Chaque jour à l’aide de nos programmes, nous vous informons de l’actualité de la Ville rose et de ses environs. A l’heure de la rétrospective, nous vous avons sélectionné les 10 événements qui ont marqué cette année. Un classement divisé en 4 articles publiés chaque semaine. Aujourd’hui retour sur la catastrophe d’Haïti, sur la LGV et l’ouverture du Hall D.
Une catastrophe émeut les Toulousains
Beaucoup moins réjouissant que l’année Jaurès, début janvier, c’est un séisme d’une violence inouïe qui frappe l’île d’Haïti. Malgré la distance entre ce pays et la Ville Rose, les Toulousains se sont mobilisés pour aider la population. Cela commence par un hommage rendu par Pierre Cohen etFrançois-Frantz Cadet, président du collectif Haïti France. Les Toulousains sont également incités à donner leur sang. Pour chaque don, 1 euro étant reversé à Shelterbox, un fabriquant de kits de survie envoyés ensuite à Haïti. Autre vision de la catastrophe, Salvador Montoya, Président de « France – Amérique Latine » de Toulouse a tenu à signifier son scepticisme sur les véritables raisons du déploiement américain à Haïti. A noter que quelques mois après la catastrophe une des mères adoptive toulousaine attendait toujours de pouvoir rapatrié son enfant à cause du refus des autorités françaises.
LGV : le transport régional en question
Concernant les transports régionaux, le tracé de la Ligne Grande Vitesse a suscité de nombreuses réactions. Interrogé sur le sujet en janvier Emmanuel Duret, le président du conseil de surveillance de l’Aeroport Toulouse-Blagnac évoque la future concurrence avec cette nouvelle ligne. Pour l’associationFrance Nature Environnement, le ferroviaire constitue une alternative aux voitures. En mai, lors de l’étude du Comité territorial sur les différents tracés, les militants de l’union pour la sauvegarde des villages manifestent pour dénoncer le manque de concertation dans ce dossier. Nous avions rencontréBruno Lecomte, président du collectif pour qu’il nous explique la situation. Puis en juin, l’association TGV sud-ouest organise une assemblée générale à l’hôtel de région. Un cabinet présente alors une étude sur les impacts du TGV dans d’autres régions et les présidents des groupes de travail rendent les conclusions de leur réflexion. Martin Malvy, président de la région Midi-Pyrénées, choisit de mettre en lumière les effets positifs de la LGV sur notre région.
