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Jean-Jacques Bolzan : « Hollande s’en prend à la Famille »

Pour Jean-Jacques Bolzan, Président régional du Parti radical, le gouvernement ne doit pas toucher à la Famille et doit renoncer à la suppression des réductions d’impôts pour les familles ayant des enfants scolarisés dans le secondaire et le supérieur. Il s’explique.

 

« Les classes moyennes sont les poules aux œufs d’or pour la Gauche. Alors qu’Hollande voulait supprimer les cadeaux fiscaux faits aux plus aisés, il décide, avec le gouvernement, d’aller chercher 500 millions d’euros dans la poche des familles moyennes ».

Jean-Jacques Bolzan exprime sa ferme opposition car ces mesures se traduiraient « par une nouvelle augmentation de l’impôt sur le revenu pour des ménages qui sont déjà asphyxiés. D’autre part il s’agirait d’une nouvelle fiscalisation de la famille après la remise en cause du quotient familial. En taxant les familles, ce gouvernement taxe également l’accès à l’éducation et au savoir des enfants ».

Jean-Jacques Bolzan s’oppose fermement à cette dérive du gouvernement qui « transforme les familles en variable d’ajustement budgétaire ».

 

Communiqué de presse

Incendie en gare D’Albi : La Région mobilisée

Réagissant à l’incendie survenu hier matin en gare d’Albi, le président de Région, Martin Malvy, a déploré cet événement et les conséquences qu’il fera peser sur les usagers de la ligne, sans toutefois avoir fait de victime. Il a par ailleurs exprimé sa solidarité aux agents SNCF particulièrement touchés par cet incendie.

A la demande du président de Région, Charles Marziani, vice-président en charge des transports, s’est immédiatement rendu sur place pour constater les dégâts matériels et notamment la destruction du local technique dans lequel se trouvait le poste d’aiguillage qui implique la fermeture de la ligne entre Albi et Carmaux pour une durée encore indéterminée.

Un service d’autocars de substitution a d’ores et déjà été mis en place par la SNCF. Des expertises sont en cours pour déterminer l’origine du sinistre et l’ampleur des dégâts.

La Région, en lien étroit avec la SNCF reste particulièrement attentive à ce que tout soit mis en œuvre pour garantir à tous les usagers concernés un service de substitution permettant la liaison entre Carmaux et Albi dans les meilleurs conditions possibles et assurer sa réouverture dans les meilleurs délais.

 

Communiqué de presse

Toulouse : les jeunes socialistes défendent leurs homologues de droite

Le Mouvement des Jeunes Socialistes de Haute-Garonne réagit aux propos méprisants de Jean-Luc Moudenc après le ralliement du MJT à Christine De Veyrac.

Le Mouvement des Jeunes Socialistes de Haute-Garonne dénonce vivement la manière dont Jean-Luc Moudenc et son équipe traitent l’engagement de jeunes en politique après le ralliement du Mouvement des Jeunes Toulousains à Christine De Veyrac. « Dans une période de désenchantement de la chose publique, je suis étonné de voir l’engagement de jeunes, avec qui nous n’avons par ailleurs aucun contact, être ainsi dénigré. Il me semble aujourd’hui important de saluer tous ceux qui se battent contre la morosité ambiante et qui choisissent l’engagement politique en restant dans un cadre Républicain » précise Grichka Lingerat, Animateur Fédéral du MJS31.

« C’est en effet Jean-Luc Moudenc qui avait décidé de la création d’un mouvement de jeunes en vue des municipales de 2014, puis les avait reçu en grande pompe pour la présentation de leurs propositions, avant de dire que ce mouvement ne représente rien ». « C’est un petit événement! La volonté du MJT, issu des rangs de l’UMP, de rejoindre l’équipe de Christine de Veyrac, situe un peu plus la manière dont Jean-Luc Moudenc traite la jeunesse : avec mépris et condescendance » ajoute Vincent Gibert, Secrétaire National du MJS. »

 

Communiqué de presse

« Pickwik Le Vers Galant » : premier roman d’une amoureuse des livres

Eva Giraud, une Toulousaine de 24 ans amoureuse de littérature, a publié il y a déjà quelques mois le premier tome de son ouvrage intitulé « Pickwik Tome I – Le Vers Galant», aux éditions Edilivre. Preuve indéniable que la Ville Rose est un vivier de jeunes talents.

 

Quand se pose la question de savoir à quel moment son goût pour les livres est né, Eva Giraud lâche dans un éclat de rire : « Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours eu un livre entre les mains ». Il apparaissait alors logique que, quelques années plus tard, la jeune femme prenne la plume et se lance à corps perdu dans l’écriture. Elle passe ainsi sont temps libre à écrire, inlassablement. « Pendant mon BTS, mon week-end commençait dès le jeudi soir ce qui me laissait du temps pour bien avancer dans l’écriture de Pickwik ». Mais lorsqu’elle  raconte son aventure littéraire, l’auteure ne passe pas sous silence les obstacles qu’elle a rencontrés. En effet, une fois le livre achevé, il a fallu le soumettre aux professionnels de l’édition. Là commence la désillusion. « J’ai fait l’erreur d’envoyer mon manuscrit aux maisons d’édition les plus reconnues. Et bien évidemment, elles n’ont pas donné suite ». Face à l’indifférence de ces grands pontes de la plume, elle ne se décourage pourtant pas. Elle décide d’aller solliciter l’attention de professionnels qui sauront apprécier son talent. « J’étais complètement découragée. Ca n’est pas pour autant que j’ai abandonné. Je me suis tourné vers Edilivre, une maison d’édition plus modeste ». Bonne initiative puisque une semaine seulement après l’envoi de son manuscrit, Eva reçoit une réponse positive de la maison d’édition.

 

Un univers haut-en-couleurs

« Geneviève et David emménagent à Pickwik, un charmant petit village très loin du brouhaha de la ville et des gens pressés […]». Le synopsis jette les bases d’une avalanche de péripéties. « Mon ouvrage dépeint des personnages avec leurs névroses et leurs excentricités ». Et pour cause. Entre un maire aux multiples personnalités et un chat psychopathe, le lecteur se retrouve, tout comme David et Geneviève, précipité dans un univers haut-en-couleurs. Et concernant l’atmosphère extravagante, la jeune auteure s’étonne. « Je pensais cibler un public adolescent mais je me rends compte que mon ouvrage s’adresse à un lectorat plus large. Les adultes peuvent facilement s’y retrouver ».

Hamdani Nadia

Les Abattoirs : l’art moderne et contemporain au coeur de Toulouse

Le musée des Abattoirs rassemble en un même lieu des collections d’art moderne et contemporain. Il offre un large spectre des courants artistiques depuis les années 1950 à nos jours.

 

L’ancien abattoir toulousain du XIXème, créé par l’architecte Urbain Vitry, s’est transformé en lieu d’exposition en 2000. La collection des Abattoirs se constitue aujourd’hui de plus de 3500 œuvres, allant de la peinture à l’installation, en passant par les arts graphiques et la sculpture. Cette union du musée d’art moderne et du Frac (Fonds Régional d’Art Contemporain) Midi-Pyrénées en fait sa spécificité, et permet ainsi d’embrasser tout l’art de la seconde moitié du XXème siècle. Constamment enrichi, son fonds a également reçu de nombreux legs des collectionneurs Anthony Denney (1913-1990) et Daniel Cordier (né en 1920). Les missions du Frac permettent d’explorer les courants les plus récents de l’art contemporain, et ainsi dévoiler des œuvres d’artistes actuels.

 

Le mélange des genres

Les expositions temporaires alternent art moderne et contemporain, avec une aile nord consacrée en permanence à la donation de Daniel Cordier. L’œuvre maitresse du musée est un rideau de scène de Pablo Picasso et Luis Fernandez, La Dépouille du Minotaure en costume d’Arlequin, datant de 1936. Cette immense toile (8,30m x 13,25m) articule l’architecture muséale du sous-sol, tranchant avec les salles plus classiques  jouxtant la nef centrale du rez-de-chaussée.
Conférences, médiathèque spécialisée et ateliers pour enfants permettent de poursuivre l’exploration de l’art du XXème siècle, avec toujours la prospection vers les nouvelles formes d’expression artistique.

 

Didier Marinesque

 

Les Abattoirs

76 allées Charles-de-Fitte, 31300 Toulouse
Tarifs : 7€ (plein) / 3€ (réduit)

Municipales 2014 : Pour Pierre Cohen, « l’enjeu principal sera de mobiliser l’électorat »

C’est en tant que maire de Toulouse et non en tant que candidat PS aux prochaines élections municipales que Pierre Cohen faisait ce jeudi sa rentrée politique. L’occasion pour lui de valoriser son action à la tête de la ville rose depuis plus de cinq ans sans oublier d’adresser quelques piques à son principal adversaire.

 

Désigné officiellement candidat par les militants socialistes que le 10 octobre prochain, c’est dans le costume du maire de Toulouse que s’est présenté Pierre Cohen devant les journalistes. « Nous sommes dans un contexte de crise économique nationale, mais Toulouse s’en sort bien, notamment grâce à l’aéronautique » débute le maire sortant. A moins de sept mois de l’échéance électorale, c’est donc la « positive attitude » qu’a décidé d’adopter Pierre Cohen. « Depuis 5 ans nous avons fait beaucoup de choses et 2013 est l’année des explications. Notre projet à du sens et s’inscrit dans l’avenir » martèle le futur candidat PS à la mairie de Toulouse qui énumère ses réussites. « Nous avons fait preuve de volontarisme sur le logement (20% logements sociaux), nous avons mis la priorité sur les écoles et les crèches et les différents travaux engagés permettent un meilleur partage de l’espace public » s’enthousiasme Pierre Cohen qui termine en citant une étude de l’UNEF qui fait de Toulouse « la ville la moins chère pour les jeunes ».

 

Les transports : « offrir une alternative crédible à la voiture »

Comme en 2008, le thème de la mobilité devrait prendre une part importante dans la campagne qui se profile. Il y a deux jours, le candidat UMP Jean Luc Moudenc accusait le maire sortant d’« être contre la voiture », ce dernier lui a répondu du tac au tac. « Dans notre PDU (plan de déplacement urbain), la part de la voiture est de 73%. Mon opposant  souhaite relancer les études pour une seconde rocade, je rappelle que c’est Jean-Louis Borloo qui a mis fin au projet en 2008. Nous, nous voulons couvrir le territoire de transports en communs pour offrir une alternative crédible à la voiture » indique le maire de Toulouse qui annonce l’ouverture du tram Garonne pour le 20 décembre. Un cadeau de Noël avant l’heure pour un maire que se sera mué en candidat.

 

Pierre Cohen règle ses comptes

Contrairement à ses adversaires (à droite) qui ont officiellement lancé leur campagne, Ce n’est qu’en décembre que l’on pourra commencer a évoqué les idées du maire/candidat. Un calendrier qui ne l’empêche toutefois pas de répondre sans détours aux questions sur ses adversaires ou ses partenaires. Pierre Cohen, qui avoue que « face au contexte national, l’enjeu principal sera de mobiliser l’électorat », se dit confiant quant à un accord avec le PRG et le MRC, réduit le Front de Gauche à une petite liste d’extrême gauche en rappelant que les communistes ont la volonté de « travailler avec nous », et tend la main aux Verts qui ont « un bilan commun à part le parc des expositions où ils se sont opposés ». « Je ferais l’essentiel pour retrouver la configuration de 2008 » termine-t-il.

Du coté de ses adversaires, c’est Jean Luc Moudenc qui est visé. Répondant à la phrase du candidat UMP « De Veyrac est l’auxiliaire de Cohen », ce dernier souligne l’ « état d’esprit » de son adversaire qui ne « sait pas trouver des compromis ». « Si on n’est pas avec lui, on est obligatoirement contre » explique le maire sortant qui se dit inquiet face à une personne qui n’ « a pas eu de complexes à soutenir la tendance dure de l’UMP ».  Et dire que Pierre Cohen n’est pas encore en campagne…

 

Guillaume Truilhé

Grand succès pour le cinéma en plein air de la Cinémathèque de Toulouse

La neuvième édition de Cinéma en plein air, qui a eu lieu du 28 juin au 3 août, dans la cour de la Cinémathèque de Toulouse, a connu un grand succès avec plus de 8 580 spectateurs, soit 27% de plus qu’en 2012.

 

Le public a pu voir ou revoir, dans la chaleur d’une nuit étoilée, des grands films de l’histoire du cinéma – anciens et récents, français et étrangers, tous genres confondus – comme Priscilla, folle du désert, Un tramway nommé Désir, A bord du Darjeeling Limited ou Chat noir, chat blanc.

Ciné Plage organisé dans le cadre de Toulouse Plage en partenariat avec la Cinémathèque de Toulouse a également remporté un grand succès avec plus de 1 000 spectateurs par séance. Rendez-vous du 27 juin au 2 août 2014 pour la dixième édition du festival.

 

Communiqué de presse

Delta Air Lines fait de nouveau appel à Airbus et commande 40 appareils

Delta Air Lines a passé une commande ferme auprès d’Airbus portant sur 30 A321ceo (current engine option) et 10 A330-300. Cette commande marque un véritable retour vers les appareils Airbus, la dernière commande passée par Delta datant de près de deux décennies. La compagnie a choisi les réacteurs CFM56-5B de CFM International pour ses A321, et les réacteurs CF6-80E1 de GE Aviation pour ses nouveaux A330. Les A330 de Delta sont livrables dès 2015 et ses A321 dès 2016.

 

En raison de la fusion de Delta et Northwest Airlines, Delta exploite actuellement une importante flotte d’appareils Airbus, comprenant 126 appareils de la famille A320 et 32 A330. « Nous sommes toujours très heureux lorsqu’une commande d’une telle importance est passée par un utilisateur existant, puisqu’elle vient confirmer la valeur et la fiabilité des produits Airbus », a déclaré John Leahy, Chief Operating Officer – Customers d’Airbus. « L’équipe Delta est pour nous un partenaire de longue date. Néanmoins, cette commande est leur toute première portant sur des appareils modernes, confortables et efficients de la famille A320 et A330. Nous sommes impatients de voir s’accroître la flotte Airbus de Delta qui répondra, voire dépassera, les besoins des clients et des employés de la compagnie pendant de nombreuses années à venir ».

« C’est avec un grand enthousiasme que nous choisissons Airbus comme partenaire pour poursuivre le renouvellement de notre flotte, » a déclaré Ed Bastian, Président de Delta. « Ces A330 et A321 affichent à la fois rentabilité en exploitation et satisfaction client, comme nous le prouvent les 158 appareils Airbus au sein de notre flotte actuellement ».

Tous les A321 de Delta comprendront des ‘Sharklets’, dispositifs d’extrémité de voilure en matériaux composites légers, offrant une réduction de près de 4 pour cent de la consommation de carburant et une souplesse permettant d’accroître soit son autonomie de quelque 100 nm, soit sa charge marchande de près de 450 kg.

Un grand nombre des A321 destinés à Delta devraient être assemblés sur la toute nouvelle chaîne d’assemblage final d’Airbus de Mobile, Alabama, qui est actuellement en cours de construction et dont la livraison du premier appareil est prévue en 2016. Cette chaîne, qui représente un investissement de 600 millions de dollars dans la région du Golfe du Mexique, créera 1 000 nouveaux emplois au sein de la communauté.

Les A321 de Delta pourront accueillir 190 passagers dans un aménagement biclasse. L’A321 est l’appareil de plus grande capacité de la famille A320, la famille de monocouloirs best-seller la plus avancée au monde. A ce jour, plus de 9 800 appareils de cette famille ont été commandés et plus de 5 600 livrés à près de 390 clients et utilisateurs. Grâce à leur régularité technique qui a fait ses preuves, et à l’allongement de la périodicité entre les visites d’entretien, les appareils de la famille A320 affichent les coûts d’exploitation les plus bas de leur catégorie.

Delta a opté pour la version A330-300 disposant d’une masse maximum au décollage de 242 tonnes pour développer sa flotte de gros-porteurs. Grâce à ces optimisations, l’appareil bénéficie d’une autonomie accrue de quelque 500 nm, et d’une capacité lui permettant de transporter une charge marchande de près de cinq tonnes supplémentaires par rapport à sa version précédente de 235 tonnes. Près de 1,2 milliard de passagers dans le monde ont voyagé à bord de la cabine lumineuse et spacieuse de l’A330, qui dessert actuellement 300 aéroports. Les A330-300 de Delta pourront accueillir 293 passagers dans un aménagement biclasse. A ce jour, plus de 1 250 A330 ont été commandés.

 

Communiqué de presse

La première édition du salon du Cheval de Toulouse est un carton

La première édition du Salon du Cheval de Toulouse a fermé ses portes dimanche 1er septembre. Près de quinze mille personnes ont foulé les allées de l’hippodrome de la Cépière à Toulouse, sous un soleil de plomb, pendant les trois journées de salon.

 

Du 29 août au 1er septembre, Toulouse est devenue la place forte du cheval en Midi-Pyrénées, véritable plateforme d’échanges entre les professionnels de la filière et le grand public. « Cheval Roi » a fait résonner les pavés toulousains sous les sabots des chevaux, dès le jeudi 29 août, du Zénith de Toulouse à la célèbre place du Capitole, avec la randonnée urbaine, surprenant cortège de huit cents mètres de long, composé de plus de deux cents équidés.

Le soir même, la première du spectacle « Les Fous du Cheval Roi » était joué sous les regards d’un public en admiration devant les quatre artistes du spectacle et les nombreux numéros proposés. Au total, environ mille cinq cents personnes ont assisté aux trois représentations mises en son et lumière et où se sont succédés : Gilles Fortier, la troupe Zarkam, les cavaliers voltigeurs, Vincent Liberator, Clémence Lesconnec et les cavaliers Minorquins.

Dès le vendredi, le salon a ouvert ses portes proposant au public de nombreux temps forts comme la puissance, des présentations de races, le tournoi de horseball, l’équitation de travail ou encore l’attelage. Les visiteurs ont pu s’équiper et découvrir les dernières tendances dans le village d’exposants mais aussi découvrir de nombreuses races et savoir-faire dans les allées de l’hippodrome.

Pour l’organisateur Dominique du Trieu, cette première édition est très encourageante pour l’avenir. Le site a confirmé se prêter à l’organisation de ce type de manifestation et le public, surtout familial, s’est déplacé en masse ce dernier week-end de vacances scolaires. Ce bilan positif laisse présager une nouvelle édition en 2014.

 

Communiqué de presse

Top 14 : C’est tout bonus pour le stade toulousain

C’est avec deux défaites en trois journées de Top 14 au compteur que le stade toulousain recevait le Racing-Métro ce mercredi au Stade Ernest Wallon. Un match bien maitrisé par les rouge et noir qui s’imposent 30 à 6 avec le bonus offensif.

 

Avec trois matchs dans la semaine dont deux à domicile, Guy Noves avait décidé de « faire tourner » le week-end dernier face à Clermont. Un choix qui, à 15 minutes près, aurait pu être gagnant face aux jaunards et qui a été déterminant ce mercredi face au Racing. En effet, face à une équipe parisienne qui a du puiser dans ses réserves pour venir à bout d’Oyonnax il y a 4 jours, la fraicheur des toulousains a fait la différence tout au long du match. Dès la 6ème minute, Fickou profite d’un deux contre un pour se faufiler dans un trou de souris, résister aux plaquages de 3 racigmen pour inscrire le premier essai de la rencontre. Un exploit personnel de l’ancien toulonnais qui donne le ton, d’autant que Mc Allister ne se fait pas prier pour sanctionner les fautes parisiennes. Résultat : malgré une possession de balle relativement équilibrée, les stadistes rentrent aux vestiaires sur le score de 16 à 3.

En seconde période, l’objectif était simple : assurer la victoire et tenter d’obtenir le bonus offensif. Une quête qui débute au plus mal puisqu’à peine 5 minutes après la reprise, Millo-Chluski sort 10 minutes pour une position de hors-jeu. Un carton jaune qui ne coutera finalement que 3 points aux toulousains qui se permettent même d’inscrire un essai en infériorité numérique. Et c’est Tolofua, intenable hier soir, qui profite d’un oubli de la défense parisienne sur le petit coté pour s’y engouffrer, résister à un plaquage et donner à Nyanga à hauteur. 21-6 le match est plié. Reste maintenant aux hommes de Guy Noves à aller chercher le bonus offensif. Un objectif qui va être atteint à 6 minutes de la sirène grâce à Tekori. Un essai que l’on pourrait qualifier de collectif puisque suite à une mêlée, c’est toute la famille toulousaine qui pilonne la défense des ciel et blanc. Un dernier effort récompensé par cet essai de Tekori.

Après deux défaites en trois journées, les rouge et noir ont donc équilibré leurs statistiques et tenteront ce dimanche face à Montpellier d’obtenir leur première victoire à l’extérieur.

 

Guillaume Truilhé

Toulouse Infos