yvette Benayoun-Nakache, sa nièce. Un an plus tard, il termine second au 100 mètres nage libre des championnats de France et rejoint par la suite l’équipe nationale. Il obtient même une quatrième place aux Jeux Olympique de 1936 dans l’épreuve du 4 x 200 mètres nage libre. Contraint de quitter Paris en 1940 lors de l’abolition du Décret Crémieux par le Maréchal Pétain, il rejoint la zone et libre et s’installe à Toulouse. C’est à ce moment qu’il signe avec les Dauphins du TOEC, alors sous la direction d’Alban Minville. Il remporte cinq titres de champion de France en 1942.

 

Milieu de la Seconde Guerre Mondiale, sa vie bascule

C’est en novembre 1943, que le « juif » Alfred Nakache est arrêté par la Gestapo avec sa femme et leur fille Annie. Transférés, le 26 décembre à Drancy, ils seront déportés un mois plus tard à Auschwitz. « Sa femme et sa fille ont été gazées à leur arrivée au camp » explique Michel Coloma, actuel directeur sportif des Dauphins. « Il a tenté de garder le moral et s’entraînait dans le bassin de rétention d’eau anti-incendie ». Survivant à une marche de la mort qui l’envoie à Buchenwald, il réapparait en France en 1945. Il ne pèse alors plus que 40 kilos. « Tout le monde le croyait mort, c’est d’ailleurs pour ça que la piscine de l’île du Grand Ramier a pris son nom, en hommage ».

Dès son retour, il reprend l’entraînement et (re)devient professeur d’éducation physique. « Malgré ce qu’il avait vécu, sa joie de vivre était exceptionnelle. C’était difficile d’imaginer qu’il avait vécu les camps » se souvient Yvette, alors adolescente. « Même si parfois, il traversait des grands moments de solitude ». En 1946, il prend part au record du monde du 3 x 300 mètres 3 nages. Il terminera sa carrière sur l’île de la Réunion et s’éteindra en 1983, succombant à une crise cardiaque alors qu’il nageait dans le port de Cerbère dans les Pyrénées Orientale.

 

Rémi Beaufils

Municipales 2014 : Moudenc égratigne Christine de Veyrac et Pierre Cohen

Une semaine après Christine de Veyrac, Jean-Luc Moudenc faisait hier sa rentrée politique. A moins de 7 mois des élections municipales, le candidat UMP s’est longuement exprimé sur les transports et les aménagements du centre-ville avant d’égratigner la candidate centriste ainsi que le maire sortant.

 

Ce mardi, si les 500 000 élèves de la région faisaient leur rentrée, il en était de même pour le candidat UMP à la mairie de Toulouse Jean-Luc Moudenc. Souriant, le challenger de Pierre Cohen avoue aborder cette période électorale avec « sérénité et détermination ». « Je veux réaliser un rassemblement divers et ouvert. Pour cela, je me laisse deux mois » annonce le député de la 3ème circonscription de Haute-Garonne qui assure qu’il y aura des membres de l’UDI et du Modem sur sa liste. Coté programme, même s’il sera « discuté avec les partenaires politiques », Jean-Luc Moudenc a donné quelques pistes sur les principaux thèmes qu’il mettra en avant : l’insécurité et la mobilité.

Concernant le premier point, le président de l’UMP 31 met en avant les derniers faits divers (braquages, incendie criminel…) pour mettre en lumière « une situation inquiétante ». Ce dernier regrette notamment l’absence de caméras de surveillance « pourtant annoncées en mars 2011 » et souligne l’« absence de résultats » des zones de sécurités prioritaires. Pour le volet mobilité, Jean-Luc Moudenc remet sur le tapis le grand contournement de Toulouse, pointe des « incohérences » concernant l’aménagement du centre-ville et critique l’augmentation des tarifs du stationnement résident. « En 2008, Pierre Cohen nous a promis une ville moins chère, je constate que c’est le contraire » termine le candidat UMP qui promet des propositions sur ces sujets dans les mois à venir.

 

« De Veyrac est l’auxiliaire de Pierre Cohen »

Les idées développées, reste à parler des adversaires…et plus particulièrement de sa tendance politique. Concernant le ralliement du Mouvement des jeunes pour Toulouse à Christine de Veyrac, Jean-Luc Moudenc explique ne pas avoir cédé au chantage de son président Etienne Cardeilhac-Pugens qui lui réclamait une place dans les 20 premiers noms de sa liste. Concernant la candidate UDI, le député UMP indique « ne plus s’occuper d’elle ». « J’ai la conviction que le but de sa candidature est de créer des divisions et faciliter la tache au maire sortant. De Veyrac est l’auxiliaire de Pierre Cohen » termine le président de l’UMP.

 

Article de Guillaume Truilhé

Syrie : « le parlement Français doit pouvoir donner son avis »

A l’occasion de sa conférence de presse de rentrée, Jean Luc Moudenc, député UMP de Haute-Garonne a déclaré entre contre une intervention militaire en Syrie. Ce dernier demande également qu’à l’instar des anglais et des américains, le parlement français puisse voter pour ou contre cette intervention. Il s’explique.

Martin Malvy : « la Région construira deux nouveaux lycées à horizon 2017 »

« Après la réparation et l’urgence, cette rentrée est celle de la refondation. La jeunesse et l’école sont enfin redevenues des priorités nationales » a déclaré Martin Malvy, président de la Région Midi-Pyrénées, en ouverture d’une conférence de presse de rentrée. « En Midi-Pyrénées, a ajouté le président de Région, plus de la moitié du budget régional  – 452 M€ – est consacré à l’éducation et à la formation. C’est la preuve de notre engagement en faveur de la jeunesse ».

 

A l’occasion de cette conférence de presse, Martin Malvy a annoncé la construction de deux nouveaux lycées par la Région. « Pour répondre à la pression démographique sur certains secteurs, nous devons décider dans quelques semaines de créer deux nouveaux lycées d’ici 2017. Le premier dans l’Ouest toulousain. Ce pourrait être sur la commune de Pibrac, la mieux située sur le plan géographique et qui dispose des terrains et des équipements nécessaires. Ceci pour répondre aux besoins des secteurs des lycées Saint-Exupéry à Blagnac et Victor-Hugo à Colomiers aujourd’hui saturés alors que les effectifs continuent de croître. Et le deuxième, au Sud du Tarn-et-Garonne, où la pression démographique est identique. Ces deux établissements seront prévus en 1ère tranche pour un millier d’élèves chacun, de manière à répondre aux projections à horizon 2020. Cela portera à 12 nouveaux lycées – sans compter les extensions d’établissements existants – le nombre d’établissements construits par la Région au cours de cette décennie ».

Le président de Midi-Pyrénées a ajouté que : « la Région poursuit la rénovation et la construction des lycées sur l’ensemble du territoire avec la mise en œuvre d‘un Plan pluriannuel de Travaux sur la période 2013-2019 de 560 M€. 185 opérations de travaux sont prévues pour adapter les capacités d’accueil des lycées, les rénover et les rendre plus accessible tout en optimisant leurs consommations d’énergie. Au total, cela portera notre effort à 2 milliards d’euros sur la période 2001-2019, soit 16 M€ par lycée de Midi-Pyrénées ».

« Au-delà des bâtiments, nous accompagnons de manière solidaire les lycéens et apprentis de Midi-Pyrénées avec toujours un objectif, celui de soutenir le pouvoir d’achat de leurs familles. La Carte Jeune avec 23 M€ d’aides régionales y contribue largement.  Elle regroupe sur une même carte à puce le chéquier lecture, la bourse de premier équipement, l’OrdiLib’ ou encore l’aide à l’hébergement des apprentis largement revalorisée cette année » a ajouté Martin Malvy.

Parmi les mesures marquantes de cette rentrée scolaire, on notera également l’achèvement du raccordement des lycées au très haut débit dans un délai de six mois, – 84 lycées le sont actuellement – ; le renforcement massif des politiques de réduction des consommations d’énergie – le lycée de Villefranche-de-Lauragais sera le 1er lycée à énergie positive de Midi-Pyrénées – ; la mise en place d’un dispositif d’information sur la contraception en partenariat avec le Rectorat.

 

Communiqué de presse

Toulouse Plages a attiré plus de 350 000 visiteurs

Toulouse Plages a fermé ses portes dimanche soir avec un nouveau record de fréquentation. 352 112 visiteurs,  soit 44 967 de plus qu’en 2012, sont venus profiter des nombreuses activités de loisirs, sportives et culturelles proposées cette année sur cinq sites en bord de Garonne. A lui seul, le site du Bazacle a attiré 43 000 personnes.

 

« D’année en année, Toulouse Plages s’affirme comme un rendez-vous incontournable pour les Toulousains, qui y trouvent une offre de dépaysement estivale en plein cœur de la ville. Je tiens à remercier et à féliciter les équipes des services sports, culture et loisirs de la Ville de Toulouse ainsi que l’ensemble des associations qui nous ont accompagnés dans la réussite de cette édition» s’est réjoui François Briançon.

 

Communiqué de presse

Toulouse Infos