La tunique de Lomu et la « camiseta » de Messi pour les 15 ans « d’un Maillot pour la Vie ».

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Les joueurs du Stade
entourent les bénévoles
CBullit

Au 4 coins de la salle de l’hôtel de Ville trônent les maillots de Messi, Lomu, Suarez….Des habits de lumières qui renvoient de l’éclat dans les yeux des enfants emmitouflés dans les bras des sportifs et des bénévoles.

 

1 maillot pour la vie est une grande famille, ça se sent d’emblée tant Omar Hasan « claque bises sur bises » aux enfants qui le reconnaissent de soirées en soirées. Une famille qui s’est tout d’abord tournée vers le monde de l’ovale avec Fabien Pelous pour donner du « sourire » à des enfants malades. Depuis la nouvelle génération stadiste assure le relais auprès de l’association comme le constate Yoann Maestri : « Au départ j’ai été initié par Jean Bouilhou avec qui on a fait des visites d’enfants dans les hôpitaux. Le rugby c’est très bien mais ça reste un sport et là on parle de la vie, de choses vitales donc c’est beaucoup plus important ».Solidaire également,  Louis Picamoles n’a pas hésité à donner de son « corps » pour les 15 ans de l’association : « Je suis venu à plusieurs soirées auparavant et cette année j’ai participé au calendrier et j’ai amené un maillot de l’équipe de France, ce n’est pas grand-chose mais quand on peut faire plaisir il faut le faire ».

 

Sam Essidiri, un président bien entouré !

 

Jonah et Léo : 

Pour mener à bien ses actions l’association peut compter sur des sportifs de tous horizons : « Valentin Porte des Spacer’s Hand Ball nous amené le maillot de Barcelone de Nikola Karabatic. Les boxeurs de la région nous donnent des gants, des ceintures et les volleyeurs nous accueillent souvent pour les matchs avec les enfants », apprécie Maryline Dieuze, vice-présidente de l’association. Un réseau de bienfaiteurs qui a permis à l’association d’accrocher la «  camiseta » de Messi à son panthéon : «  Nous avons de bons contacts en catalogne, ce qui nous a permis d’avoir in fine son maillot. Je suis surtout très content de voir qu’au bout de 15 ans l’association continue de financer des rêves d’enfants et de faire du bien à tous ces gamins », termine Sam Essediri, fondateur de l’association.

 

Participer à des rêves d’enfants, les amener au JO de Turin en 2006 et à ceux de Londres en 2012, à Rolland Garros, à l’Euro de football en 2008… Jonah Lomu, de là haut apprécie certainement !  et comme disait si bien quelqu’un…Allez les petits !

 

Plus d’Infos :

 

Pierre Jean Gonzalez