La colère monte au sein des associations des victimes de la catastrophe d’AZF. Jusqu’à maintenant les débats du troisième procès devant la cour d’appel de Paris étaient retransmis par vidéo à Toulouse mais ça ne sera pas le cas pour le délibéré attendu le 31 octobre.
Les associations ont écrits à la garde des sceaux et espèrent que le dispositif sera bien reconduit. « Nous ne pouvons admettre que la plus grande catastrophe industrielle en France se termine par une décision de justice réduite à un communiqué de l’AFP », ont déclaré les associations.
Pierre-Jean Gonzalez