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La Bibliothèque de Toulouse vous invite à découvrir la littérature mordante

Depuis le 22 octobre et jusqu’au 1er décembre, le pôle Intermezzo de la Médiathèque José Cabanis (2e étage) propose différentes animations autour de l’urban fantasy, et son sous-genre la Bit Lit, dénommée également la « littérature mordante ». Exposition, quizz, concours et projections de films permettront de découvrir vampires, zombies et autres créatures étranges en tout genre…

Exposition sur la Bit Lit – du 22 octobre au 1er décembre

À travers cette exposition, les Éditions Bragelonne (maison d’édition spécialisée dans les littératures de l’imaginaire) retracent l’histoire de la littérature vampirique.

Quizz, quels lecteurs êtes-vous : zombiphile, vampiropathe… – du 22 octobre au 1er décembre

Concours de fan fictions – du 22 octobre au 1er décembre

La fan fiction est une histoire inventée et écrite par un fan, s’inspirant d’une oeuvre existante et reprenant son univers et ses personnages.

Projections en relation avec l’urban fantasy – le mercredi 30 octobre à 16h

L’urban fantasy est un sous-genre littéraire de la fantasy dans lequel le surnaturel (avec des créatures issues du plus pur fantastique – vampires, loups-garous, anges et démons, zombies…) fait irruption dans le monde contemporain. Le pôle Intermezzo accorde à l’urban fantasy une place toute particulière. Phénomène littéraire depuis la déferlante de la saga Twilight, l’urban fantasy, et plus spécifiquement la bit lit, connaissent un succès grandissant depuis la fin des années 2000 en France. La bit lit a d’ailleurs fait exploser les ventes des littératures de l’imaginaire (+45% en 2010).

Le pôle Intermezzo de la Médiathèque José Cabanis, notamment dédié aux adolescents et jeunes adultes, propose un programme d’animations à l’année, ainsi que des livres inclassables, inattendus, des romans, documentaires, BD, mangas, comics, magazines, et même des jeux…

 

Communiqué de presse

Région : 2,3 M€ attribués en octobre pour l’agriculture midi-pyrénéenne

La Région soutient ses agriculteurs : amélioration énergétique des bâtiments d’élevage, soutien aux CUMA, à l’agriculture biologique, … autant d’actions menées pour contribuer à une agriculture régionale performante.

C’est pourquoi les élus régionaux ont voté, à l’occasion de la dernière commission permanente et sur proposition du président Martin Malvy, une enveloppe de 2,33 M€ à destination du secteur agricole de Midi-Pyrénées. Parmi ces mesures d’aide, 98 nouveaux dossiers de CUMA ont été soutenus, pour une enveloppe globale de 441 000€.

La Région poursuit également son plan de modernisation des bâtiments d’élevage en soutenant 29 nouveaux éleveurs pour la création ou des travaux de rénovation de leurs bâtiments, pour un montant global près de 180 000€.

Elle soutient fortement le secteur agro-alimentaire. Les élus régionaux ont en effet accordé une enveloppe de 191 000€ à la SAS Cant’Avey’Lot qui regroupe 26 producteurs de lait, pour la création d’un atelier de production de crème et beurre à Bagnac-sur-Célé (46).

Par ailleurs, dans le cadre de sa gestion des fonds européens FEADER, la Région a attribué une aide de 222 000€ de crédits FEADER en direction de diverses autres entreprises de l’agro-alimentaire, dont :

– Grefeuille Aveyron (12), spécialisée dans la transformation de viande ovine, pour l’extension de ses bâtiments de Capdenac,

– Formabon (12), qui produit des fromages de brebis et chèvre, pour l’extension de son atelier situé sur la zone d’activité de la Cavalerie et ainsi permettre la transformation de 800 000 litres de lait,

– Zerouali Bonnet, spécialisée dans la production de charcuterie et située à Murat-sur-Vèbre (81), pour doubler sa capacité de séchage de 1 500 à 300 m2.

Une enveloppe de 560 000€ au titre des crédits FEADER a également été votée pour 83 dossiers de demande d’acquisition d’équipements dans des exploitations en agriculture biologique.

 

Communiqué de presse

Orlando de Haendel au Théâtre du Capitole

Après Belshazzar en 2011, le Théâtre du Capitole poursuit son exploration des grands opéras de Haendel avec Orlando. Cette coproduction signée Eric Vigner est donnée à Toulouse avant de poursuivre sa route à l’Opéra royal de Versailles. Jean-Christophe Spinosi sera à la tête de son ensemble Matheus.

 

Cet Orlando est le lieu de retrouvailles entre Jean-Christophe Spinosi et Eric Vigner, dont la première collaboration remonte à L’Illusion comique de Pierre Corneille, montée en 1996 pour l’ouverture du Centre dramatique de Bretagne à Lorient. C’est aussi l’occasion pour Jean-Christophe Spinosi de diriger sa troisième oeuvre se rapportant à ce personnage, après l’Orlando Paladino de Haydn et l’Orlando Furioso de Vivaldi.

Le rôle-titre sera interprété par le contre-ténor canadien David DQ Lee remarqué comme l’un des interprètes majeurs du répertoire baroque. A ses côtés, en reine Angelica, nous retrouverons Adriana Kučerová que l’on a entendue en 2011 dans Falstaff. Autre retour à Toulouse, celui de la mezzo-soprano suédoise Kristina Hammarström qui a incarné un grand nombre d’héroïnes de Haendel (Alcina, Agrippina, Tamerlano, Giulio Cesare ou encore Theodora…) et que l’on a pu découvrir dans Belshazzar, toujours de Haendel, en 2011. Elle incarnera ici le rôle du prince africain, Medoro. Enfin, le Capitole accueillera pour la première fois la soprano Sunhae Im (Dorinda) et la basse Luigi De Donato (Zoroastre).

 

Communiqué de presse

Commerces : Pour Jean-Luc Moudenc, Isabelle Hardy est une menteuse

En début de semaine dernière, Jean-Luc Moudenc a dévoilé une partie de son programme en matière de commerce. Des annonces immédiatement commentées par l’actuelle adjointe en charge du sujet Isabelle Hardy qui a souligné que la plupart des propositions sont déjà en place. Une sortie médiatique que ne laisse pas passer l’ancien maire de Toulouse qui répond dans un communiqué.

 

« Il est symptomatique de constater que dans son communiqué elle dénigre mais ne propose rien pour la période 2014-2020. Sur le commerce comme dans d’autres domaines, la Municipalité sortante est en panne d’idées et d’énergie.

L’adjointe décrit une situation merveilleuse pour les quartiers commerciaux. Elle ferait bien de sortir des beaux quartiers et de son confortable bureau pour voir que, malheureusement, bien des choses restent à faire. Par exemple, elle prétend que la revalorisation l’espace public est déjà faite dans les quartiers commerciaux…preuve qu’elle n’en a vu qu’un petit nombre.

Sur le droit de préemption, quelques opérations ont fonctionné (à Arnaud Bernard par exemple) mais nous proposons d’accélérer le processus dans les zones où la diversité commerciale recule. Pire, elle ment sans scrupule. Je propose en effet qu’une société (éventuellement d’économie mixte) associe collectivité, professionnels et autorités consulaires pour le maintien du commerce de proximité. Or, elle prétend que cela existe. Mensonge. L’opération « Commerce avenir » est un programme 100% municipal et certainement pas une société dotée de moyens d’action ambitieux.

La situation est limpide : la Municipalité s’attribue un 20/20 et ferme les yeux sur les problèmes : c’est tellement plus confortable ! Et gare à quiconque veut faire bouger les choses et a de l’ambition pour sa ville…»

 

Communiqué de presse

Les vendeurs d’e-cigarettes doivent-ils pouvoir faire de la publicité ?

Ce lundi, les juges toulousains ont entendu pendant une heure le buraliste et le vendeur de cigarettes électroniques de Plaisance-du-Touch. Le premier accusant son « concurrent » de « violer la réglementation » en faisant de la publicité illicite en faveur d’un produit s’apparentant au tabac. Le CACE (Collectif des acteurs de la cigarette électronique) demande au Gouvernement de combler le vide juridique sur l’interdiction de la publicité mais s’oppose à toute interdiction générale.

 

Pour le CACE, la cigarette électronique ne doit pas tomber sous le monopole des buralistes, pas aptes, dans les conditions actuelles, à vendre correctement ce produit. Pour le Collectif des acteurs de la cigarette électronique (CACE), la cigarette électronique est un produit sensible qui nécessite information et conseil de la part des vendeurs aux consommateurs. En moyenne, un vendeur spécialisé consacre en moyenne vingt minutes par client à la vente de la cigarette électronique alors que le débitant vend un paquet de cigarettes en quelques secondes.

« La vraie question qu’il faut se poser est qui est le plus à même de vendre correctement la cigarette électronique et ses produits ? Les vendeurs spécialisés représentent aujourd’hui une profession à part entière. Ils sont des centaines de spécialistes qui consacrent du temps à informer et conseiller leurs clients. Si les buralistes veulent vendre la cigarette électronique, il faut qu’ils répondent à ces exigences » pour Mickael Hammoudi, président du CACE.

Sur la question de la publicité sur la cigarette électronique et ses produits, le CACE demande au gouvernement de combler le vide juridique actuel qui place les professionnels dans une situation d’insécurité juridique totale. Le CACE est prêt à se conformer à la législation EVIN sur l’interdiction de la publicité sur le tabac en se refusant à utiliser les codes visuels de la cigarette traditionnelle (fumée, geste, etc.). Toutefois, il s’oppose catégoriquement à une interdiction générale qui n’aurait aucune justification au regard de la moindre nocivité de la cigarette électronique.

Le tribunal de commerce rendra sa décision le 9 décembre.

 

Guillaume Truilhé avec communiqué

Le DAL occupe Habitat Toulouse et obtient des garanties

Ce lundi, l’association du Droit Au Logement (DAL) a occupé simultanément les deux antennes de l’office HLM Habitat Toulouse dans le but d’obtenir des négociations sur les dossiers de ses adhérents qui ont des problèmes de mutation. Certains sont « sans nouvelles de leur dossier depuis plus de 2 ans ».

 

C’est à 10H30 ce lundi, qu’une dizaine de personnes sont rentrées dans l’accueil de l’office HLM  de Toulouse afin de « faire pression pour que les choses se débloquent », explique l’un des organisateurs de l’action. « Cela fait trois ans que je demande une mutation de logement. Le mien est insalubre, je demande juste un autre appartement ou des réparations, mais depuis 3 ans je n’ai aucune nouvelle », peste Pekrin. « Nous ne bougerons pas tant que nous n’aurons pas résolu le problème » préviennent les militants.

Après plusieurs va et vient entre les bureaux la direction et le hall qui se remplissait de plus en plus de militants, des chargés des relations un salarié de l’office annonce que « le directeur est en réunion mais qu’il pourra vous recevoir à partir de quatorze heures ». Les militants, devenus une cinquantaine, ont alors mis en place une cafeteria improvisée pour attendre l’heure du rendez-vous sans quitter les lieux.

À la fin de la réunion, le bilan est « plutôt positif », explique l’un d’entre eux. «  Nous avons réussi, sur dix dossiers, à en faire avancer six », raconte un représentant du DAL. « Ils se sont engagés pour ces personnes à leur fournir un nouveau logement avant le 28 février 2014. Cela peut paraitre loin, mais cela donne déjà un horizon à ces personnes qui attendaient depuis longtemps un signe de ces organismes ». Pour ce qui est des autres dossiers, « ils sont trop problématiques pour trouver une solution immédiatement, mais nous continuerons à nous battre afin qu’il y ait une issue favorable » assure le membre du collectif.

 

Article de François Nys

Réforme pénale : Christiane Taubira veut « abolir les peines plancher »

Ce lundi, Christiane Taubira était à Toulouse pour expliquer sa réforme pénale. L’occasion pour la Ministre de la Justice de participer au 60ème anniversaire des tribunaux administratifs mais également de rencontrer des détenus, des étudiants et des magistrats. Une visite qui a provoquée un rassemblement de quelques militants de la manif pour tous.

 

«  C’est en se tournant vers le passé que l’on va vers l’avenir » introduit la ministre de la Justice. Créé en 1953, le tribunal administratif « n’a cessé de gérer de plus en plus d’affaires au point d’en arriver au bord de l’embolie ». «  Grâce à l’inventivité des membres de la justice, nous n’avons pas eu ce souci, et nous avons même réduit les délais alors qu’il n’y a pas moins de 180 000 dossiers chaque année qui sont traités » souligne Christiane Taubira lors de son discours d’ouverture du 60ème anniversaire des tribunaux administratifs. A l’avenir, la Garde des sceaux compte rendre « les textes de loi et les démarches plus aisées, en commençant par une plus grande lisibilité des textes ». Mesure qui devrait entrer en vigueur courant janvier 2014.

Christiane Taubira a ensuite visité un chantier pénitentiaire, échangé avec des détenus en situation de travail et participé à une réunion publique sur la réforme pénale en présence des étudiants et chercheurs des UFR Droits, sciences humaines et sociales, arts, lettres et langues et des réseaux associatifs. « Je ne désire pas vider les prisons ou encore alléger les peines », déclare-t-elle d’entrée. «  Nous désirons faire en sorte que les procédures se passent en deux temps afin qu’elles soient adaptées à chacun des couples. La justice est la pour décider, pas pour remplir une quelconque loi du Talion » continue-t-elle. L’un des points de la reforme est de faire une césure entre le procès, « qui doit être rapide, afin que les victimes soient rassurées et les coupables conscients qu’il n’y a pas d’impunité en France » et le verdict qui sera « rendu 4 mois après, afin de mieux connaître la situation et les différents protagonistes ». « Nous n’allons pas être moins stricts dans nos jugements, nous allons juste prendre en compte le facteur humain » précise-telle.

Autre point de la reforme, la contrainte pénale, qui consiste à faire sa peine à l’extérieur des centres pénitentiaires. « L’incarcération est bien trop souvent la seule issue, et elle provoque énormément de récidives » note la Garde des sceaux. Ce principe, déjà utilisé en Grande-Bretagne, en Norvège ou encore en Suède « est un moyen pour certain délinquant de faire leur peine en milieu ouvert, ce qui les empêche de se couper du monde, et de pouvoir plus facilement reconstruire leur vie ». Interpellée par le Procureur de la République, Christiane Taubira a également annoncé vouloir « abolir les peines plancher ».

 

Les traditionnelles manifestations

A son arrivée, la Ministre de la Justice était attendue devant l’université par des militants de la manif pour tous. « Taubira t’es foutu, le mariage pour tous est dans la rue » scandaient les militants aux drapeaux bleu, blanc, rose. « Les ventres des femmes ne sont pas des caddies » affichaient d’autres pancartes. En réponse, des représentants d’Act Up étaient présents pour apporter leur soutien à la loi Taubira. Les groupes sont restés face à face sans heurts malgré une situation tendue.

 

Article de François Nys

Jean-Yves Gauchet, vétérinaire toulousain et créateur de la ronrontherapie

Depuis quelques mois, les premiers bars à chat ouvrent à Paris. Ces lieux de détente sont inspirés d’études qui montrent que le ronronnement du chat a un effet apaisant sur le corps humain. L’instigateur de cette pratique, Jean-Yves Gauchet est toulousain. Retour sur ce nouveau terme à la mode et sur celui qui a démocratisé cette pratique.

 

Comme certains se détendent en écoutant le bruit des vagues ou des vents dans les bois, la ronronthérapie a pour but de permettre à l’homme de se relaxer. « Cela ne soigne pas de manière médicale, mais nous permet de nous apaiser après les tumultes du quotidien » explique Jean-Yves Gauchet, vétérinaire et créateur du concept en France. La ronronthérapie, mot créé en 2004 par une journaliste du Parisien, « fonctionne pour ceux qui ont de bons souvenirs avec les chats. Quelqu’un s’étant fait griffer étant jeune aura plus de mal avec cette méthode » précise le vétérinaire toulousain. Du son au toucher en passant par les vibrations, « ce sont plusieurs facteurs qui font que le principe marche » explique Jean-Yves Gauchet.

L’autre élément qui entre en jeu est l’un de nos récepteurs cutanés : le corpuscule de Pacini. « Quand cette glande est excitée, elle libère de grandes quantités d’endorphines sur de courtes durées. » Elle s’active par vibration ou lorsque l’on nous caresse puisque « les glandes sont à la base du poil et sont en parties à l’origine de notre sensibilité capillaire ». C’est de là que vient la ronrontherapie « pour faire simple » précise Jean-Yves Gauchet.

 

Un homme qui a « toujours un coup d’avance »

Beaucoup de personnes ont repris le concept de ronronthérapie à l’heure actuelle, et le vétérinaire est souvent sollicité en tant que spécialiste sur le sujet. Mais ce n’est pas son seul domaine de compétence. En plus d’être vétérinaire depuis 30 ans, Jean-Yves Gauchet est aussi éditeur depuis « presque toujours ». Il est à l’origine d’anciens journaux pour entrepreneur ou encore un journal qui se voulait positif, ne donnant que des bonnes nouvelles. « Ce dernier a été un échec, les gens ne s’intéressent pas aux bonnes nouvelles » regrette ce dernier.

Depuis 16 ans, il est aussi à l’origine du magazine Effervesciences qui traite de science « mais de préférence sur des thèmes originaux ». Il organise aussi des colloques comme celui des Bio-sciences qui s’est déroulé à Toulouse le 5,6 et 7 septembre 2013. C’est ainsi qu’il a diffusé son idée sur la ronronthérapie. « Nous avons enregistré le son d’un chat que nous avons proposé sur CD afin que les gens puissent l’écouter. » Il y eut aussi une application sur l’Apple Store, iJetlag, mais « qui fut un échec cuisant ». Déjà sur un nouveau projet « que je dévoilerai que dans quelques mois », Jean-Yves Gauchet n’est « pas gêné que l’on reprenne les principes de ronronthérapie partout, c’est très bien pour les chats et les rapports entre homme et félins. De toute façon j’ai toujours un coup d’avance par rapport à ceux qui reprennent mes idées  » conclut-il.

 

Article de François Nys

Municipales 2014 : « L’inquiétante dérive de l’ancien maire de Toulouse »

Après François Briançon, Romain Cujives et Isabelle Hardy, c’est au tour d’Henri Matéos, conseiller municipal de Toulouse de s’en prendre à Jean Luc Moudenc.Le conseiller municipal de Toulouse reproche à l’ancien maire de la ville rose un « accord avec la droite extrême : le MPF de Phillipe de Villiers et DLR de Nicolas Dupont Aignant ». Voici le communiqué.

« On connaissait du candidat de l’UMP, ancien Maire de Toulouse son refus d’appeler à battre le Front National aux élections locales, on connaissait aussi ses dérives sociétales avec son refus du remboursement à 100 % de l’IVG, puis sa lutte acharnée contre le projet de mariage pour tous, c’est aujourd’hui de nouvelles idées réactionnaires qu’il s’apprête à faire siennes.

Priorité nationale, fin de l’aide médicale d’Etat, abrogation des 35H, immigration zéro, suppression du financement des syndicats, rétablissement de la peine de mort… Jean-Luc Moudenc vient d’officialiser un accord avec la droite extrême : le MPF de Phillipe de Villiers et DLR de Nicolas Dupont Aignant. Avec cette alliance, la droite Toulousaine poursuit donc son inquiétante dérive vers la droite de la droite.

Jean-Luc Moudenc semble ainsi prêt à toutes les compromissions dans sa volonté de reconquérir Toulouse, reconnaissant lui même qu’avec cet accord, « les électeurs qui seraient tentés de se tourner vers le FN ont l’opportunité de voter de manière responsable ».

Nous condamnons ce rapprochement qui ne peut qu’être nuisible aux valeurs du vivre ensemble qui font de Toulouse une ville où il fait bon vivre. Nous appelons le Président de l’UMP 31 à un sursaut républicain et à affirmer publiquement qu’à travers ces nouvelles alliances il ne fait pas siennes les idées de ces deux partis réactionnaires.

Nous continuerons à nous battre avec force contre ces idées nauséabondes et poursuivrons notre campagne pour prolonger et amplifier en mars prochain notre action au service des toulousains. »

 

Communiqué de presse

La Bibliothèque de Toulouse participe à la Grande Collecte sur 1914-1918

Dans le cadre de la célébration du centenaire de la première guerre mondiale, la Mission du centenaire, la BNF et le service des Archives de France organisent au mois de novembre une collecte de documents autour de 14-18, auprès des particuliers.  La Bibliothèque de Toulouse participe à cette opération.

Rendez-vous à la Bibliothèque d’Étude et du Patrimoine, située 1 rue de Périgord, pour numériser vos archives privées, du mardi 12 au samedi 16 novembre de 14h à 18h. Il est conseillé de téléphoner au 05 62 27 66 66 en amont, afin de préparer l’entrevue. Les archives privées permettent de compléter les collections d’archives publiques et les collections d’imprimés des bibliothèques.

L’objectif de la collecte est d’enrichir Européana, la bibliothèque numérique européenne lancée en 2008. Une cinquantaine de services culturels volontaires (bibliothèques et centres d’archives) participent à ce projet dans toute la France. Les particuliers intéressés pourront se rendre dans l’un de ces établissements, qui numérisera tout ou partie des pièces qui seront ensuite visibles sur Européana.

 

Communiqué de presse

Toulouse Infos